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Mysteries of a Nazi Photo Album Wednesday | Updated Readers of Lens and EinesTages quickly figured out that the photographer was Franz Krieger. (“World War II Mystery Solved in a Few Hours.”) And that his wife and children did not survive the war. Lens has shared this story with Der Spiegel, the leading German newsweekly, and Spiegel Online, its Web edition. Lens hat Spiegel Online bei dieser Geschichte um Unterstützung gebeten. There are certainly many photo albums of Nazi leaders and many photo albums of the Nazis’ victims. At least one does, however, and it has surfaced in New York City. Two pages in this album, on the Eastern Front in 1941, are devoted to prisoners. Four pages later, there is Hitler himself, waiting at a train station for the arrival of Adm. Clearly, this photographer had a lot of access — and not a little talent. But who was he? And what was he showing to posterity? Private collection, via The New York TimesPage 11: Bus window. The central figure in the album; presumably the photographer himself. Dr.

La guerre de 14-18 L’enfance est depuis quelques années devenue un objet d’étude en soi : par le biais du dévoilement de leurs journaux intimes, de leurs lettres, de leurs dessins archivés, la parole est à nouveau donnée aux enfants, longtemps oubliés de l’histoire. On ne se contente plus aujourd’hui d’analyser les discours sur ou à destination de l’enfance (discours scolaire, production éditoriale pour la jeunesse, jouets, vêtements …) mais on étudie les sources produites par les enfants, sources de « mise en scène de soi par soi », particulièrement importantes pour restituer une parole enfantine en temps de guerre, autrement absente. Les entretiens avec les personnes âgées permettent aussi de compléter, à l’aide des souvenirs, ce que ces sources écrites peuvent avoir de lacunaire ou de trop immédiat, et restituent, à travers un dialogue entre les sources, un effet de génération, car les enfants de 1914 deviennent adultes en 1940 et la Grande Guerre inaugure de mille façons les conflits du XXe siècle.

La brochure de l’UNESCO Pourquoi enseigner l’Holocauste ? La brochure de l’UNESCO Pourquoi enseigner l’Holocauste ? permet aux responsables politiques, éducateurs et élèves intéressés d’explorer le potentiel pédagogique inhérent à l’apprentissage de l’une des pages les plus sombres de notre histoire commune. Elle met en relief les questions universelles posées par l’histoire de l’Holocauste, présente aux éducateurs quelques-uns des principaux défis et possibilités associés à l’enseignement du génocide et donne un aperçu de la variété des ressources disponibles dans le domaine. Élaborée par le Secteur de l’éducation de l’UNESCO, la brochure est disponible dans les six langues officielles des Nations Unies : anglais, arabe, français, chinois espagnol et russe <- retour vers Toutes les actualités

Mémoire et histoire Éduscol Une journée européenne Réunie à Cracovie, du 15 au 17 octobre 2000, pour sa 20ème session, la Conférence permanente des ministres de l'éducation européens a recommandé aux États membres de prendre "les mesures éducatives notamment dans la formation des enseignants qui peuvent permettre de prévenir la répétition ou la négation de crimes contre l'humanité tels que l'Holocauste et l'épuration ethnique qui ont marqué le XXème siècle par leurs violations massives des droits de l'homme et des valeurs fondamentales défendues par le Conseil de l'Europe". S'appuyant sur une proposition du Secrétaire général du Conseil de l'Europe, les ministres sont également convenus à cette occasion de consacrer, dans les établissements scolaires, une "journée de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité" (consulter le texte intégral de la déclaration). Des manifestations et des actions pédagogiques Textes officiels Articulation avec les nouveaux programmes d'enseignement

le génocide des juifs dans l'histoire - Profs d'Histoire lycée Claude Lebois un groupe de tuerie mobile (Einsatzgruppe) en actionsource : site de l'université de Pembroke, Caroline du Nord die Endlösung der Judenfrage la "solution finale" de la question juive la politique génocidaire de l'Allemagne hitlérienne Le terme allemand Endlösung signifie "solution finale". Dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale, la politique hitlérienne a visé le génocide des populations juives en Europe. Dans le cas du génocide, cependant, la volonté d'exterminer un peuple en tant que tel a été plusieurs fois exprimée explicitement et le processus d'élimination a été systématiquement mené sous des formes diverses sur une population sans défense. 1) l'antlsémitsme de la société allemande La vigueur des idées antisémites est largement répandue dans toute la société allemande bien avant l'apparition du N.S.D.AP. (à suivre) 2) l'extermination des juifs "prophétisée" par Hitler Le 30 janvier 1939, Hitler déclarait devant le Reichstag : Hitler au Reichstag le 30 janvier 1939 xxxxxx vocabulaire

Histoire des persécutions des Juifs de l'Antiquité au Moyen Âge Capétiens, le temps des bûchers, des exils et des spoliations "Dans la mesure où l’origine du christianisme remonte aux communautés juives du Moyen-Orient, l’attitude de l’Église vis-à-vis des Juifs a longtemps été indécise. Mais à partir des Croisades, les Juifs sont considérés comme des Infidèles, et persécutés dans toute l’Europe. Le statut des juifs est celui de citoyens de second ordre : obligés de vivre dans des ghettos, ils n’ont pas droit de séjour permanent dans les villes,et les seules activités auxquelles ils ont accès sont le commerce, le col-portage et le prêt sur intérêt, ce qui aggrave encore le ressentiment à leur égard. Les mythes antijuifs naissent, comme ceux de la profanation de l’hostie et du meurtre rituel, ou de l’enlèvement d’enfants. La France connaît deux espaces géographiques emblématiques de la présence de la culture juive, l’une au nord-est abritait les communautés des Tzarfatim (ashkénaze) et au sud-est les Juifs de Provence. 3. En 1348, la grande peste.

Inédit : Album(s) d'Auschwitz, par William Karel et Blanche Finger Album(s) d'Auschwitz raconte les histoires croisées de deux albums de photographies. Celui découvert par Lili Jacob, une jeune fille juive rescapée, au camp de Dora en 1945. Les photographies de cet album décrivent l'arrivée à Auschwitz, le 26 mai 1944, d'un convoi de juifs hongrois. Elles révèlent les quelques heures précédant le meurtre dans les chambres à gaz de la plupart d'entre eux. Lili Jacob faisait partie de ce convoi. Et l'album de Karl Höcker, officier SS, retrouvé en 2007, composé de photographies prises au cours de ce même mois de mai 1944, et qui restituent les joyeux moments de détente de Höcker et d'autres officiers SS, responsables du camp d'Auschwitz. Les photographies de ces deux albums ont toutes été prises par des SS. Ce document inédit est proposé à 22h45 ce mardi.Réalisé par William Karel et Blanche Finger. William Karel : "Je connaissais depuis longtemps le premier album, celui de Lili Jacob. Propos de William Karel recueillis par Pierre-André Orillard : Oui.

Bienvenue à « Auschwitzland » | Auschwitz, notre devoir de mémoire Auschwitz, notre devoir de mémoire Comment éviter que le camp de concentration d'Auschwitz ne soit qu'une étape, parmi d'autres, d'un circuit touristique? Toute visite à Auschwitz laisse sa marque. Un texte de Raymond Saint-Pierre Je m'y étais rendu il y a 20 ans, avec le réalisateur Georges Amar pour le 50e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz. Vingt ans plus tard, bien des gens se demandent si on n'est pas en train de dénaturer ce lieu de mémoire. Le journaliste Konstanty Gebert, que j'ai interviewé lors de mon passage en Pologne, en a long à dire sur le sujet. « Tu entres sur les lieux au péril de ton âme. Écoutez les témoignages du journaliste Konstanty Gebert et du père Patrick Desbois Plusieurs, dans ce qui reste de la communauté juive polonaise, débattent de ce qu'il faut faire pour préserver ce lieu, dont les constructions en bois sont usées par le temps. Cliquez ici pour voir le montage de notre caméraman Alexey Sergeyev sur Auschwitz.

Nazis sur écoute Un membre des commandos spéciaux (Einsatzgruppen) s'apprête à tuer d'une balle dans la tempe un civil agenouillé au bord d'une fosse où s'entassent des cadavres, sous les yeux d'un groupe de soldats allemands. Cette photo d'une exécution de masse en Ukraine est un des témoignages visuels, peu nombreux, sur la «Shoah par balles», ce massacre de centaines de milliers de juifs de l'Est qui a précédé l'extermination industrielle dans les camps de la mort. Ce fut un choc pour l'opinion allemande de découvrir ces photos en 1995 dans une exposition itinérante sur la Wehrmacht. Elles révélaient à ceux qui pouvaient encore en douter que les soldats ordinaires avaient assisté et très souvent pris part aux massacres. Massacres routiniers La scène photographiée ici revient si souvent dans leurs conversations qu'elle fait partie de la routine de la guerre. Antisémitisme paranoïaque Mais pourquoi le sort des juifs ne leur inspire-t-il aucune compassion? André Burguière «Grand-Père n'était pas un nazi».

Auschwitz, mémoire d'un miraculé | Auschwitz, notre devoir de mémoire Le reportage de Jean-François Bélanger Au moment où l'Europe marque le 70e anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, Raphaël Esrail, un des rares rescapés encore vivants, témoigne de son voyage au bout de l'horreur et de son incroyable survie. Il parle aussi du devoir de mémoire. Un texte de Jean-François Bélanger Le visage de Raphaël Esrail s'illumine quand on lui demande de raconter son histoire : le récit extraordinaire d'un survivant, d'un Juif revenu vivant, envers et contre tout, de l'enfer des camps de la mort d'Auschwitz et de Birkenau. « J'ai été plusieurs fois miraculé. » — Raphaël Esrail Le témoignage de Raphaël Esrail Cette histoire, il a bien dû la raconter des milliers de fois aux journalistes qui se pressent à sa porte tous les cinq ans à l'anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz. « Préserver la mémoire, c'est une de mes occupations et de mes préoccupations depuis un peu plus de 20 ans. » — Raphaël Esrail

La vraie histoire des «Bienveillantes» On les appelait les Einsatzgruppen. Souvent dirigés par des intellectuels, ils assassinèrent plus de 1,5 million de juifs entre 1941 et 1942. Michaël Prazan et Christian Ingrao ont étudié ces commandos dont Jonathan Littell a tiré, en 2006, son roman fleuve Pour le dossier Pierre Goldman comme pour le massacre oublié de Nankin en 1937, Michaël Prazan a alterné documentaire et livre. A l'origine, son film "Einsatzgruppen" devait durer quatre-vingt-dix minutes. Mais au fil de l'enquête, avec les analyses des historiens, les images d'archives inédites et simplement pour se donner le temps d'examiner les faits, il a fallu doubler la durée. Quand il avait lu dans les journaux brésiliens la formation par le régime de Vichy d'« une Légion des Volontaires de la Mort », Bernanos avait soupiré : « C'est tellement bête que ça doit être vrai.» Michaël Prazan tout d'abord. Comment peut-on être intellectuel et SS? (c)D.R. Croire et détruire. ©Hannah-Opale «Pourquoi poses-tu toutes ces questions ?

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