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“Comme une fille” ! la nouvelle campagne choc qui veut casser tous les stéréotypes féminins

“Comme une fille” ! la nouvelle campagne choc qui veut casser tous les stéréotypes féminins
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SONDAGE EXCLUSIF. Publicités sexistes : les Français les réprouvent... mais ne les voient pas SEXISME - Une femme nue dans une douche pour vanter les mérites d’un savon... Une publicité mettant en scène une mère de famille pour faire vendre un aspirateur... “Un” patron forcément accompagné d’”une” secrétaire.... Le hic? Car lorsqu’on leur montre cinq visuels (publicités...ou images utilisées dans la presse écrite) où ces stéréotypes sont représentés, beaucoup de Français ne sont pas à même de les identifier comme tels: “seule une minorité relève spontanément des éléments sexistes”, précise l’étude. Concrètement, devant une publicité véhiculant des clichés sexistes, seuls 12% des répondants ont spontanément montré par leurs réponses qu’ils identifiaient un stéréotype sexiste. Plus de 2 Français sur 3 sont donc incapables de voir une publicité véhiculant des stéréotypes sexistes (femme en train de faire du shopping, femme à la cuisine, nudité gratuite, femme au volant, etc.) même lorsqu'on leur met le nez dessus! Plus facile donc de critiquer que de pratiquer! partager cette image:

Ces sublimes autoportraits sont l’oeuvre d’une photographe de 20 ans seulement ! Cette jeune photographe de 20 ans a un talent indéniable ! Ces autoportraits un brin surréalistes et flippants nous emportent dans un univers bien particulier. Le sien ? Tout juste. Découvrez les superbes clichés de l’américaine Rachel Baran. ©Rachel Baran A la crèche, les stéréotypes genrés se portent bien Comment diminuer la perpétuation des stéréotypes entre les garçons et les filles dès la petite enfance ? C’est l’enjeu d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) remis ce jeudi matin à la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem. Pour les deux auteurs, les inspecteurs généraux Brigitte Grésy et Philippe Georges, à la crèche, «les pratiques, sous couvert de neutralité, confortent les stéréotypes». Si, dans la théorie, «il n’y aucune mention du caractère sexué des enfants dans les documents des collectivités territoriales et une affirmation de neutralité de la part des professionnelles», ils remarquent que des déséquilibres se créent malgré tout dans de nombreuses activités de ces lieux d'accueil. Poupée contre Lego Les vêtements Pour les auteurs, les vêtements et leurs couleurs jouent aussi un rôle dans la construction des rôles sociaux. Les questions de représentation Le prince charmant et la princesse endormie ont la vie dure. Le personnel encadrant

La mixité des classes ne suffit pas à garantir l’égalité filles-garçons Des filles moins bonnes en maths, des garçons meilleurs en sport, plus de « garçons manqués » que de « filles réussies », la mixité de genres au sein des établissements scolaires n’empêche pas aux stéréotypes sexistes d’avoir la vie dure. Et les enseignants d’en véhiculer également, le plus souvent malgré eux. Deux points d’écart entre filles et garçons en sport « Les questions liées au genre, au sexe nous interrogent sans que l’on n’ait appris à y répondre », avance Cathy Patinet, professeur d’EPS (éducation physique et sportive) depuis trente-quatre ans. La pédagogie peut venir à bout du sexisme Après avoir consacré sa thèse de doctorat à « la vigilance des enseignants d’EPS quand ils font cours en mixité », l’enseignante met en évidence qu’« une majorité d’enseignants d’EPS créent des situations où la place dominante des garçons est renforcée en proposant des contenus très masculins [foot, jeux collectifs, etc.] en éducation physique et sportive ». Un regard à éduquer. Agenda

(VIDÉO) Une publicité rend hommage aux papas qui font le ménage Pas de ménagère aux bigoudis, ni de grand flanc-mou légèrement nono. La marque de produits nettoyants Hertel «fait le ménage dans les vieux clichés» et rend hommage aux papas qui font le ménage. La vidéo publiée dans les médias sociaux montre l’arrière-scène d’une séance photo pour une publicité d’Hertel. Par la suite, on montre à ces papas le résultat d’une recherche Google avec le mot «ménage». «Le ménage n’a pas de genre» Pas besoin d’expliquer qu’en 2016, «le ménage n’a pas de genre, c’est l’affaire de tout le monde», insiste André Paquin, chef de marque chez Lavo, la compagnie de Montréal qui commercialise Hertel, une marque fondée à Québec. Pourtant, en publicité, «les papas sont dépeints comme étant des nonos qui ne savent pas ce qu’ils font», poursuit-elle, ajoutant que «les stéréotype, ce n’est jamais bon, ni d’un côté, ni de l’autre». Le but de cette campagne était donc «que les gens se reconnaissent» davantage, souligne Mme Paquin. Ménage au masculin

Observatoire de l'art contemporain | Le Street-art est mort, place à l'art urbain contemporain ! Art contemporain | Exposé sur les cimaises des galeries et légitimé par les ventes aux enchères, le Street-art comme démarche artistique illégale semble révolue. Internet et les réseaux sociaux d'une part, la reconnaissance du marché de l'art, d'autre part, ont ainsi profondément modifié la façon d'approcher ces oeuvres de rue qui questionnent l'individu au sein du territoire urbain. Ce phénomène fait l'objet de nombreuses remises en question, à commencer par la définition même du Street-art. A l'origine, la rue Les années 1950 voient naître une nouvelle réalité, des artistes se saisissent de la rue comme d'un atelier. Réunis autour de l'idée du « Recyclage poétique du réel urbain » théorisé par Pierre Restany, ils intègrent des éléments de l'environnement urbain et industriel dans leurs oeuvres. De la rue à la galerie Dans une Amérique en pleine mutation économique et sociale marquée par la guerre du Vietnam, la culture Hip Hop naît et connaît un essor important sous l'ère Reagan.

Rapport – Lutter contre les stéréotypes filles-garçons Ce rapport « Lutter contre les stéréotypes filles-garçons. Un enjeu d’égalité et de mixité dès l’enfance. » a été remis à Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du Gouvernement. Rapport – Lutter contre les stéréotypes filles-garçons Les inégalités entre les femmes et les hommes sont connues : les femmes comptent pour 46 % des salariés du privé mais 20 % des cadres dirigeants et 20 % des membres des conseils d’administration du CAC 40. De nombreuses lois ont tenté de lutter contre ces inégalités, en affirmant tout d’abord le principe de l’égalité, puis en punissant les inégalités de traitement : droit de vote et d’éligibilité en 1944, droit de gérer ses biens propres et de travailler sans l’autorisation de l’époux en 1965, principe d’égalité salariale en 1972 puis 2006, principe d’égalité professionnelle en 1983 puis 2001, mixité des écoles publiques en 1975, etc. Néanmoins des inégalités socioéconomiques significatives entre hommes et femmes perdurent.

La fabrique des garçons (S. Ayral), lu par Baptiste Brossard | Les carnets de Genèses Sylvie Ayral La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège,Paris, Puf (Partage du savoir), 2011, 204 p. Comment expliquer que, dans les établissements scolaires, les garçons soient plus souvent sanctionnés que les filles ? La problématique étant posée, le livre s’ouvre sur un cadrage théorique (chap. 1, pp. 9-68). Que ressort-il de ces recherches ? C’est le cinquième chapitre, « Des représentations aux pratiques : la fabrique des garçons » (p. 153), qui hisse le raisonnement vers son point culminant. Attardons-nous cependant sur les garçons, qui suivent d’après S. Dans un livre qui monte en qualité à mesure de la lecture, Sylvie Ayral a construit une théorie, simple et efficace, de la reproduction des stéréotypes de genre en milieu scolaire ; ou plutôt, devrait-on dire, parle milieu scolaire. i. Imprimer ce billet Mots clefs : education, genre Posté dans : Lectures / Readings

Et si la lutte contre le sexisme commençait dès la crèche ? "L’objectif est de débusquer le sexisme partout où il se trouve, le rendre visible, le nommer, et mettre en lumière toutes les initiatives qui contribuent à le faire reculer", a promis jeudi matin Laurence Rossignol. La ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes lançait une nouvelle campagne intitulée "sexisme, pas mon genre". "Nous avons tout l’arsenal législatif nécessaire. Pourtant, les résultats ne sont pas au rendez-vous des ambitions, ni sur les inégalités salariales, qui demeurent importantes ni sur les violences faites aux femmes, le harcèlement, ou l’image des femmes véhiculées dans la publicité", a concédé Laurence Rossignol. La nouvelle campagne consistera à inciter les associations, les entreprises et les collectivités à traquer les inégalités, notamment au moyen d'un label venant récompenser les bonnes initiatives. La seule émotion davantage tolérée chez les garçons est la colère Le personnel a peur de la réaction des parents

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