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Les résultats du référendum donnent le Brexit vainqueur. Le camp du « Leave », favorable à la sortie du Royaume-Uni de l’UE, l’a emporté avec 51,9 %, contre 48,1 % pour le « Remain », pro-européen. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Le Royaume-Uni a finalement choisi de mettre fin à quarante-trois années d’appartenance à l’Union européenne (UE), vendredi 24 juin. Le camp du « Leave », favorable à la sortie du Royaume-Uni de l’UE, l’a emporté avec 51,9 %, contre 48,1 % pour le « Remain », camp pro-européen.

La participation atteint 72,2 %, soit plus que le taux de participation de 66 % lors des législatives de 2015. 263 circonscriptions ont voté pour la sortie et 119 en faveur du maintien dans l’UE. Suivre notre direct : Le « Brexit » l’emporte à 51,9 %, selon les résultats définitifs Cameron va démissionner « Les Britanniques ont pris une décision claire (…) et je pense que le pays a besoin d’un nouveau leader pour prendre cette direction », a déclaré M. Lire aussi : « Brexit » : le pari perdu de « lucky Dave » Trois cartes pour expliquer le vote en faveur du Brexit. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.

Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Replay Emissions bien ensoleillé Vent : 5km/h - UV : 1 Clôture veille : 4778.08 Ouverture : 4762.17 Replay Emissions OlivierLAFFARGUE Journaliste, Rédacteur photo CARTE - Les Britanniques ont donné leur verdict et c'est un tremblement de terre politique qui conclut cette campagne. On savait le match serré, pourtant la décision du peuple anglais de quitter l'Union européenne résonne comme un coup de tonnerre. Ils ont voté pour le maintien dans l'Union Européenne • Londres. . • Les villes universitaires. . • L'Ecosse. . • L'Irlande du Nord. Ils ont voté pour le Brexit • Les zones rurales anglaises.

. • Les stations balnéaires. Un vote très générationnel Tweeter. « Brexit » : les positions contrastées des politiques britanniques. A quatre semaines du référendum sur l’avenir du Royaume-Uni dans l’Union européenne, qui se tiendra le 23 juin, les électeurs restent partagés sur la question. A quatre semaines du référendum sur l’avenir du Royaume-Uni dans l’Union européenne, qui se tiendra le 23 juin, les électeurs restent partagés sur la question. Il en va de même pour la classe politique britannique, les camps du « in » et du « out » s’opposant parfois au sein du même parti. Lire aussi : Le « Brexit » en 8 questions : les Britanniques quitteront-ils l’Europe ?

Les conservateurs Les conservateurs, au pouvoir, sont très divisés sur la question du « Brexit ». La division est cependant plus visible à la Chambre des communes. Les tories pro-« Brexit » ont un ambassadeur charismatique en la personne de l’ancien maire de Londres Boris Johnson, qui s’affiche à la fois comme opposant au maintien de son pays dans l’UE, et à David Cameron, dont il ambitionne de prendre la suite au 10, Downing Street. Les travaillistes Le UKIP. Brexit: Pourquoi le Royaume-Uni n'est en fait jamais vraiment entré dans l'UE?

BREXIT Le Royaume-Uni avait signé de nombreux accords dérogatoires depuis son adhésion en 1973… Caroline Politi Publié le Mis à jour le Le Brexit a eu le mérite de mettre les choses au clair. Désormais, la défiance du Royaume-Uni vis-à-vis de l’Union Européenne est entérinée. Le budget Six ans à peine après son adhésion, en 1973, à la CEE, le Royaume-Uni réclame une révision de sa participation au budget européen. D’autant que même sorti de l’Union européenne, le Royaume-Uni pourrait continuer à verser de l’argent. L’espace Schengen Plus la construction européenne progresse et plus les Britanniques deviennent les champions des régimes dérogatoires. Jusqu’à présent, une carte d’identité suffisait. Le refus d’adopter l’Euro A la signature du traité de Maastricht en 1992, le Royaume-Uni fait encore figure de rebelle. Si le Royaume-Uni n’a pas à changer de monnaie, le Brexit reste un casse-tête.

Vers un renforcement de l’UE ? Mots-clés : Avant le « Brexit », trente ans d’histoire tumultueuse entre le Royaume-Uni et l’UE. Londres a choisi de mettre fin à quarante-trois années d’appartenance à l’Union européenne. Mais les relations n’étaient plus au beau fixe depuis déjà trente ans. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé En 1946, dans son discours de Zurich, Winston Churchill employait l’expression « les Etats-Unis d’Europe ».

Depuis, les relations du Royaume-Uni avec l’Union européenne restent tendues. Jusqu’à la promesse récente de David Cameron d’organiser un référendum sur la question de l’appartenance à l’Union européenne (UE). Retour sur trente ans de relations compliquées entre l’île et le continent. Quand les travaillistes voulaient sortir de l’Europe Le Royaume-Uni intègre la Communauté économique européenne (CEE), ancêtre de l’UE, en 1973. . « En nous empêchant d’acheter la nourriture aux meilleures sources disponibles dans le monde, [les contraintes européennes] vont à l’encontre de nos plans pour contrôler les prix et l’inflation. » « I want my money back » Des suites d’exemptions. Impact of Immigration on UK Economy. Why did people vote for Brexit? Deep-seated grievances lie behind this vote.

More books will be written analysing the UK’s exit from the European Union than about anything that has happened in British politics since 1945. People on both sides of the leave-remain argument are viscerally affected by their responses to the referendum. They have felt it physically, which is unusual for conventional politics. The decision can be seen as yet another long-term consequence of the Second World War but also, amongst other things, as a response to globalisation, the fall-out from the end of the Cold War and the 2008 banking crisis. Feelings are intensified because the result was so hard to imagine. Feelings are further intensified because there is no predictable way forward. “We’ve got our country back” was the heartfelt response of many who had voted ‘leave’.

The most likely reasons include: A desire to leave the EU To reduce immigration A response to change in job quality and security A dislike of austerity and stress on public services An anti-government vote Centralisation. Brexit: le portrait robot des partisans du "in", et de ceux du "out" Le prototype du partisan de l'UE est une femme de 25 ans, diplômée et qui vit en Ecosse, s'amuse le Daily Telegraph. A l'inverse, le pro-Brexit type est un homme d'âge avancé qui n'a pas étudié très longtemps et est installé dans le sud-Ouest de l'Angleterre. Revue de détail. "In", les jeunes La jeunesse britannique est dans une large majorité en faveur du maintien: 61% des 18-24 ans sont pour rester dans l'UE tandis que seuls 21% sont pour un Brexit, selon un récent sondage YouGov.

Problème, leur faible taux de participation, contrairement aux plus âgés, fidèles aux urnes: la moitié des 18-34 ans se dit prête à aller voter, contre 80% des plus de 65 ans, selon un récent sondage de l'institut BMG. Les classes populaires, plutôt "out" Ceux que YouGov qualifie de classe ouvrière ne sont que 36% en faveur du "in" contre 50% pour le Brexit.

Si la perspective d'une sortie de l'UE inquiète les traders de la City, les couches populaires le sont moins. L' Ecosse, championne du "in" Le Royaume-Uni se divise sur le Brexit : quelles sont les régions qui ont voté pour et celles qui ont voté contre ? Le Royaume-Uni a tranché. Le pays va quitter l'Union européenne.

Mais ce vote met de profondes fractures au grand jour. Les Ecossais ont nettement voté contre une sortie de l'UE, quand la campagne anglaise a scellé l'avenir des Britanniques en choisissant le divorce. >> Le Royaume-Uni dit "goodbye" à l'UE : suivez l'actualité en direct Ils ont voté pour le Brexit La campagne anglaise a largement voté pour le Brexit, montre clairement la répartition des votes. Notamment les "Green Belts", les ceintures vertes qui encerclent les grandes villes. Les stations balnéaires, populaires dans les années 1950 et aujourd'hui tombées en décrépitude, ont été le territoire de chasse privilégié de l'Ukip, le parti anti-immigration. Les personnes âgées ont largement voté pour quitter l'Union, alors que les jeunes, eux, voulaient plutôt rester, selon un sondage de YouGov.

Ils ont voté contre le Brexit Londres, la capitale britannique, s'est majoritairement prononcée en faveur du maintien. Brexit: Des centaines de Britanniques se cherchent une autre nationalité pour rester Européens.