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System Thinking

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Complexité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Complexité

Illustration métaphorique de la complexité. Les objets (tuyaux) intègrent de nombreux facteurs (taille, diamètre, situation, interconnexion, robinets, ...), ce qui rend la compréhension ardue. La complexité est une notion utilisée en philosophie, épistémologie (par exemple par Anthony Wilden ou Edgar Morin), en physique, en biologie (par exemple par Henri Atlan), en écologie[1], en sociologie, en informatique ou en sciences de l’information.

La définition connaît des nuances importantes selon ces différents domaines. Complexité : paradigme d'approche de tout système , biologique principalement. Constructivisme (épistémologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Constructivisme (épistémologie)

Chantier de construction. Le constructivisme présente les connaissances humaines comme des constructions (p. ex. : des "construits sociaux") et non comme le reflet fidèle de la réalité (tel qu'envisagé par le positivisme). Le constructivisme, en épistémologie, est une approche de la connaissance reposant sur l'idée que notre image de la réalité, ou les notions structurant cette image, sont le produit de l'esprit humain en interaction avec cette réalité, et non le reflet exact de la réalité elle-même. Pour Jean-Michel Besnier, le constructivisme désigne d'abord « la théorie issue de Kant selon laquelle la connaissance des phénomènes résulte d'une construction effectuée par le sujet »[1], ensuite il note qu'en un sens voisin « les travaux de Jean Piaget ont mis en lumière (...) les opérations de l'intelligence dont résultent les représentations du monde ».

Système

L'Évolution créatrice. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Évolution créatrice

Sur les autres projets Wikimedia : nouveauté, sur le Wiktionnaire L'Évolution créatrice est un ouvrage philosophique rédigé par Henri Bergson en 1907. Dans ce livre, Bergson développe l'idée d'une “création permanente de nouveauté” par la nature. Finalisme et mécanisme[modifier | modifier le code] Bergson montre que ces deux visions, que l'on oppose souvent, reviennent en vérité au même dans le traitement de l'évolution. L'élan vital[modifier | modifier le code] Aux deux positions précédentes, Bergson oppose son propre concept d’élan vital : il n'y a pas de plan “déjà prévu” (d'effectivement prévu comme dans le cas du finalisme, ni de simplement prévisible comme dans le cas du mécanisme).

Réception[modifier | modifier le code] Dans Essais sceptiques, Bertrand Russell juge ainsi de l'œuvre : « Les Données immédiates de la Conscience de Bergson furent publiées en 1889, et Matière et mémoire, en 1896. Liens internes[modifier | modifier le code] Holisme. Holisme (du grec ancien ὅλος / hólos signifiant « entier ») est un néologisme forgé en 1926 par l'homme d'État sud-africain Jan Christiaan Smuts pour son ouvrage Holism and Evolution[1].

Holisme

Selon son auteur, le holisme est « la tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l'évolution créatrice[1] ». Le holisme se définit donc globalement par la pensée qui tend à expliquer un phénomène comme étant un ensemble indivisible, la simple somme de ses parties ne suffisant pas à le définir. De ce fait, la pensée holiste se trouve en opposition à la pensée réductionniste qui tend à expliquer un phénomène en le divisant en parties. Valeurs pour le XIX siécle. Infoactivite complexity of information. IGD. L’accroissement important des moyens de communication et la mondialisation des échanges nous immergent dans un univers dont le bouillonnement n’a plus rien à voir avec celui d’autrefois.

IGD

Le besoin de se repérer pour agir, dans un monde où le nombre des interactions et des interdépendances entre les différents acteurs augmente sans cesse, conduit à rechercher des outils conceptuels nouveaux, tant de phénomènes se montrant rebelles aux interprétations courantes . Les modèles les plus répandus, ceux issus de la pensée mathématique comme ceux issus des sciences humaines, apportent aujourd’hui difficilement les réponses à des questions telles que la place et le rôle de l’entreprise dans un contexte socio-économique élargi.Même l’appréhension d’un concept tel que le travail se trouve aujourd’hui privé d’interprétations fédératrices.

Toute approche philosophique devrait se situer par rapport à la question fondamentale du sens, donc de l’existence et de la nature de la finalité.