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Questions de français

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Les conjugaisons françaises. : La conjugaison de ce modèle est régulière. Cependant, elle se caractérise par le fait que le radical conserve l'orthographe -ai devant un s actif. Ce phonème se prononce comme un e ouvert. Par ailleurs, la deuxième personne du pluriel de l'indicatif présent prends une forme irrégulière : Vous faites au lieu de vous faisez. Ainsi se conjuguent contrefaire, défaire, forfaire, malfaire, méfaire, parfaire, redéfaire, refaire, satisfaire, stupéfaire, surfaire.

N.B. : Les verbes forfaire, méfaire, parfaire et surfaire sont défectifs. : Ce verbe, ainsi que ceux se conjuguant sur ce modèle n'ont ni passé simple, ni subjonctif imparfait. Ainsi se conjuguent abstraire, braire, distraire, extraire, raire, rentraire, retraire, traire. : Ce verbe n'a pas d'accent circonflexe (^) à la troisième personne de l'indicatif présent. : Ce verbe et ses dérivés prennent accent circonflexe (^) à la troisième personne de l'indicatif présent. Ainsi se conjuguent complaire, déplaire. Ainsi se conjugue sourire.

LES REGISTRES LITTÉRAIRES. [Une étape du Tour de France 1964.] C'est la journée de repos. Raymond Poulidor, comme les autres champions, roule, s'entraîne, teste les braquets sur les pentes environnantes. En guise d'entraînement, Jacques Anquetil, polo gris, pantalon gris et mèche blonde - mèche que l'on ne reverra plus jamais dans le peloton hormis au front d'Evgueni Berzin , l'enfant des loups - débarque au méchoui organisé dans la Principauté par Radio Monte Carlo.

Cuissot, rognons, sangria : tout finit dans le buffet de Jacques. Le lendemain, dès les premiers lacets de l'interminable col d'Envalira et vexé par tant de désinvolture, le gratin des pentes - Raymond Poulidor, Federico Bahamontes et Julio Jimenez - place un terrible démarrage et s'envole. Anquetil monte, livide, avec cuissot, rognons et sangria.

L'écart se creuse, atteint les quatre minutes, Poulidor peut s'emparer du maillot jaune. Erreurs de style courantes. Articuler ses idées. Les fameux connecteurs… éparpillés dans mon cahier, encadrés dans mon livre, disséminés dans ma tête… Voici une carte très simple qui regroupe ces petits mots qui permettront d’articuler les idées entre elles, de les dérouler dans le temps et de les organiser dans "l’espace" de la pensée. Il ne s’agit pas d’une carte exhaustive regroupant tous les connecteurs mais plutôt d’une sorte d’antisèche (une autre carte sur les relations logiques se trouve ici) On peut s’en servir à l’oral ou à l’écrit, la garder avec soit "au cas où", ou l’ accrocher au-dessus de son bureau pour rédiger un mail par exemple. Si vous souhaitez vous en inspirer pour construire une carte sur ce sujet avec vos élèves, vous pouvez utiliser le coeur de carte suivant : Les deux cartes sont téléchargeables ici : argumentation-complèteargumentation-vide Marion Charreau Like this: J'aime chargement…

Relations logiques. Les doubles consonnes. Les doubles consonnes posent beaucoup de problèmes aux élèves qui étudient le français. Voilà un petit aide qui peut vous être utile, puis un test N'oubliez pas que le groupe -NM- n'existe pas en français, il faut écrire -MM-. ............. immeuble ........... immobile................. immortel. Les différents registres (ou tonalités) littéraires | Le Français, c'est pas que des dictées !

Liste de pléonasmes. Cours de français - ON NOUS A VOLÉ NOTRE TRAVAIL ! - Société. Les pronoms COD, COI, EN et Y. FranceTerme. Consultation en ligne. Dire, ne pas dire. Le nom lit nous vient du latin lectus, de même sens, qui appartient à une grande famille indo-européenne d’où sont aussi issus les noms grecs lektron et lekhos, désignant le même meuble, et les verbes anglais to lay et to lie et allemands legen et liegen, « coucher » et « être couché ». Ce nom a un synonyme appartenant à un registre plus élevé, couche, parfois accompagné d’adjectifs comme royal ou nuptial, qui désigne le plus souvent le lieu de l’union des corps, généralement autorisée par des liens officiels et d’où naîtront des enfants légitimes.

C’est pour cette raison que, si les serments du mariage sont trahis, on accole à ce nom des termes comme adultère ou souiller. Mais, étonnamment, si couche appartient à un registre soutenu, le verbe qui en est tiré, coucher, relève de la langue ordinaire, et même de la langue familière quand il signifie « avoir des relations sexuelles », tandis que le nom dérivé de ce verbe, coucherie, appartient, lui, à la langue vulgaire.