background preloader

Guéant

Facebook Twitter

Mompontet:Un pas de Guéant pour l'humanité [Pol] 13h15 110212. Claude Guéant - Biographies et actualités de Claude Guéant. Son pouvoir auprès du président de la République est si important qu’on le surnomme "l’homme le plus puissant de France", "le cardinal", "le vice-roi" ou "Premier-ministre bis".

Après avoir été depuis le 16 mai 2007 l'influent secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant est nommé ministre de l'Intérieur et de l'Immigration lors du remaniement du gouvernement de François Fillon le 27 février 2011. Il quitte le poste en mai 2012, après la défaite de Nicolas Sarkozy. Fidèle parmi les fidèles du président, Claude Guéant voue à Nicolas Sarkozy une dévotion sans bornes, et possède avec lui une proximité qui agace à l’Elysée les conseillers, les ministres et l’entourage proche. Omniprésent, il gère et contrôle tout : politique, économie, diplomatie. Bourreau de travail, quinze à seize heures par jour, il est totalement engagé dans sa fonction. "Va voir Claude" Le chef de l’Etat le sait, délègue en toute confiance à son "vice-président" la gestion des dossiers.

"Beaucoup déléguer... " Claude Guéant bientôt avocat ? “Claude Guéant a effectué en juillet auprès du bâtonnier de Paris une demande de validation des acquis de son expérience afin de pouvoir exercer la profession d’avocat.” C’est ce qu’a confié l’entourage de l’ancien ministre de l’Intérieur à l’AFP. Claude Guéant envisagerait de créer un cabinet spécialisé dans le droit administratif et de travailler au côté de son fils, François Guéant, avocat fiscaliste, conseiller régional UMP de Bretagne et ancien député suppléant du Morbihan, battu aux élections législatives de juin dernier. Un décret publié début avril, dans les ultimes semaines du gouvernement Fillon, permet aux anciens ministres et parlementaires de devenir avocats sans formation spécifique ni examen. Le texte dispense “de formation théorique et pratique ainsi que du certificat d’aptitude à la profession d’avocat les personnes ayant exercé des responsabilités publiques les faisant directement participer à l’élaboration de la loi (…) pendant huit années”.

Sylvain Henry.