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Facile à lire

Facile à lire
Vers des espaces « Facile à lire » dans les bibliothèques bretonnes : la démarche de Livre et lecture en Bretagne Livre et lecture en Bretagne, dans le cadre de la mission sur les publics éloignés du livre et de la lecture, a impulsé une démarche autour du « facile à lire » dans les bibliothèques bretonnes. Née de la volonté de s’adresser à tous les publics en difficulté avec l’écrit, cette démarche se situe d’abord dans le champ de la prévention de l’illettrisme. La suite de la démarche consiste à mobiliser les bibliothèques bretonnes intéressées par cette question et les aider à mettre en place des espaces « facile à lire » au sein de leur structure. Vous trouverez dans les pages qui suivent le contenu du kit « facile à lire » ainsi qu’un certain nombre de ressources utiles sur la question du « facile à lire ». Qu’est-ce que le « facile à lire » ? Le guide est à télécharger sur le site de l’Association Européenne des personnes handicapées intellectuelles « Inclusion Europe ». Related:  Bibliothèquesressourceslci

Le kit « Facile à lire » Un kit constitué par Bibliopass pour Livre et lecture en Bretagne, qui comprend : Des critères de repérageUne sélection de 100 titres critérisésDes suggestions pour la mise en espaceDes documents-ressources sur le sujet Le livret n°2 « Facile à lire » a été réalisé par Bibliopass en mars 2016 : Deux ans après la parution du premier livret qui a servi de base à plusieurs Espaces « facile à lire » en Bretagne, il a semblé utile d’offrir aux bibliothécaires et à leurs partenaires engagés dans cette démarche un outil mis à jour, avec des nouveautés parues en 2015 et 2016. Les rubriques se sont enrichies, par exemple Lire par l’image pour les personnes ayant plutôt une culture visuelle (par exemple les Sourds) ou Appétit de culture pour les personnes souhaitant rattraper un manque de culture générale. Consulter le livret n°2 sur le blog de Bibliopass

La bibliothèque "troisième lieu" permet de tisser du lien social « La bibliothèque devient un tiers-lieu au coeur de la ville et du territoire », affirme la sénatrice Sylvie Robert, dans son rapport sur l’adaptation et l’extension des horaires d’ouverture des bibliothèques publiques. L’élue fait ainsi référence à la notion de « bibliothèque troisième lieu », sur laquelle repose un nombre grandissant d’équipements de lecture publique. Mais de quoi s’agit-il au juste ? Réponse avec Amandine Jacquet, qui a dirigé l’ouvrage collectif « les bibliothèques troisième lieu », publié en 2015 par l’Association des bibliothécaires de France. On parle beaucoup de la bibliothèque troisième lieu, mais sans vraiment la définir. Le concept de troisième lieu a été forgé par le sociologue américain Ray Oldenburg dans les années 1980. Comment le concept se traduit-il pour une bibliothèque ? Pour une bibliothèque, ce sont les mêmes caractéristiques que celles que nous avons évoquées à l’instant. Le concept fait-il débat au sein des bibliothécaires français ? Pourquoi ?

Facile à lire L’étiquette « facile à lire et à comprendre » (FALC) est attribuée à des documents répondant à un certain nombre de recommandations, destinées à rendre accessible à tous l’information que nul n’est censé ignorer. Le projet s’est développé au niveau européen à partir du travail d’un groupe intitulé « Vers une formation continue pour les personnes handicapées intellectuelles ». Il était d’abord destiné à ce public, mais les préconisations retenues sont utiles à tous, dans tous les outils de communication. Celles-ci concernent aussi bien la syntaxe, le vocabulaire, que la mise en page. Des outils d’apprentissage adaptés Les bibliothèques ont dans ce domaine une expérience ancienne et une approche variée, notamment parce qu’elles proposent depuis longtemps, dans les espaces d’autoformation, des ouvrages – des romans surtout, mais aussi des documentaires – écrits dans un langage simple. Une démarche inclusive

La CO CREATION : une méthode d’accélération d’innovation - Création et Développement de l'innovation - Actualités - Vous informer Le projet CO CREATION LAB est né de plusieurs constats : - Aujourd’hui les collaborateurs d’une entreprise travaillent en mode horizontal et non plus vertical, l’ingénieur d’affaires doit travailler avec l’ingénieur informatique et le designer, ainsi qu’avec l’ingénieur numérique, les étudiants doivent donc être en capacité à travailler de cette manière ; - L’entreprise innovante d’aujourd’hui doit s’appuyer sur les retours usagers, il ne s’agit plus de proposer une technologie, mais de répondre à un besoin ; - La mise en commun de savoir faire et de compétences diverses ne peuvent qu’être un plus pour un projet. C’est ainsi qu’est né le projet CO CREATION LAB avec l’ISEN, école d’ingénieurs d’électronique et du numérique, KEDGE Business School, école de management et de design, l’ISITV, école d’ingénieur en informatique, désormais SEATECH depuis sa fusion avec l’école d’ingénieurs de matériaux SUPMECA l'UFR Ingémédia et TVT Innovation. - UFR Ingémédia : Laurent Collet et Régiany Barros

17e Assises du livre numérique : le livre rencontre le World Wide Web Consortium Chris RubberDragon, CC BY SA 2.0 La nouvelle a fait du bruit dans le monde du livre numérique : en mai 2016, le World Wide Web Consortium (W3C), chargé de superviser le développement des standards du Web, et l’IDPF (International Digital Publishing Forum), à l’origine du format de livre numérique EPUB, ont annoncé par voie de communiqué resserrer un peu plus leurs liens dans le but de faire de l’IDPF une branche du W3C. L’objectif étant de rapprocher les deux organisations en janvier 2017. À la lumière de témoignages d’acteurs de premier plan de la chaîne du livre et des institutions du web, français et étrangers, les Assises du Livre numérique du SNE font le point sur les enjeux de cette alliance du web et des livres. Les Assises du livre numérique sont un lieu de débat, de pédagogie et de prospective sur le développement numérique dans le domaine de l’édition. Les places étant limitées, il est préférable de s’inscrire, à cette adresse.

3 outils pour écrire des histoires sur le Web Livre numérique : Prêt Numérique en Bibliothèque (PNB), c’est parti! PNB (Prêt Numérique en Bibliothèque) fait partie de ces projets très attendus dans le monde du livre. Faciliter le prêt des ebooks en bibliothèque en impliquant les libraires est un axe essentiel pour développer la lecture numérique auprès du grand public. Après plusieurs mois de travail, les différents acteurs ayant œuvré sur ce dossier ont réussi à concevoir un process qui semble fluide et atteignable pour les bibliothèques.Le libraire Feedbooks s’en fait l’écho et a ouvert mercredi un portail regroupant l’intégralité de l’offre à date, à destination des établissements (Gallimard, Flammarion, La Martinière). PNB, comment ça marche ? A propos de PNB, Vincent Marty, DG de Dilicom a déclaré : «Il nous a paru nécessaire que les libraires, partenaires naturels des bibliothèques et des éditeurs, restent impliqués dans le développement de la lecture publique. Petit focus sur les prix Le livre numérique susmentionné est vendu au particulier au format Kindle sur Amazon 7.99€.

Valérie Peugeot, l’avenir en communs - visions Bien plus qu’une idée : une vie en communs Communs ? Le mot sonne comme une abstraction. Une réponse un peu floue à la recherche éperdue d’une voie rejetant, et la litanie modernisatrice de l’ultra libéralisme, et l’illusion d’un remix de l’hymne des nationalisations. D’un chemin s’opposant, et à la marchandisation de tout et son contraire, et à la mise sous tutelle administrative de notre quotidien. Au mieux, sur un versant plus positif du terme, le quidam pense à l’idée de «mise en commun», donc à cette notion de «partage» qu’ont galvaudées les plateformes de l’économie dite collaborative. Il suffit pourtant de visiter a posteriori le site du festival Le Temps des communs d’octobre dernier dans sept pays francophones, dont des dizaines de villes françaises, pour constater à quel point les communs vivent désormais de mille feux, digitaux ou non, partout dans le monde, et en particulier dans ce qu’on appelle en France les «territoires». De la vitalité des communs du numérique

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