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Nobel de la Paix en Syrie : Poutine ou les « Casques blancs » ? | Un si Proche Orient. L’horreur présente en Syrie va sans doute peser sur l’attribution du Prix Nobel de la Paix pour 2016. L’alternative en ce cas est claire pour le comité d’Oslo : Poutine ou les « Casques blancs ». Le comité chargé par le Parlement norvégien de désigner le Prix Nobel de la Paix ménage souvent ses surprises. Cela avait été le cas en 2009 avec l’honneur accordé à Barack Obama, qui n’occupait la Maison blanche que depuis neuf mois. Le bilan du président américain était alors purement déclamatoire. Le président russe a l’immense avantage d’incarner une vision de la paix, la paix des régimes contre la paix des peuples, et de tirer toutes les conséquences opérationnelles d’un tel engagement. Si le comité d’Oslo manque d’arguments en faveur d’une candidature de Poutine, je lui retransmettrai volontiers les messages de haine que je reçois à foison, beaucoup plus de la part des pro-Kremlin que des pro-Assad.

Yvanoshka, héros parmi les héros Je suis si fière de toi Ne t’inquiète pas ! Les conditions de travail chez Amazon à nouveau critiquées. A quoi reconnait-on que Noël commence à pointer le bout de son nez ? Les illuminations commencent à être installées dans les rues, certes mais surtout… Amazon sollicite 15.000 employés temporaires pour faire face à une recrudescence temporaire de son activité, le plus souvent en intérim.

Or justement, Amazon fait l'objet de vives critiques ces dernières heures. En Allemagne, plusieurs centaines de salariés était en grève lundi matin pour exiger des hausses de salaires et menacent de poursuivre le mouvement au risque de perturber les livraisons de Noël. Outre Manche, un journaliste britannique de la BBC a testé les conditions de travail des «pickers» (cueilleur en bon français) de la société américaine. Vêtus de leurs gilets orange fluorescents, ces petites mains se chargent de préparer les colis dans des entrepôts gigantesques, dont la taille dépasse plusieurs terrains de foot. Une cadence millimétrée, le cerveau au vestiaire Des conditions de travail déjà dénoncées en France. Une employée d'Amazon raconte «la peur organisée» Amélie (1), 30 ans, a travaillé quelques semaines au sein de la plateforme d’Amazon à Montélimar (Drôme). Alors que des grèves pour des hausses de salaires se poursuivent en Allemagne, nous avons décidé de publier son témoignage, saisissant, sur les conditions de travail au sein du numéro 1 mondial de la vente en ligne.

«Les agences d’intérim de Montélimar recrutent en fin d’année des hordes de salariés sur les quatre postes de travail de la plateforme Amazon, implantée il y a trois ans. Vous pouvez y être admis comme "eacher", pour réceptionner les marchandises et les enregistrer informatiquement; "stower", pour les ranger dans les kilomètres d’étagères de l’entrepôt; "picker", pour arpenter les allées et rassembler les produits commandés; ou "packer", pour les emballer avant expédition. «C’est en tant que pickeuse que j’ai découvert l’univers d’Amazon. «Il est temps de picker» «"Les salariés qui sont aujourd’hui embauchés en CDI ont commencé comme vous, en intérim.

Des employés d'Amazon France en grève pour dénoncer leurs conditions de travail. Des cadences de travail trop soutenues et une surveillance de tous les instants, voilà ce que dénoncent, depuis hier, une centaine d'employés du site Amazon de Saran dans le Loiret. Fort de 900 salariés oeuvrant sur une zone de 70.000 m2, le premier centre logistique hexagonal du géant américain serait donc handicapé et le mouvement pourrait s'étendre au site de Chalon-sur-Saône, en Saône et Loire. Comme le rappellent nos confrères du Figaro.fr, cette grève fait suite à une autre ayant eu lieu en Allemagne au sein de deux centre logistiques de la firme de Jeff Bezos. Les syndicats locaux exigeaient eux aussi de meilleures condition de travail et un rattachement à la convention collective du secteur du commerce de détail.

Des revendications rejetées par le groupe américain. Amazon, Une pétition dénonce des conditions de travail humiliantes. Amazon rêve de livrer ses clients par drones mais la firme a-t-elle de la considération pour ses employés ? Une pétition, signée par 45 000 personnes, dénonce des conditions de travail humiliantes. Selon Bloomberg Businessweek, Amazon n’est pas une entreprise où il fait bon vivre. L’environnement de travail des cadres serait difficile, mais une pétition au Royaume-Uni dévoile que la situation ne serait guère mieux, pour ne pas dire pire, pour le personnel travaillant aux entrepôts. Cette pétition aurait recueilli près de 45 000 signatures ce qui est énorme. Elle laisse entendre que le personnel saisonnier, voué aux tâches dans les entrepôts d’Amazon, est confronté à des conditions de travail dites « humiliantes » tandis que les salaires proposés ne permettraient même pas d’acheter l’essentiel pour vivre.

Selon Emily Kenway de ShareAction à l’origine de ce document et cité par The Gardian, Amazon Vos recherches qui ont mené à cet article : Drame : un journaliste découvre le monde du travail chez Amazon. Nous sommes en 2012, à l’approche des fêtes de fin d’année. Jean-Baptiste Malet, jeune journaliste de 25 ans, à la suite d’un pari un peu fou et la tête encore pleine des idéaux que l’École de Journalisme lui aura insufflés, va tenter l’impensable : s’immerger pendant plusieurs semaines dans un entrepôt logistique du géant du e-commerce, Amazon.

Et là, c’est le drame. Dans un livre entier avec plein de mots et de pages, notre journaliste va nous relater l’intégralité des horreurs de la guerre économique et du stakhanovisme effréné qui se déroulent à l’insu de tous une fois que vous avez cliqué sur « valider votre commande » sur le site Web du célèbre marchand de livres. Dans une interview, réécrite parodiquement par Contrepoints, il revient sur sa terrible expérience. Pourquoi avoir voulu enquêter en immersion chez Amazon ? Moi, je suis un type super-observateur, et j’ai tout de suite vu que les librairies ferment les unes après les autres en France. Oui. Je ne pense pas. Oh bah non ! Témoignage : chez Amazon, une armée de forçats tenus au silence. ¼/span> « Sud Ouest Dimanche ». Pourquoi avez-vous choisi de vous intéresser à Amazon ? Jean-Baptiste Malet. Quand je me rends dans une nouvelle ville, je cherche systématiquement les librairies indépendantes. . « Sud Ouest Dimanche ».

Jean-Baptiste Malet. Vous avez infiltré un entrepôt. J’ai d’abord cherché à rencontrer des employés d’Amazon à la sortie de leur travail, à Montélimar (Drôme). Décrivez-nous les conditions de travail… Je travaillais en horaires de nuit, de 21 h 30 à 4 h 50, avec deux pauses de 20 minutes. Mais ces conditions difficiles ne sont-elles pas le lot commun à tous les emplois de ce type ? J’ai fait beaucoup de petits boulots avant de devenir journaliste. Jeff Bezos, le patron et fondateur d’Amazon, qui par ailleurs méprise l’objet livre, a un rapport très idéologique au monde. La devise d’Amazon : « Work hard, have fun, make history » (« Travaille dur, éclate-toi, fais l’histoire ») est le comble du cynisme. En partie.

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