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L’étrange immeuble du 145 rue la Fayette | Mon chat aime la photo. C’est le genre d’immeuble d’un certain âge en pierre de taille devant lequel on peut passer tous les jours sans rien remarquer d’étrange. Peut-être même certains d’entre vous sont passés devant le 145 rue la Fayette sans constater quelque chose d’inhabituel. Et pourtant… Cet immeuble est factice ! Remarquez la saleté On disait donc : un immeuble assez commun. Avec une porte, un garage, des fenêtres, des balcons. Garage factice Pas de digicode, interphone, poignée, nom. Des grilles à la place des plafonds Fenêtre sales et mur noir juste derrière La gueule de l’enfer ! J’aimerais vous révéler l’adresse du MIB français.

. - N’avez-vous jamais été au numéro 145 de la rue Lafayette? Il s’agit donc d’une vulgaire cheminée d’aération pour le RER. Lecteur, connais-tu d’autres adresses factices ? Bonus La fresque Coup de chapeau à Paris de Boisrond à quelques encablures de là. Le dépôt de la Chapelle se cherche un avenir - 18/12. Dans une atmosphère de fin de règne, une dizaine d'agents travaillent encore dans l'immense dépôt SNCF de la Chapelle, au pied de la butte Montmartre (XVIIIe), la « maison » des « petits gris ». « Ce site est très important dans l'histoire du réseau, insiste Alain Maucourt, le directeur du technicentre Paris-Nord. Il a été créé en 1846 pour la réparation des locomotives à vapeur, il a connu l'électrification du rail. » Mais l'histoire s'arrête là : devenu obsolète, le technicentre de la Chapelle va fermer.

Les nouvelles rames électroniques sont désormais entretenues dans des ateliers à la gare d'Epinay-Villetaneuse (Seine-Saint-Denis). Quant au site historique, qui s'étend entre les portes des Poissonniers et de la Chapelle, « il devrait être vendu », indique la SNCF, qui s'attend à de futurs programmes immobiliers d'envergure, sur le modèle de la requalification en cours aux Batignolles, dans le XVIIe.

Alain Bashung raconté par la Goutte d'Or, son quartier. Chloe Mons, l’épouse d’Alain Bashung, sa fille, Poppée, Daniel Vaillant, maire du 18e, lors de l’inauguration du square dédié au chanteur, jeudi 21 juin 2012. Le chanteur Alain Bashung a vécu les dernières années de sa vie dans le 18e arrondissement de Paris. Ceux qui l’ont connu dans le quartier de la Goutte d’Or, racontent un homme humble et discret. Dont la mémoire est désormais honorée d’un jardin à son nom. C’est au bout d’une allée paisible et privée, la Villa Poissonnière, dans une grande maison de style, que le chanteur Alain Bashung a passé les dernières années de sa vie.

Avec sa famille, ils y avaient élu domicile en 2005. Sa femme, Chloé Mons, y réside toujours, avec leur petite fille de 11 ans, Poppée. « Un havre de paix » au milieu de la Goutte d’Or, qu’ils avaient « choisi pour son jardin », explique la veuve du rocker. Un jardin, certes petit, mais charmant, avec de grands arbres qui lui donnent un côté intimiste. Discret mais généreux Un client normal. Très chères Abbesses - 26/11. Les dispositifs de la ZSP deviennent plus compréhensibles. Il s'agit d'un article long... pour un samedi ! Mais il se passe des choses à Barbès et dans la Goutte d'Or: d'abord une réunion en mairie du 18e mercredi 14 pour présenter le dispositif local de zone de sécurité prioritaire, puis une visite du ministre de l'Intérieur, Manuel VALLS, vendredi après midi. Nous relatons par le menu ces deux événements, aujourd'hui et demain. Depuis l'été dernier, la presse et le ministère de l'Intérieur parlent de ces fameuses zones de sécurité prioritaires (ZSP) qui devraient à long terme – cette expression « à long terme » n'est pas une figure de style mais bien le signe que la patience est de mise – résorber les problèmes de délinquance qui ruinent le quotidien de quelque 1,6 million de citoyens qui vivent dans ces zones.

Il y a désormais 64 ZSP dans toute la France, mais celle qui nous intéresse le plus – qui VOUS intéresse le plus ! - est Barbès/Chateau Rouge/Goutte d'Or. Les annonces intéressantes : La méthode en trois temps expliquée par le Préfet. PPrama242. L'escalier de la rue d'Alsace après restauration... Il y a encore peu de temps, on ne pouvait pas le voir, caché derrière ses palissades. Les ouvriers travaillaient à le restaurer, nous avait-on dit de bonne source. Des petits malins habitant le quartier ont pu malgré tout nous adresser cette vue presque aérienne de l'escalier en travaux : C'était en juin. Peu de temps après, les palissades sont tombées. On a pu voir l'effet de la rénovation des vieilles pierres. Bon, c'est une rénovation. Consulté, un ami architecte nous dit qu'il ne faut pas s'arrêter aux différentes teintes des pierres. Voici quelques photos, si vous n'avez pas trop le temps d'aller voir sur place : De loin, l'ensemble rend assez bien.

L'état des balustres, de loin donc, ne saute pas aux yeux. Au soleil, ou sous les nuages, le rendu est à peu près le même. Pour les curieux, qui se demandent quel est édifice dont toutes les pierres dégradées ont bien pu être remplacées... il s'agirait du Pont-Neuf de Paris. Messy Nessy Chic The Paris Time Capsule Apartment. A Parisian apartment left untouched for over 70 years was discovered in the quartier of Pigalle a few summers ago and I’ve been meaning to share the pictures with you.

Time to unlock the vault … The owner of this apartment, Mrs. De Florian left Paris just before the rumblings of World War II broke out in Europe. She closed up her shutters and left for the South of France, never to return to the city again. Seven decades later she passed away at the age of 91. The team that had the honor of opening what must have been a very stiff old lock for the first time in 70 years, likened the experience to ‘stumbling into the castle of sleeping beauty’.

There is a further twist to the story. With some expert historical opinion, the ribbon-bound love letters were quickly recognized as the calling card of none other than Giovanni Boldini, one of Paris’ most important painters of the Belle Époque. What kept her away even after the war? Via The Telegraph, photos by GETTY. Victor Hugo, l'art d'emménager dans le 9e.