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Last Week Tonight with John Oliver: Civil Forfeiture (HBO)

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look outside borders, too oip.org - Observatoire International des prisons mrap Abolir la prison, ses mécanismes et ses logiques Les philosophes Michel Onfray et Tony Ferri, le député Noël Mamère, l'ancien président de l'Observatoire international des prisons Gabriel Mouesca, les avocats Lucie Davy et Yannis Lantheaume ou encore l'ancien détenu Philippe El Shennawy se prononcent pour que « soit jetée aux oubliettes de l'Histoire cette maudite habitude qui permet à l'homme d'enfermer l'homme et de le tenir emmuré ». « Les principes qui ont fondé la prison étaient des principes philanthropiques : le délinquant, pendant son incarcération, allait réfléchir, s'amender, se régénérer. L'histoire a eu raison de ces pénibles calembredaines. On ne peut bâtir que sur une absolue rigueur intellectuelle, or l'emprisonnement repose sur l'espoir que ça ira mieux après, c'est-à-dire sur rien d'intelligible. » Lorsque Catherine Baker écrit ces mots en mars 1984, 38 600 personnes sont détenues dans les prisons françaises. La peine fondamentale du prisonnier, c'est l'écoulement inexorable d'un temps vide.

10,149 complaints Elderly Women Serving Life Without Parole Form a Heartbreaking Chorus | Laura Goldman This performance of the Lady Lifers Chorus is a rare window into the world of women serving a life sentence at Muncy State Prison, a women's prison near Williamsport, Pennsylvania. The singers, who have already served 27-40 years confined, sing poignantly about their life in prison for an independent TEDx event held at the prison. Lead vocalist Brenda Watkins, who candidly admits "I am a prisoner for the wrong that I have done," wants you to know that she is more than an offender. She sings, "I'm a woman. I'm a grandmother. "This Is Not My Home," written by Howard Woodring, with music by Naomi Blount, reveals the prisoners' fear of dying alone and not seeing their family again. "My number is 005545. Garrett's story is not unique. After watching the performance, one has to wonder why these women, who longer appear to be a threat to society and have been imprisoned for decades, are still in jail.

black youth En Louisiane, prisons cherchent prisonniers, par Maxime Robin En 2012, et pour la troisième année d’affilée, le nombre de détenus a baissé aux Etats-Unis : on en comptait environ trente mille de moins. Confrontés à des difficultés budgétaires, les Etats ne peuvent plus assumer le coût du « tout carcéral », et c’est dans une unanimité politique peu coutumière que républicains et démocrates s’entendent au niveau local pour désengorger les prisons. En Californie — responsable à elle seule de la moitié de la baisse pour 2012 — ou au Texas, l’heure est donc à l’allégement des peines et aux solutions alternatives. En Louisiane, en revanche, un chèque en bois demeure passible de dix ans d’emprisonnement, et la peine plancher pour un cambrioleur récidiviste est toujours de vingt-quatre ans incompressibles. Quatre-vingts par dortoir Plus inquiétant encore, la survie économique de territoires entiers dépend de ce taux élevé d’enfermement. Le taux d’occupation doit se maintenir au plus haut afin d’assurer un retour sur investissement maximum.

23 of 27 Quand les prisons, les détenus et la politique carcérale deviennent des produits d'investissements Cela doit devenir la plus grande prison de Belgique. Près de 1 200 détenus dans un « village » pénitentiaire à proximité de Bruxelles, avec trois unités pour hommes, deux unités pour femmes, un établissement d’enfermement psychiatrique et un pour les jeunes. Surdimensionné, trop cher, construit sur des terres agricoles : le méga-projet suscite des oppositions. Cette nouvelle prison est aussi controversée parce qu’elle doit être bâtie et gérée en partenariat public-privé (PPP). Ce projet belge de privatisation d’une prison s’inscrit dans la droite ligne d’un mouvement entamé au début des années 1980. Privatisation du travail des détenus ou de l’accueil des familles Même avec cette restriction, le nombre de prisons en gestion privée n’a cessé d’augmenter. « Aux États-Unis, c’est complètement privatisé, analyse Marie Crétenot, juriste à l’Observatoire international des prisons (OIP). 5,9 milliards de loyer par an Une poignée d’entreprises se partagent le marché Rachel Knaebel Lire aussi :

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