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Le terminal mobile, l'allié du commercial en rayon

Le terminal mobile, l'allié du commercial en rayon
Mallette de travail ouverte sur le sol, PC portable posé sur une palette, catalogue papier coincé sous le bras... Pas facile pour un commercial de travailler dans ces conditions! C'est pourtant souvent le cas, car le chef de rayon a de moins en moins de temps pour le recevoir dans ses bureaux. Du coup, le chef de secteur doit se contenter d'un quart d'heure d'entretien, dans le rayon, en se débrouillant comme il peut pour sa présentation. Pour pallier ce désagrément, les industriels de la grande conso ont alors ­décidé, lors du renouvellement de leur parc informatique, d'équiper leur force de vente d'outils nomades: smartphone, tablette, PC hybride. Les avantages sont nombreux: plus petits, plus légers, plus performants et rapides, plus autonomes (les batteries peuvent tenir jusqu'à 18 heures pour certains appareils, quand le maximum pour un PC portable est d'environ trois heures...), plus connectés, ludiques et modernes... Related:  distributionmarketing digital

Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Leur arme: Intermarché Express, une nouvelle enseigne calibrée pour le centre-ville. Ils ont inauguré une supérette de 875 m2, installée à la place d'un ancien garage. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris

High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... Soyons clairs, cette révolution numérique ne s'est pas faite sans douleur. A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique. Les formations aussi ont dû être adaptées aux exigences nouvelles de la clientèle. Claire Bader Surprise !

But, Conforama, Ikea :comment la bande des trois réagit à la crise du marché du meuble Les clients se font un peu prier pour venir dans les magasins de meubles ? Les trois leaders du secteur, But, Conforama, Ikea, se rapprochent d'eux avec des formats plus petits et en développant les services Web. Encore une exception culturelle : en France, plus qu'ailleurs, la crise de l'immobilier a un impact direct sur la vente de meubles. Contrairement à nos voisins européens, qui renouvellent plus régulièrement les leurs, les Français ont tendance à craquer pour un nouveau salon ou une cuisine flambant neuve seulement lorsqu'ils déménagent. Alors, quand la pierre vacille... En 2013, le marché du meuble a ainsi reculé de 3%. Dans ces conditions, comment les as de la commode, Ikea, Conforama et But, se débrouillent-ils pour attirer le chaland ? La première initiative des enseignes pour résister à la crise ? But a accéléré le déploiement de son concept urbain But City et de But Cosy à proximité des petites villes. Jean Botella

Les Français sont connectés, qu'attendent les magasins ? Toujours plus. Les Français ne sont pas tendres avec les magasins. C'est un comportement certes historique, mais il devient de plus en plus structurel. Ils en attendent donc davantage, quitte à payer un peu plus cher : 1 Français sur 2 fréquente moins les magasins qu'il y a 5 ans, 59% d'entre eux veulent aller à l'essentiel et 65% regrettent de ne pas avoir un conseil plus personnalisé par exemple. Principaux enseignements (extraits de l'étude) 47% des Français déclarent se rendre moins souvent en magasin qu'il y a 5 ans pour faire leurs achats. Ce constat souligne la relation imparfaite qu'entretiennent les Français avec les magasins : 23% d'entre eux affirment que lorsqu'ils y font leurs achats, ils ne trouvent pas facilement toutes les informations, tous les conseils dont ils ont besoin et seuls 22% d'entre eux estiment que les magasins savent les conseiller en fonction de leurs derniers achats. Manque de reconnaissance dans la vraie vie Les vendeurs boucs émissaires Toujours plus vite

La répartition géographique de la grande distribution en France et à Paris L’implantation des enseignes la grande distribution n’est jamais anodine. C’est ce que révèle cette analyse de la carte de la grande distribution en France, constituée à partir des listes de magasins disponibles sur les sites des enseignes de grande distribution. Une situation d’autant plus particulière à Paris, où le groupe Casino est en situation de quasi monopole dans certains quartiers. Distribution : ces cartes qui prouvent qu’il y a des monopoles La répartition territoriale des enseignes est fortement liée au revenu : l’exemple parisien. Toutes les enseignes n’ont pas la même clientèle cible, bien entendu. La division Franprix/Monoprix, toutes deux du groupe Casino, à Paris est représentative de cette répartition des enseignes. Nombre de magasins Monoprix pour 10.000 habitants par arrondissement à Paris (cliquez sur les codes postaux dans la légende pour faire apparaître ou disparaître les données de l’histogramme) Nombre de magasins Franprix pour 10.000 habitants par arrondissement

Digital : la moitié des distributeurs français ne sont pas prêts La grande distribution française serait-elle à la traine en matière de stratégie digitale ? Il semblerait. Une étude menée par le cabinet Oliver Wyman pour le compte de nos confrères de chez LSA montre en effet que parmi l'ensemble des acteurs de la grande distribution (alimentaire et non-alimentaire) interrogés - points de vente, sièges de sociétés de distribution, centrales d'achat, et e-commerçants - près de la moitié (46%) affirment que leur société n'est pas adaptée aux transformations digitales actuelles. Cependant, il est intéressant de noter que les points de vue diffèrent selon la catégorie de sondés. Plus particulièrement, les sièges des sociétés de distribution paraissent plus optimistes que les opérationnels. Source : La Mutation digitale de la distribution, Oliver Wyman/LSA, novembre 2014

High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... Soyons clairs, cette révolution numérique ne s'est pas faite sans douleur. A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique. Les formations aussi ont dû être adaptées aux exigences nouvelles de la clientèle. Claire Bader Surprise !

- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub Un transfert des métiers du marketing traditionnel vers le digital Les experts interrogés par /le hub de La Poste s’accordent : alors que le marché de l’emploi est assez terne en France, le secteur du marketing et de la relation client recrute… sur certains postes. Essentiellement ceux liés au digital et à la connaissance client. Pour Martin Villelongue, responsable de la division Marketing au sein du cabinet de recrutement Michael Page : « Les fonctions marketing sont relativement conjoncturelles. Pour Claire Romanet, fondatrice et dirigeante du cabinet de recrutement Elaee, spécialisé dans les métiers de la communication, du marketing et du digital : « Le marketing est directement lié à l’acte d’achat, donc aux ventes et revenus de l’entreprise, vecteur important de sa rentabilité. Un exemple : la compétence la plus demandée sur LinkedIn l’an dernier, tous secteurs et tous métiers confondus, était le social media marketing. Pouvoir identifier les nouvelles exigences des clients

Qui se cache derrière les marques de distributeurs ? Les marques de distributeurs (MDD) représentent 35,5% des achats en valeur en grande surface, selon Nielsen. Mais qui fabrique exactement les raviolis Carrefour, la crème fraîche "marque repère" de Leclerc ou la confiture de Casino ? Derrière ces MDD se cachent des PME inconnues du grand public, des fournisseurs européens, mais aussi... de grandes marques comme Yoplait, Nestlé ou Bonduelle. Mais chut ! Le secret est bien gardé et ce n'est qu'en décryptant les mystérieux codes sur les emballages que le JDN a déniché ces produits MDD vendus jusqu'à 50% moins chers que ceux de marque et pourtant fabriqués... exactement au même endroit.

Communication commerciale - L'Express L'Expansion Les quinze tendances du marketing de demain A chaque nouvelle année, son lot d'oracles. Data, mobilité, réseaux sociaux... Nous avons épluché pour vous les prédictions des meilleurs experts en la matière pour retenir les 15 tendances lourdes de 2015. Les leçons des champions du m-commerce Le point commun entre McDo, Leboncoin et Vente-Privée ? Les Big Data Les Big Data, qui signifie littéralement en anglais "grosse donnée", fait référence à un nombre important de données numériques, dont le traitement nécessite une redéfinition de la gestion de ces mêmes données. Big Data, pourquoi les entreprises françaises peinent à se lancer Connaître son client, prévoir son comportement et adapter en temps réel ses offres : sur le papier, les bénéfices de la Big Data sont alléchants. "Le mobile, plus qu'un canal de vente, un nouveau service" Un cinquième des audiences digitales de Darty sont d'ores et déjà mobiles. Pourquoi le m-commerce fait déjà rêver Le mouvement est lancé.

Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin "Alors que sur Internet, on vient chercher un objet précis, le magasin doit déclencher un comportement "shopping", explique Cédric Ducrocq, le président du groupe de conseil Dia-Mart. Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Favoriser la relation humaine

Le « Big » Data Marketing : quels bénéfices pour les annonceurs et pour le consommateur final ? Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final. Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final.Les technologies hyper puissantes du Big Data sont aujourd’hui disponibles et les données à agréger, structurer, segmenter et exploiter ne manquent pas ! Elles foisonnent au travers des différentes sources internes ou externes de l’entreprise (Données clients, Open Data, Données Tierces…).Cependant à quels objectifs opérationnels cette masse de données crunchée répond-elle ? Du Big Data au Small et Smart Data : pour être utile au consommateur, osons le marketing de l’anticipation Du marketing de masse au marketing one-to-one La Donnée en dit long sur les envies de changement du consommateur

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