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Marianne2 et la curation de contenus : « Pearltrees a réorganisé complètement notre site  – #curationB2B

Marianne2 et la curation de contenus : « Pearltrees a réorganisé complètement notre site  – #curationB2B
J’ai répondu à l’invitation de Marc Rougier de Scoop’it au Dupont Café du Châtelet. La première présentation était réalisée par Patrice Lamothe, fondateur de Pearltrees et Mathieu Maire du Poset pourMarianne. Elle répondait à une question simple : “Qu’est-ce que la curation ?” Et la question n’est pas idiote, 3 ans après, de se demander ce que c’est vraiment, même (et surtout) si nous l’utilisons tous les jours. A quoi ressemblait le Web en 2010? En 2010, a dit Patrice Lamothe, le Web était quasiment l’aboutissement du projet de Tim Berners Lee : “une grande bibliothèque”. La curation, c’est l’inverse d’un moteur de recherche ! L’idée de curation est une idée simple qui renverse complètement cette logique : “ce n’est pas le Web qui va organiser les contenus pour vous, mais vous qui allez organiser les contenus pour le Web et les autres utilisateurs”. La curation en 3 mots Le futur au travers de Pearltrees? En décembre 2009-2010 a été un des premiers à se nommer “curation service”. Related:  Fouineurs-éditeurs, intelligence collective, Occupy Wall Street`test 1002`test 1002

Le web sémantique : un projet pour amener le web à son plein potentiel Le web sémantique (généralement associé au terme « web 3.0 »), est une notion que l’on rencontre de plus en plus. Que désigne cette association des mots « web » et « sémantique » qui appartiennent tous deux à des disciplines relativement éloignées que sont l’informatique et la linguistique ? Le web du futur sera-t-il « intelligent » et capable de juger de la pertinence d’une réponse en analysant la sémantique de la question correspondante ? Le web sémantique est un projet initié en 2001 par Tim Berners Lee1, inventeur du World Wide Web. Web semantique et ontologies - source : Samuel Huron/Flikr Les ressources et leur sémantique Pour en comprendre les concepts de base, on peut tout d’abord tenter de définir les notions de "ressource" et de "sémantique". Actuellement le web contient un ensemble de pages localisées grâce à des adresses virtuelles, les URLs (Uniform Resource Locator) et d’autres objets, recensés par des URNs (Uniform Resource Names). Les ontologies Sources : T. Notes :

Youmag lutte contre le bruit médiatique et sélectionne les informations pertinentes La quantité des informations disponibles sur Internet augmente toujours un peu plus, difficile de ne manquer aucun sujet intéressant. La curation s’est vite imposée comme solution et avec elle des sites tentant de devenir la référence, comme le nouveau Youmag. La jeune start-up est composée d’une équipe ayant déjà une certaine expérience dans le monde des médias et du digital : Guillaume Multrier (ex CEO d’Aegis Media et fondateur du groupe Webedia), Antoine Levêque (ex fondateur et CEO de Marvellous Isobar) et Nicolas Schaettel (ex patron de msn.fr et ex M6) qui ont tous quitté leur entreprise pour se lancer dans l’aventure. Le gros point fort de ce nouveau magazine d’actualité repose sur son équipe de journalistes qui sélectionnent, trient et valident les informations transmises. Êtes-vous intéressés par ce nouvel agrégateur d’informations ?

La police se lance sur les réseaux sociaux - Société La Police nationale lance officiellement sa page Facebook. © Copie d'écran de la page Facebook de la Police nationale. La police nationale a annoncé mardi son lancement sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter et Flickr). Objectif : "aller chercher les internautes là où ils se trouvent". Si cette présence des autorités n'est pas nouvelle, elle est désormais officielle. Il sera désormais possible de déposer une pré-plainte sur Facebook. La Police nationale se met à la page. La police nationale va se lancer sur les réseaux sociaux "afin d'aller chercher les internautes là où ils se trouvent" et de "les toucher par l'intermédiaire de leurs contacts et de leurs centres d'intérêt". L'objectif "est de créer un lien de confiance avec les internautes et de développer toutes les opportunités offertes par internet". La Police nationale sur les réseaux sociaux : quelles avancées ? Déposer une pré-plainte en ligne Les internautes réagissent

Médias & Publicité : Les internautes délaissent un peu Google De nouveaux sites réunissent aujourd'hui les passionnés autour de centres d'intérêt communs. Un défi pour le géant américain et son moteur de recherche. Le Web fait sa mue. Avec Facebook et Twitter, les internautes ont constaté qu'ils pouvaient découvrir des contenus sur Internet grâce à leurs amis et plus seulement en faisant des recherches sur Google. Aux États-Unis, Pinterest est devenu un véritable phénomène. D'autres services, dont le projet de départ n'était pas de créer de tels «index» thématiques du Web, y ont été poussés par leurs utilisateurs. De même, le site de questions-réponses Quora a adapté son offre en lançant le service «Boards» fin décembre 2011. Des cibles recherchées par les marques «Ce n'est pas la fin du moteur de recherche, car on en aura toujours besoin pour chercher un coiffeur pour enfants à San Francisco. Et pour certains sites médias, Pinterest renvoie déjà plus de trafic que Facebook.

Il n'y a pas que Facebook et Twitter dans la vie 800 millions de membres pour Facebook, 465 millions de comptes pour Twitter. A l'ombre de ces deux réseaux sociaux ultra-populaires, d'autres services basés sur le partage d'information et de contenu explosent à leur tour. Tumblr, Pinterest, Pearltrees, Path, Instagram, Quora... ils ont un point commun : jouer sur les affinités. Plus besoin de connaître une personne pour se lier à elle, le rapprochement s'effectue avant tout par les centres d'intérêt. Une autre spécificité de bon nombres de ces nouveaux acteurs : la prédominance de l'image. Le visuel prend le pas sur l'écrit et incite à faire défiler les pages à l'infini. En moyenne, chaque visiteur passe 100 minutes par mois sur Pinterest, le nouveau réseau social en vogue dont l'audience explose littéralement. TUMBLRCréation : 2007Prononciation : [teumbleur]Définition : plateforme de microblogging très orientée vers l'imageAudience : 120 millions de visiteurs uniques, 15 milliards de pages vues Attention, piège temporel.

Banques d'images libres et gratuites Capture d'écran du site Foter, photographie de Nevit Dilmen / Foter / CC BY-SA Les photothèques d'images numériques se sont multipliées en même temps et au même rythme que la progression fulgurante d'Internet. On peut consulter et acheter des fichiers à partir de centaines de catalogues virtuels de photographies et d'illustrations. On commence d'ailleurs à y retrouver des images 3D, photographies et modélisations. Les catalogues papier ont donc été remplacés par des banques d'images en ligne ; certaines d'entre elles sont commerciales, et on doit s'attendre à payer un montant d'argent pour télécharger les photographies. De nombreuses autres photothèques donnent un accès gratuit à leur banque d'images; ces banques sont parfois réalisées par des organismes, par exemple des maisons d'enseignement, ou des projets encyclopédiques ouverts, comme Wikimedia Commons, avec ses 15 millions de fichiers multimédias (images, vidéos, sons). Banques d'images généralistes Banques d'images spécialisées

La curation c’est de la merde… et puis quoi encore ? | Salah-Eddine Benzakour /// Blog Officiel Curation, encore et encore. On sait que la Curation est le nouveau buzzword sur internet après community manager. Sur son blog Actulligence, Frédéric Martinet (que j’apprécie pour ses articles concernant l’intelligence économique et la veille) annonce que « la Curation c’est de la merde« . Et pour cela il propose 5 raisons. Vu que je ne suis pas d’accord, je vais répondre aux 5 raisons en montrant que ce qui est dit est tout simplement faux : Raison 1 : Les plateformes de curation et l’acte de curation en lui-même n’apportent rien Ici je vais parler de l’acte de curation, pour les plateformes de curation je laisse cela à leurs propriétaires ou à leur community managers. Je ne parle pas ici d’un annuaire bis, mais imaginez que vous voulez acheter une montre de luxe, vous allez sûrement remercier le blogueur qui s’est donné la peine de compiler dans un billet les 10 liens d’articles qui vous expliquent les critères de choix d’une montre. Raison 5 : La curation c’est noyer l’information

Comment les marques peuvent tirer parti des réseaux sociaux L’influence des réseaux sociaux n’est plus à prouver. Qu’il s’agisse des «Fans» sur les pages Facebook, des followers de Twitter ou des blogueurs qui animent leurs propres pages thématiques ou des internautes qui interagissent beaucoup sur le Web, les marques ont tout intérêt à créer une relation de proximité avec leurs communautés. Dès lors que les communautés d'une marque ou d'une entreprise sont bien identifiées, il s’agit de s’adresser à elles de manière adaptée : sans être intrusif mais au contraire en leur proposant des contenus qui correspondent à leurs centres d’intérêt.Fini donc les sollicitions agressives et massives, place à une nouvelle forme de collaboration avec les communautés, basée sur une relation de confiance construite et fidélisée. Les marques peuvent désormais s’appuyer sur une stratégie axée sur le dialogue et le partage. Pour sensibiliser les communautés et gagner leur confiance, il faut construire une relation reposant sur trois grandes notions :

La puce et le neurone : deux mots sur la « curation » Ah le vilain mot que celui de « curation » ! Il y a décidément des anglicismes qui passent mal. Je ne sais pas pourquoi on ne lui préfère pas le terme d’édition, fût-il imparfait. Quoi qu’il en soit, c’est depuis quelques mois un des mots à la mode sur le Web et il recouvre quelque chose d’important : essayons donc de remonter du son (bruyant) au sens. Mais tout d’abord, qu’est-ce que la curation ? Maintenant, si l’on considère le Web, on comprend aisément pourquoi c’est une notion importante. Pour ne parler que du Web moderne, celui qui dans mon esprit commence au milieu des années 1990, deux méthodes de curation se dégagent : l’humaine et l’algorithmique. La curation humaine, c’est « David and Jerry’s Guide to the World Wide Web« , à savoir Yahoo! Delicious, né durant les années 2000, est une autre start-up qui fit date et, à mon avis, la start-up la plus emblématique du Web 2.0. Il est assez aisé de tracer les principaux avantages et inconvénients de ces deux approches.

Après Facebook, Twitter, Linkedin : LE nouveau réseau social [Article mis à jour le 14 février 2012] Innovant, pratique et communautaire ! Je suis convaincu que cette startup française ira très loin : peut-être le nouveau buzz du web mondial… Vous la connaissez déjà certainement… et les premiers chiffres de croissance annoncés me rappellent ceux de Facebook ou Twitter. 100 000 utilisateurs au bout de 15 mois, en avril 2011200 000 utilisateurs 6 mois plus tard, fin septembre 2011350 000 utilisateurs 4 mois plus tard en février 2012 (soit +75% de croissance en 4 mois !!!!) Bref, Pearltrees a doublé son nombre d’utilisateur en moins de 6 mois et devrait encore le doubler d’ici Avril 2012… voici ci-dessous ce que ça donnera, si la croissance continue à ce rythme. RDV dans quelques mois, pour voir si Pearltrees confirme « encore » sa croissance ! Prévisions si Pearltrees garde le rythme de croissance actuel (graphique source de Leon Haland, complété des prévisions Pearltrees) Voir le graphique source par Leon Håland (sans Pearltrees)

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