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Politiques sociales

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Georg Simmel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Georg Simmel Georg Simmel, né le à Berlin en Allemagne et mort le à Strasbourg, est un philosophe et sociologue allemand. Sociologue atypique et hétérodoxe, Georg Simmel dépasse les clivages, pratiquant l'interdisciplinarité. À partir de nombreuses observations et discussions lors de séminaires privés ou publics, il écrit sur plusieurs thèmes : l'argent, la mode, la femme, la parure, l'art, la ville, l'étranger, les pauvres, la secte, la sociabilité, l'individu, la société, l'interaction, le lien social… Son ouvrage Philosophie de l'argent (publié en 1900) est considéré comme son chef-d'œuvre.

Il a influencé les intellectuels de son époque ainsi que des proches d'aujourd'hui : Max Weber, Karl Mannhein, Alfred Schütz, Raymond Aron, Erving Goffman, Howard Becker, Anselm Strauss, Isaac Joseph, Patrick Watier, Raymond Boudon, Guillaume Erner, Georg Lukacs, Zygmunt Bauman. Sa pensée complexe a été critiquée par Émile Durkheim[réf. nécessaire].

- Lirsa - Alain Burlaud - Professeur émérite - HDR. Romain Laufer - Presses des Mines. Simon Nora. Biographie[modifier | modifier le code] Marié en janvier 1947 à Marie-Pierre de Cossé-Brissac (fille de Pierre de Cossé Brissac), avec laquelle il a deux enfants, il divorce, pour se remarier, en mai 1955[2], avec Léone Georges-Picot, avec laquelle il a trois enfants. Il meurt à Paris le 5 mars 2006, des suites d'un cancer. Alain Minc dit de lui : « L'action, pour lui, se mesurait au bon dosage de la rébellion. Trop de rébellion, c'était l'impasse ; insuffisamment de rébellion, le conservatisme bourgeois. Nora était, de ce point de vue, l'illustration qu'au cœur même du système un homme peut se construire un espace de liberté. »[pertinence contestée][3] Carrière[modifier | modifier le code] En 1952, il est secrétaire général de la Commission des comptes de la nation, à l'époque présidée par Pierre Mendès France.

Proche de Jean-Jacques Servan-Schreiber et de Françoise Giroud, il participe aux débuts de L'Express en 1953. Rapports[modifier | modifier le code] Florence Lefresne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Auto-portrait de Florence Lefresne (août 2013). Florence Lefresne, née en 1958 à Paris, est une socio-économiste française. Ses travaux portent principalement sur l’emploi, l'insertion professionnelle des jeunes, les politiques de l’emploi et de la formation ainsi que sur les politiques d'éducation ; ils privilégient les comparaisons internationales.

Elle est également la directrice du CEREQ. Parcours professionnel[modifier | modifier le code] Ancienne élève de l’École normale supérieure de Cachan (1977 à 1981) et agrégée de sciences sociales, elle a d’abord enseigné les sciences économiques et sociales en lycée. En 1992, elle est recrutée à l’Institut de recherches économiques et sociales (IRES) alors sous la direction de Jacques Freyssinet. Depuis le 15 mars 2018, elle dirige le CEREQ[6]. Bibliographie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail de l’économie.

Maurizio Ferrera | Sciences Po liepp. Bio : Born in Naples in 1955, Maurizio Ferrera graduated in Philosophy in Turin (1977) and subsequently gained an MA in Political Science from Stanford University (1981) and a PhD in Political and Social Science at the Institute European University of Florence (1984). Between 1984 and 2003 he taught at the University of Pavia as a researcher (1984-1987), Associate Professor (1987-1994) and finally as Full Professor. It has long been Vice-Director of the “Poleis” Center for Comparative Politics at Bocconi University, where has also taught courses in Political Science (within the DES program ) and European Integration (within the MIEM program).

Since 2003 he has been Full Professor of Political Science at the Faculty of Political Science, Economics and Social Sciences (SPES) of the University of Milan, where he teaches “Theory and Policies of the welfare state”, “Comparative Welfare States” and “Empirical Political Theory “. Contributions : What if the European Union were a Social Union ? André Zylberberg. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. André Zylberberg est un économiste français, spécialiste du marché du travail. Il est né le 20 décembre 1947[1]. Actuellement à la retraite, il était Directeur de Recherche au CNRS et a été membre du Comité national de la recherche scientifique.

Publications[modifier | modifier le code] En 2016, il publie avec Pierre Cahuc Le Négationnisme économique, un ouvrage dans lequel les auteurs défendent l'idée que la science économique serait devenue une science expérimentale, et dans lequel ils reprochent à certains économistes et intellectuels de ne pas le reconnaître et d'ostraciser certaines publications scientifiques. Ouvrages[modifier | modifier le code] L’économie de partage : une solution pour l’emploi ?

Notes et références[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] Portail de l’économie. Olivier Galland. Stéphane Carcillo : biographie, actualités et émissions France Culture. Pierre Cahuc. Pierre Cahuc en 2015. Pierre Cahuc est un économiste français, né le 18 janvier 1962[1]. Professeur à Sciences Po, chercheur au CEPR (Londres) et directeur de programme à l’Institute for the Study of Labor (IZA) (Bonn). Ses travaux portent sur le marché du travail, la macroéconomie et sur les relations entre la culture et les performances économiques. Biographie[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Il effectue l'intégralité de ses études à l'Université Panthéon Sorbonne où il obtient[2] des Maîtrises de droit public (1984), de science politique (1984) et d'économie (1984), des DEA de macroéconomie (1985), de sociologie politique (1986) et un doctorat d'économie (1989). Activité professionnelle[modifier | modifier le code] Pierre Cahuc est professeur à Sciences Po, directeur de programme à l'Institute of Labor Economics (IZA [archive], Bonn) et fellow du Center for Economic Policy Research (CEPR [archive], Londres) Travaux[modifier | modifier le code]

Roger Establet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Roger Establet (né en 1938) est un sociologue français spécialiste de l'éducation. Actuellement professeur émérite à l'Université de Provence, il a publié depuis les années 1970, souvent en collaboration avec son condisciple Christian Baudelot, plusieurs ouvrages sur l'éducation, l'école et la scolarité. Publications[modifier | modifier le code] avec Christian Baudelot, L'école capitaliste en France, Paris, Maspero, 1971.avec Christian Baudelot et Jacques Toiser, La petite bourgeoisie en France, Paris, Maspero, 1974.avec Christian Baudelot, L'école primaire divise, Paris, Maspero, 1975.avec Christian Baudelot et Jacques Toiser, Qui travaille pour qui ?

Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Il rédige le chapitre sur le plan de l'ouvrage de Marx. Liens externes[modifier | modifier le code] Christian Baudelot. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Baudelot. Christian Baudelot en 2013. Christian Baudelot (né le 9 décembre 1938 à Paris) est un sociologue et un spécialiste des sciences de l'éducation français.

Biographie[modifier | modifier le code] Il a publié, souvent en collaboration avec Roger Establet, un certain nombre d'ouvrages dont L'école capitaliste en France (Maspero, 1971), Le niveau monte (Seuil, 1989), Allez les filles (Seuil, 1992). Dans la première partie de sa carrière, il est proche de la philosophie althussérienne. De 1968 à 1989, il est professeur à l'École nationale de la statistique et de l'administration économique (Ensae). Dans la deuxième partie de son œuvre, l'idéologie marxiste se fait moins présente et laisse la place à une sociologie plus durkheimienne de lutte contre les prénotions : Le niveau monte (avec Roger Establet, Seuil, 1989), Et pourtant, ils lisent...

Ouvrages[modifier | modifier le code] Dominique Anxo. Tom Chevalier | Sciences Po liepp. PHILIPPE WARIN | Laboratoire Pacte. Pierre Rosanvallon. Pierre Rosanvallon en 2009. Pierre Rosanvallon, né à Blois le 1er janvier 1948[1], est un historien et sociologue français. Ses travaux portent principalement sur l'histoire de la démocratie et du modèle politique français, et sur le rôle de l'État et la question de la justice sociale dans les sociétés contemporaines. Il occupait jusqu’à 2018 la chaire d'histoire moderne et contemporaine du politique au Collège de France tout en demeurant directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Biographie[modifier | modifier le code] Études[modifier | modifier le code] Pierre Rosanvallon est diplômé de l'École des hautes études commerciales (HEC) en 1969.

Carrière[modifier | modifier le code] Au cours de son service militaire, il fait paraître sous le pseudonyme Pierre Ranval, Hiérarchie des salaires et lutte des classes (1972). Il est un temps chroniqueur économique à Libération[3]. En 1982, il crée la fondation Saint-Simon avec F. Idées[modifier | modifier le code] Serge Paugam. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Serge Paugam (né le 9 mars 1960 à Lesneven dans le Finistère) est un sociologue français.

Parcours[modifier | modifier le code] Il a soutenu sa thèse de doctorat de sociologie en juin 1988 à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) sur « La disqualification sociale ». Directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique et directeur d'études à l'EHESS, il est l'auteur de plusieurs ouvrages, désormais classiques, sur la pauvreté et la précarité, tant en France qu'à l'étranger.

Il a assuré, de 2004 à 2009, la responsabilité pédagogique de la formation doctorale en sociologie de l’EHESS. Il est le père de Léna Paugam, comédienne et metteuse en scène. Thèmes de recherche[modifier | modifier le code] Distinctions[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Bruno.palier | Sciences Po liepp. Bio : Bruno Palier est directeur du Laboratoire interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques (LIEPP). Directeur de recherche du CNRS à Sciences Po (CEE), il est docteur en science politique, agrégé de sciences sociales et ancien élève de l’école normale supérieure de Fontenay Saint Cloud.

Il travaille sur les réformes des systèmes de protection sociale en France et en Europe, et conduit plusieurs projets de recherche sur: les politiques d’investissement social, l’européanisaiton des réformes de la protection sociale, les dualisations sociales en Europe. Il a été Guest Professor à l'Université de Stockholm au printemps 2009, Visiting Scholar à l’Université Northwestern au printemps 2007 et au Center for European Studies de l’Université Harvard en 2001, et Jean Monnet Fellow à l’Institut Universitaire Européen de florence en 1998-1999. Il est honorary Professor of Welfare State Reseach à l’université d’Odense, South Denmark.

Sacha leduc. Camille Peugny. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Camille Peugny est un sociologue français né en 1981. Il est professeur de sociologie à l'université Versailles-Saint-Quentin et associé au laboratoire PRINTEMPS[1]. Ses recherches portent sur le déclassement, la reproduction sociale, la mobilité sociale, et plus généralement sur la stratification sociale et les inégalités sociales en France et en Europe.

Il est également membre du Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris (CRESPPA-CSU) et associé à l’Observatoire sociologique du changement (OSC, Sciences-Po)[2]. Jusqu'en 2018, il était maître de conférences à l'Université Paris-VIII. Travaux[modifier | modifier le code] Dans son ouvrage Le déclassement, issu d'une thèse de doctorat en sociologie soutenue à Sciences Po en 2007, Camille Peugny décrit l'expérience vécue par les générations nées dans les années 1960, confrontées à de sévères trajectoires de déclassement alors même que leur niveau d'éducation est sans précédent. Livres de Jean-David Peroz : bibliographie. Pascal Penaud (auteur de Politiques sociales)

Pentaquiz : on recherche le cinquième terme Afrique, Amérique, Asie, Europe, ... Basson le chien Dagobert Le Deutéronome Jean Valjean New York Océanie Rimski-Korsakov Russie. Livres de Valérie Löchen : bibliographie. Livres de Valérie Löchen : bibliographie. - Lise - Léa Lima (Lise/CEET) Bronisław Geremek. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et jeunesse[modifier | modifier le code] Juif rescapé du ghetto de Varsovie dont il s’est échappé en 1943[2], il adhère en 1950 au Parti ouvrier unifié polonais (PZPR). En 1954, il est diplômé d'histoire de l'université de Varsovie. Il étudie en France en 1956 et 1957, à l’École pratique des hautes études. Prise de distances avec le communisme[modifier | modifier le code] Dans les années 1960, il rejoint le courant dit « révisionniste » du Parti communiste français.

Un soutien de Lech Wałęsa[modifier | modifier le code] Passé dans l’opposition et participant aux activités du Comité de défense des ouvriers (KOR), il assiste aux grandes grèves de Gdańsk en 1980 et rejoint le mouvement syndical Solidarność. Négociateur de la transition[modifier | modifier le code] Aux élections législatives anticipées du 19 septembre 1993, il est à nouveau candidat à la Diète.

Ministre des Affaires étrangères[modifier | modifier le code] Gouvernement Buzek. Bernard Friot (sociologue) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il anime l'Institut européen du salariat et l'association d'éducation populaire Réseau Salariat, qui promeut l'idée d'un « salaire à vie » pour tous, une proposition alternative au revenu de base[3], idée que Friot dénonce comme étant « la roue de secours du capitalisme »[4].

Ses recherches portent sur la sociologie du salariat et la comparaison des systèmes de protection sociale en Europe. Ses travaux ont également porté sur les retraites, allant à l'encontre des réformes proposées par le gouvernement en 2010. Il a plusieurs fois contredit des idées communément admises, comme en 2010 quand il explique que le « chômage des jeunes » est un « mensonge d'état », et qu'en réalité « un taux de chômage de 25 %, cela veut dire que le quart de 30 % des jeunes est au chômage. Julien Reysz, PUG : livres papiers et numériques en ligne. Biographie chantal euzeby. Gøsta Esping-Andersen. Christine Erhel. Nicolas Duvoux. Vincent Dubois - USIAS - Université de Strasbourg. Julien.damon | Sciences Po liepp. Michel Chauvière. Claudine Haroche. Robert Castel (sociologue) Maryse Bresson - Biographie, publications (livres, articles) Robert Boyer. Jacques Bichot. Henri Bergeron.

- Lise - Colette Bec. Jean-Claude Barbier.