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Le droit d'auteur

Le droit d'auteur
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Mettre ses fichiers ou ceux d'un groupe dans le cloud : quelle application choisir? Cet article est le premier d’une série de trois sur les solutions de cloud. Les deux suivants : J’ai dû choisir en 2014-2015 une solution de cloud et de travail en ligne pour un groupe de 15 personnes devant travailler activement ensemble. La sélection Ne vous faisons pas languir. Dropbox pour la facilité d’utilisation. NB : les solutions supra ne sont pas sécurisées à 100%, c’est-à-dire de bout en bout — du serveur au terminal en passant par la connexion. Les arguments Pour m’aider, j’ai commencé par lire la presse et autres ressources Internet, plus ou moins bien référencées par ... Puis avec l’aide d’un informaticien de SSII — pas plus spécialiste du sujet au départ que votre serviteur — je me suis lancé dans des tests. Pour résumer ces articles — leurs commentaires compris : Dropbox est le plus facile à installer et à utiliser, le plus intuitif. Sécurité : chiffrement, mot de passe ... Une fois cela dit, le problème de la sécurité, pour diminué qu’il est, demeure : "mainstream".

Publier des photos d'élèves sur un blog : les règles Attention cependant, il y a des précautions à prendre et des règles à suivre, notamment si vous voulez publier des photos de vos élèves. Les voici. Il y a quasiment un an, je publiais un article expliquant comment flouter les visages sur les photos, par exemple pour publier des photos d’enfants sur un blog d’enseignant. Depuis la parution de cet article, j’ai essayé sans relâche d’obtenir des informations fiables et précises à vous fournir dans ce domaine. Je me suis adressé à de nombreuses personnes, toutes ayant a priori les qualifications pour répondre à mes questions. Marchons sur des oeufs… Marchons sur des œufs ! Je précise donc que les informations données ci-dessous le sont à titre purement informatif et que le blog Tilékol ne saurait être tenu pour responsable des conséquences d’erreurs qui se seraient glissées dans les lignes qui suivent ou d’une évolution de la loi et/ou de la jurisprudence… 2/ Je veux insérer une photographie dans mon blog, à quoi dois-je faire attention ? Vrai.

Inicio Nouvelle loi sur l'exception handicap : quels défis pour les bibliothèques? Photo d'illustration (ActuaLitté, CC BY-SA 2.0) En 2006 est créée la loi sur l'exception au droit d'auteur en faveur des personnes handicapées. À cette époque, la loi autorisait les organismes agrémentés (associations, bibliothèques) à créer des contenus adaptés (livres braille, audio, numériques, vidéos en langage des signes, etc.) aux personnes handicapées et à les communiquer gratuitement sans demander l’autorisation ni reverser quoi que ce soit aux ayants droit. Cependant, la loi de 2006 a été modifiée par celle du 7 juillet 2016. Nouvelle loi, nouveaux agréments Aujourd’hui, la loi s’est élargie d’un côté, et restreinte de l’autre. La modification de cette loi nécessite donc un renouvellement des agréments accordés aux associations et aux bibliothèques. « Tant que vous n’avez pas fait la demande d’agrément, cette ouverture aux nouveaux publics n’est pas accessible », a insisté Claire Leymonerie, représentante du ministère de la Culture au Congrès de l’ABF, en juin dernier.

Comment Google redéfinit notre conception de la (e)réputation? « Votre marque n’est pas ce que vous en dites, mais ce que Google en dit » (Chris Anderson -Wired). Cette citation fortement reprise par les professionnels de la gestion de l’e-réputation pose question : cette focalisation sur Google est-elle justifiée ? En quoi Google agit sur la réputation numérique ? De plus, dans une vidéo diffusée l’année dernière, Matt Cuts soulignait “PageRank is much more a measure of reputation, it’s much more a reputation of where people links” distinguant ainsi les notions de popularité et d’autorité. Afin de donner des pistes de réflexions à toutes ces questions, voici ci-dessous les diapos de ma présentation à la journée d’étude Composer avec les régimes de Google : autorité, notoriété, opacité organisée par le groupe de recherche PRIM de l’Université de Tours. Bonne lecture Google : un documentariste loin d’être neutre (diapos 8 à 10) Diapo 8 : le moteur génère sa propre réputation Diapo 9 : le cas du Knowledge Graph L’algorithme (voire les algorithmes ?)

Un libraire condamné à un an de prison pour avoir exposé le drapeau de Daech Contrairement aux réquisitions du parquet qui demandait de la prison ferme, l'homme qui disposait dans sa boutique de nombreux drapeaux de l'Etat islamique écope de sursis et n'a plus le droit d'exercer son métier pendant un an. Chaabi M'Barek, 59 ans, gérant d'une librairie islamique lilloise, ne pourra plus vendre de livres pendant un an. Le tribunal correctionnel de Lille l'a condamné à un an de prison avec sursis et un an d'interdiction d'exercice d'activités commerciales pour apologie du terrorisme pour avoir exposé un drapeau de l'organisation Etat islamique (EI) dans la devanture de son magasin. «C'est une condamnation qui peut paraître en deçà de ce que les juridictions ont l'habitude de prononcer pour des dossiers similaires, pour autant cela reste important», a déclaré Me Charles Cogniot, l'avocat du prévenu, qui n'écartait pas l'éventualité d'interjeter appel.

SNE: Droit de prêt en bibliothèque La loi n° 2003-517 du 18 juin 2003 relative à la rémunération au titre du prêt en bibliothèque et renforçant la protection sociale des auteurs est entrée en vigueur le 1er août 2003. Le SNE a beaucoup œuvré pour l’adoption de cette loi et pour l’agrément de SOFIA, société de perception et de répartition de droits, composée à parité d’auteurs et d’éditeurs, dont le SNE est membre fondateur aux côtés de la S.G.D.L. (Société des Gens de Lettres). La rémunération provient : Comme pour le droit de reprographie, la loi instaure une gestion collective obligatoire du droit de prêt. Les sommes perçues par SOFIA seront réparties en deux parts : La loi sur le droit de prêt a également modifié certaines dispositions de la loi du 10 août 1981 et instauré un plafonnement des rabais de 9 % pour les ventes de livres non scolaires aux collectivités (personnes morales gérant les bibliothèques, Etat, collectivités territoriales, établissements d’enseignement, syndicats, comités d’entreprise).

Internet peut-il tuer l'Internet? Accueil L'Internet pourrait tout digérer. S'en extraire sera de plus en plus difficile et une déconnexion raisonnée ne profitera qu'à une petite élite. Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Europe Attentat à Copenhague lors d’un débat sur l’islamisme et la... +VIDEO Un civil a été tué et trois policiers ont été blessés par des tirs lors d’une réunion à laquelle participaient l’artiste suédois controversé... Ukraine: l'artillerie prorusse se retirerait de Debaltseve +VIDEOS Alors que les combats ont fait rage depuis 24 heures autour des villes stratégiques de Donetsk, Marioupol et Debaltseve, les prorusses annoncent le... Société Collège : un rapport propose d'étaler le brevet sur deux ans + DOCUMENT - Un rapport suggère de réformer le brevet des collèges. à lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Ukraine : les prorusses assurent retirer l'artillerie lourde...

Les 1001 visages des évadés fiscaux Récupérées par l’administration fiscale en 2009, les bases de données dérobées par Hervé Falciani sont anonymes au premier coup d’œil. Entre secret bancaire et ayant-droits dissimulés derrière des sociétés écrans au Panama et aux îles Vierges britanniques, les clients français pouvaient se sentir protégés. La banque elle-même ne semblait pas plus préoccupée que cela, assurant ces derniers que ces montages fiscaux les rendaient invisibles. Après plusieurs coups de tamis, les 120 000 lignes du fichier révèlent un peu moins de 3 000 noms français. Ces clients de la banque genevoise ne sont pas tous des fraudeurs mais une bonne partie l'est. Cette longue liste cache cependant des situations très différentes, dont seuls les clients ont la clé. Les mineurs côtoient d’autres ayant-droits, étudiants ou femmes au foyer, « profession » la plus présente dans le fichier, et des « employés HSBC ». Devoir d’exemplarité Une fois ces clients contactés, il apparaît que les cas sont variés.

L’ABF incite les bibliothèques à s’engager sur la voie des Communs du Ce texte contient une série de principes visant notamment à garantir l’absence de censure, le libre accès à Internet, le partage de la culture et du savoir en bibliothèque, le respect de la vie privée et des données personnelles. Il se réfère explicitement aux biens communs de la connaissance et préconise largement l’emploi des licences libres et le respect du domaine public. Cette charte est adossée à un système de labels permettant à chaque établissement de se situer par rapport à ces valeurs. Voici les 8 points fondamentaux : Le droit d’accéder librement et sans discrimination à toutes les cultures et à une information plurielle. Les labels se déclinent en trois niveaux et seront attribué selon des critères spécifiques, ainsi que le « niveau d’implication de la collectivité dans la mise en œuvre des principes énoncés » : Nous considérons que c’est un pas en avant majeur et la reconnaissance de principes que nous défendons depuis le début au sein de SavoirsCom1.

Du big data au smart data, l'exploitation des données culturelles dans les bibliothèques et les musées : journée d’étude 2015 de la Fulbi Pour l'édition 2015 de sa journée d’étude, « Bib Data, Smart Culture. Exploiter des données dans les bibliothèques, centres de doc, archives et musées », la Fulbi1 conviait professionnels des bibliothèques, de l'information et de la documentation, ingénieurs, enseignants-chercheurs et consultants à croiser leurs regards sur l’exploitation des données culturelles. D'abord en revenant sur les spécificités et les enjeux des data aujourd’hui en partant de la définition scientifique du concept de "data" et des promesses qu'il contient. Enjeux et opportunités des « data » Dominique Cotte2, enseignant-chercheur et consultant rappelle avec bon sens que les « data » ne sont pas chose nouvelle, mais ce qui change aujourd’hui, c’est moins l’existence même des « data » que la masse des données aujourd’hui disponibles au traitement et la manière nouvelle de faire parler ces données. Des "data" pleines de promesses ? Les enquêtes de satisfaction "user-oriented" Des big data aux smart data Pour conclure

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