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Street art, nature et technologie – VYSUAL MAG. Metamorphosis on Behance. Arts Plastiques Lycée Costebelle: Fiche 5 : NATURE VS CULTURE ou NATUREL / ARTIFICIEL. NATURE VS CULTURE ou NATUREL / ARTIFICIEL Naturel : qui est issu directement de la nature, du monde physique, qui n’est pas dû au travail de l’homme (par opposition à artificiel, synthétique).Artificiel : produit par une technique humaine, et non par la nature ; qui se substitue à un élément naturel.

Arts Plastiques Lycée Costebelle: Fiche 5 : NATURE VS CULTURE ou NATUREL / ARTIFICIEL

Artifice : (du latin artificium, art, métier) procédé ingénieux, habile pour tromper ; ruse. Notions : Nature/culture, Œuvre/ spectateur et Œuvre/ lieu public, accessibilité de l’œuvre / l’œuvre pour tous Naturel / Artificiel / associations / confrontations / hybridations... The Art of SharingLe Street-Art végétal de Mosstika ! Mosstika Urban Greenery est un collectif d’artistes, à l’esprit écologique, basé New York !

The Art of SharingLe Street-Art végétal de Mosstika !

« Nous croyons que si tout le monde avait un jardin qui leur est propre, un jardin à cultiver, nous aurions une relation beaucoup plus équilibrée en société. C’est avec cette envie à l’esprit, que nous, Mosstika, visons à faire entrer en collision le monde de l’art et celui de la nature, en amenant la verdure dans les endroits les plus inattendus. » Bonne découverte. Son site. Street art : LUDO - sur Strip Art le Blog. LUDO est un artiste peintre français qui fait partie de la génération « XY ».

Street art : LUDO - sur Strip Art le Blog

Il est diplômé en sociologie et a suivi des cours de design et de communication à Milan, en Italie. Il vit et travaille actuellement en région parisienne. Saint Martin – Aout 2014 Il s’initie au Street art en posant son Tag un peu partout dans les rues de Paris, Adolescent, il se passionne pour la culture skate, dévore les magazines des années 1980 et collectionne les flyers punk-rock. Redonnez une bouffée d’air frais aux rues de votre ville en réalisant des graffitis végétaux. Le street art a beau être un art des plus jolis, il utilise cependant des produits chimiques… Et si on vous disait que vous pouvez devenir un expert en la matière tout en respectant la planète ?

Redonnez une bouffée d’air frais aux rues de votre ville en réalisant des graffitis végétaux

C’est en tout cas ce que certains artistes s’amusent à faire à partir d’une recette très simple qui permet de réaliser de splendides oeuvres d’art verdoyantes et éco-responsables. Oubliez les aérosols, c’est avec de la mousse que l’on peint désormais ! Si, comme Jaime Rojo, Anna Garforth et Edina Tokodi, vous souhaitez devenir des esthètes du street art éco-responsable, voici le processus à suivre et les ustensiles dont vous devez vous munir : Environ 400g de mousse (lavée et sans résidus de terre)500g de beurre500g de yaourt (de préférence entier)470ml d’eau ou de bière1/2 cuillère à café de sucreun peu de sirop de maïs (optionnel)Et, surtout, un mixeur que vous n’utiliserez, de préférence, qu’à cet effet !

Le street art version écolo a beaucoup de charme ! Quand le street art investit les villes en cohabitant avec la nature. A quoi ressemblerait le street art s’il se mêlait à la nature ?

Quand le street art investit les villes en cohabitant avec la nature

Il est vrai que l’urbanisme et l’écologie semblent très éloignés, pourtant les villes s’appliquent de plus en plus à redonner une place de choix aux espaces verts. On vous propose donc de découvrir ces œuvres originales où le graphisme urbain cohabite avec la verdure. La nature dans l'art. PLAN : .

La nature dans l'art

Introduction : la nature au fil des siècles . 1960-1970 : Changement de paradigme de la nature dans l'art . Catégorisation des pratiques artistiques autour de la nature - Nature reconstruite - Nature incisée - Nature voilée ou empaquetée - Nature et astronomie - Nature et espace - Nature et symboles - Nature prise entre les murs - Nature domptée - Nature modelée - Paysage miniature - Beauté cachée - Nature comme matériau - Nature figurative . Esthétique de ces oeuvres . L'art et la nature. Cette fiche, au vu de la largeur du sujet abordé, ne comprend que des pistes de réflexion.

L'art et la nature

L’art, issu du latin ars (habileté, connaissance technique), a donné la racine du mot artisanat, qui est une forme de création, mais aussi du mot artifice. Or l’artificiel s’oppose au naturel. Le naturel, ici, est tout ce qui a trait à la nature, c’est-à-dire l’ensemble des éléments qui constituent l’environnement, ce que l’Homme n’a pas créé. Land art. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Land art

Le land art est une tendance de l'art contemporain utilisant le cadre et les matériaux de la nature (bois, terre, pierres, sable, rocher, etc.). Le plus souvent, les œuvres sont à l'extérieur, exposées aux éléments, et soumises à l'érosion naturelle ; ainsi, certaines œuvres ont disparu et il ne reste que leur souvenir photographique et des vidéos. Les premières œuvres ont été réalisées dans les paysages désertiques de l'Ouest américain à la fin des années 1960. Les œuvres les plus imposantes, réalisées avec des équipements de construction, portent le nom d'Earthworks (littéralement terrassements). Oeuvres ds la nature Andy Goldsworthy. Andy Goldsworthy est un artiste célèbre qui travaille sur le land-art en modifiant le paysage pour créer des sculpture a la fois éphémères et géométriques dont il prend des photographies pour en garder la trace.

Une collection de ses travaux les plus anciens se trouvent ici. Il y a pas mal de livres qui présentent son travail sur un thème particulier comme les paysages, le bois ou les pierres mais un qui permet d’en avoir une vue générale est celui-ci : de: Andy Goldsworthy. “Hokusai, le peintre de la nature par excellence”, visite guidée avec Ange Leccia. L'estampe japonaise d'Hokusai à l'honneur au Grand Palais. À partir du 1er octobre, le Grand Palais de Paris accueillera en son sein les œuvres d’Hokusai.

L'estampe japonaise d'Hokusai à l'honneur au Grand Palais

La plus grande rétrospective jamais réalisée en France sur l’illustre maître japonais. La Grande Vague de Kanagawa © Hokusai / Victoria and Albert Museum, London, given by the Misses Alexander Katsushika Hokusai (1760 – 1849) est sans nul doute l’un des plus célèbres artistes japonais, dont l’œuvre a depuis longtemps dépassé les frontières de l’archipel nippon et inspiré l’art occidental. Né en 1760 dans un faubourg campagnard de la ville d’Edo (l’ancien nom de Tokyo) de parents inconnus, Hokusai est adopté à l’âge de 3 ans par un artisan, chez qui il développera très jeune le goût du dessin et de la peinture.

L'estampe japonaise. Génie protéiforme, créateur audacieux, Katsushika Hokusai (1760-1849) incarne la spiritualité et l’âme japonaises. « Fou de dessin » (gakyôjin) tel qu’il aime à s’appeler lui-même, doué d’une curiosité artistique insatiable et d’un élan créateur durable et fécond tout au long d’une carrière prolifique, longue de soixante-dix années, servi par une extraordinaire capacité de travail, il laisse une production monumentale, comprenant des milliers d’œuvres remarquables tant par leur qualité esthétique que par leur variété stylistique : peintures, dessins, gravures, livres illustrés, manuels didactiques.

L'estampe japonaise

Cent vingt noms d’artiste Sur les cent vingt noms d’artiste et pseudonymes utilisés par Hokusai, on peut en retenir six principaux qui ponctuent les périodes stylistiques les plus importantes de son œuvre et correspondent aux six grandes phases de sa carrière :• de 1779 à 1794, Katsukawa Shunrô (« Splendeur du Printemps »).

Les « Trente-six vues du mont Fuji » Feuilleter la « Manga » L'estampe japonaise. Le déclin de la culture d’Edo Alors qu’au tournant du siècle, l’estampe polychrome ukiyo-e a atteint son apogée, tout entière consacrée aux quartiers réservés et au théâtre kabuki, monde éphémère des plaisirs cher à la bourgeoisie marchande, elle n’en marque pas moins le pas, la culture d’Edo déclinant peu à peu. Les autorités Tokugawa, qui ont cristallisé un ordre politique et social suranné, se raidissent et exercent sur l’édition une censure de plus en plus sévère ; une série d’édits interdit d’abord de publier des estampes érotiques (shunga), ensuite de mentionner l’identité des courtisanes représentées, enfin de réaliser de grands portraits en buste.

L'estampe japonaise. Issu d’une famille de samouraïs, Andô Hiroshige (1797-1858) reçoit de son père la charge d’officier de la brigade des pompiers à la cour du shôgun, mais il perd ses deux parents dès 1809. Suivant ses aptitudes, il s’oriente très jeune vers le dessin, entre à l’âge de quatorze ans dans l’atelier de Toyohiro Utagawa (1773-1828), et joint dès 1812 le caractère hiro (du nom du maître) à son nom d’artiste. Durant ses années de formation (vers 1811-1830), il s’intéresse surtout à l’estampe de personnages, dans la tradition de ses aînés ; il produit des portraits de courtisanes, d’acteurs et de guerriers, des illustrations de livres, ainsi que des surimono pour des clubs de poésie. À partir des années 1830, il se tourne vers le paysage. La popularité croissante de Hiroshige et les nombreuses commandes d’éditeurs qu’il doit honorer entraînent une surproduction à la fin de sa carrière et son art accuse parfois une baisse de qualité. Can Pekdemir, série Fur, créatures nées de transformations mathématiques.

À la foire néerlandaise Unseen, la galerie The Empire project présentait les trois dernières œuvres de Can Pekdemir tirées de sa série Fur. L’artiste turc, basé à Istanbul, y explore les possibilités de déformations du corps humain ou animal. Quand on parle de Can Pekdemir au galeriste Kerimcan Güleryüz, fondateur et directeur de The Empire Project, il tient tout de suite à ce qu’on ne limite pas son artiste au médium photographique : « Il n’est pas que photographe. Il travaille beaucoup avec des matériaux physiques qu’il soumet ensuite à des mutations mathématiques grâce à des algorithmes ». Paradoxes et problèmes éthiques liés aux modifications corporelles. ORLAN, Triptych Opera Operation, 1993. Le Body Art comme l’art charnel se conçoivent comme des pratiques choquantes et subversives. Parce qu’elles utilisent le corps, et donc l’humain, elles soulèvent irrémédiablement des questions éthiques.

Les articles suivants nous permettront d’aborder cet aspect en interrogeant le rôle de la médecine, la conception de l’humanité, ainsi que l’état de réduction du corps à celui de simple médium et les paradoxes qui en découlent. Nous avions déjà parlé, dans notre article sur « l’importance du corps dans la construction identitaire« , de l’éditorial « Culte de l’individu et perte de l’identité » rédigé par Yves Charles Zarka pour Cités n°21, publié en janvier 2005 et disponible sur Cairn. Larves de Phryganes (Porte Bois) fabriquant son tube-bijoux!!