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Une contre-histoire de l'Internet

Une contre-histoire de l'Internet
Internet a été créé par des hippies tout en étant financé par des militaires ! Cet improbable choc des cultures a donné naissance à un espace de libertés impossible à censurer ou à contrôler. C’est pourtant ce que cherchent à faire, depuis des années, un certain nombre de responsables politiques, poussant hackers et défenseurs des libertés à entrer dans l’arène politique. Réseau sous surveillance Richard Stallman, l'inventeur des logiciels libres, Rick Falvinge, créateur du Parti pirate suédois (le premier du genre au monde), ou Julian Assange, fondateur de WikiLeaks reclus dans l'ambassade d'Équateur à Londres : au fil des entretiens avec ces militants de la liberté 2.0, les auteurs du documentaire dénoncent avec humour et vigueur les tentatives de régulation d'Internet par les gouvernements et les multinationales, et dévoilent le rapport souvent conflictuel qui persiste entre les acteurs de la culture web et les pouvoirs publics. Related:  Cultures numériquestravauxgalante

Une contre-histoire des internets Internet est un outil d’information, de communication et d’échange incontournable tant du point de vue professionnel que du point de vue personnel et familial ... est souvent mise à jour en temps quasi-réel. Il n’en faut pas plus pour véritablement comprendre pourquoi Internet est devenu un outil d’assistance et d’information référent. Bien sûr, tout ce que l’on y trouve n’est pas forcement exact et, pour celui qui ne serait pas vigilant sur la qualité ou l’origine de ses sources, cela peut avoir des conséquences importantes. Communiquer pour partager Dès l’origine ce sont les chercheurs qui ont été parmi les premiers à utiliser régulièrement les outils de communication sur le Web. Partager la connaissance L’Internet de la connaissance et de l’échange est également un nouveau concept économique avec d’importantes implications sociales et culturelles. Le monde pour partager Le réseau Internet couvre aujourd’hui une grande partie de la planète transformant notre mode de vie, notre manière de penser, notre approche de la connaissance et notre façon de partager les informations.

aux sources de l'utopie numerique Stewart Brand occupe une place essentielle, celle du passeur qui au delà de la technique fait naître les rêves, les utopies et les justifications auto-réalisatrices. Depuis la fin des années soixante, il a construit et promu les mythes de l'informatique avec le Whole Earth Catalog, le magazine Wired ou le système de conférences électroniques du WELL et ses communautés virtuelles. Aux sources de l'utopie numérique nous emmène avec lui à la découverte du mouvement de la contre-culture et de son rôle déterminant dans l'histoire de l'internet. Clin d'oeil et révérence au Whole Earth Catalog « Ce livre réussit un véritable tour de force. Suivant la biographie de Stewart Brand, il dresse le portrait d'un personnage collectif : internet. « Quand Place de la toile m'est échue il y a cinq ans maintenant, je suis allé voir Dominique Cardon pour qu'il me conseille quelques lectures de base sur les questions numérique.

"L'accès à Internet doit devenir un droit fondamental" Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laurent Checola et Damien Leloup “[Lorsque j'ai proposé d'organiser un sommet réunissant les acteurs d'Internet] certains m'ont dit : 'ils vont croire que tu veux les contrôler'. Cela n'a pas de sens, mais je pense que c'est important pour vous d'être écoutés. La cause principale de leur colère : la révélation par le New York Times de l'existence d'un document de conclusions du sommet, rédigé avant même son début. Outre ce sentiment que tout est joué d'avance, les participants du débat ont aussi critiqué la surreprésentation des grandes entreprises à l'e-G8, au détriment de la société civile. "Pas un mot n'a été dit sur ceux qui souffrent à cause d'Internet, les blogueurs qui sont en prison, simplement parce qu'ils ont utilisé Internet", s'inquiète de son côté l'organisation de défense de la liberté d'expression Reporters sans frontières (RSF).

Michel Wieviorka : «Mettre le numérique au service des humanités» Le sociologue Michel Wieviorka, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (l’EHESS), est à la tête de la Fondation Maison des sciences de l’homme depuis 2009. A la veille d’un colloque international «Penser global» marquant les 50 ans de l’institution, et le lancement de la revue Socio,Libération l’a interrogé sur l’état des sciences sociales et sur la figure de l’intellectuel aujourd’hui. A l’occasion des 50 ans de la fondation, vous signez un manifeste pour les sciences sociales. C’est leur grand retour ? Nous entrons dans une nouvelle époque. Les modes d’approche classique sont affaiblis, tout a changé pour les sciences sociales. Aujourd’hui en Chine, en Inde, à Singapour, des centres de recherche travaillent à haut niveau, sur des modes différents. Les chercheurs français sont-ils dans la course ? Ils reviennent dans le jeu mais ont pris du retard. Une quinzaine de chaires sont déjà attribuées. D’où vient ce retard dans les sciences sociales ? Oui. Oui.

Une histoire d'Internet Une histoire d'Internet par Laurent Chemla Texte amendé et publié dans "Les télécommunications entre bien public et marchandises", aux éditions Charles Léopold Mayer, 2005. Une histoire, et pas l'Histoire. L'excellente traduction faite par Didier Mainguy d'un telle compilation menée par Robert H Zakon, est disponible en ligne, ici. Si la naissance d'Internet est généralement datée du milieu des années 60, au moment où la technologie dite de "transmission par paquets" est inventée et développée jusqu'à arriver à la mise en place du réseau Arpanet, il serait illusoire de vouloir comprendre la philosophie fondatrice d'une technologie qui a révolutionné nos sociétés sans nous replacer dans le contexte historique de sa naissance, et sans parler du climat, et des hommes, qui en sont à l'origine. Quand l'armée finance l'utopie Nous sommes en pleine guerre froide. Rien d'autre qu'un problème que la technologie de l'époque aurait pu résoudre sans que jamais un objet tel qu'Internet ne naisse:

Projet Txto, imprimez et déroulez vos conversations sms Hey ! Ce midi je voulais vous présenter « Txto » qui est un service en ligne qui vous permet d’imprimer les histoires sms contenues dans votre téléphone portable ! Toujours dans cette vague du retour à l’objet, de la matérialité du numérique, ici les sms deviennent de vrais morceaux de vie en papier. « Que vous ayez pleuré, ri ou que vous vous soyez donné le code de l’interphone par sms, Tx.to imprime votre histoire. Txto imprime vos conversations sur un rouleau en bois semblable à une pellicule photo. Un très beau projet signé Martin Daniel qui a lancé une campagne de financement Kiss Kiss Bank Bank afin que tout le monde puisse voir son projet. source Ces articles peuvent aussi vous intéresser:

Liberté d’expression et ses limites | Internet responsable Page mise à jour le 04 octobre 2016 En France, la liberté d’expression est consacrée par l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. En revanche, la liberté d’expression n’est pas un droit absolu et elle se trouve affectée de nombreuses limites que les internautes ne doivent pas ignorer. Présentation La liberté d’expression est un droit fondamental. Il n’est donc pas ici question de brider la liberté d’expression de quiconque, enseignant, personnel non enseignant, chef d’établissement, élève ou parent, mais d’effectuer un rappel des limites fixées par la loi. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 énonce : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » Le principe est ainsi posé mais encore faut-il connaître les limites. Illustration En savoir plus...

Dieu et l’ordinateur On doit la lecture de la semaine à Peter Glaser (@peterglaser), écrivain et journaliste autrichien, longtemps rédacteur en chef de la revue du Chaos Computer Club, le célèbre groupe de Hacker berlinois. Ce texte paru sur le site autrichien Futurezone.at s’intitule “Dieu et l’ordinateur” et relève du genre de la Glose, une forme de chronique compilant plusieurs idées en apparence sans référence et en multipliant les sous-entendus plus ou moins critiques à l’actualité. Elle permet souvent d’exprimer une réflexion subjective dans une culture qui se méfie beaucoup du journalisme d’opinion. “Autrefois, le magistère moral du Vatican sur la technologie ne pouvait être remis en cause. En 2010, reprend Glaser, au sujet de la confession en ligne, l’archevêque de Cologne, Joachim Meisner répondait « c’est impossible, elle doit avoir lieu en face à face ». Pour les fans d’Apple, la question de la Foi a d’abord été de l’ordre de l’ironie. Xavier de la Porte

Me3zaa: L'influence des grandes utopies sur la création d'internet Les universitaires avait intérêt de partager dans le cadre des échanges scientifiques. Cet esprit s'est traduit entre autre par la création des logiciels libres et une approche différente de la propriété intellectuelle. C'est entre autre à ce moment que des universitaires ont développé la notion dont je ne me rappelle plus l'intitulé exact mais qui évoque protection d'une invention pour qu'elle ne puisse pas être accaparé par une entité privée et qu'elle puisse rester dans le domaine public. - la politique et la contre culture autour de San Francisco Le propos de Fred Turner ("aux sources de l'économie numérique") explicite le troisième pilier, selon lui, de l'internet qui est le mouvement socio culturel de la contre culture américaine. Le PC (Personal Computer) est un des autres leviers pour stimuler l'homme via la technologie. Les anonymous et le net (Ariel Kyrou) Il existe une tension toujours ambivalente entre ce qui enferme et ce qui libère sur le web.

le rêve et l'illusion Merveilleux plaidoyer que ce brillant petit billet lu il y a peu sur Le Web pédagogique ! Que d’enthousiasme et de foi en son métier chez ce professeur des écoles qui se fait appeler monsieur Mathieu et qui semble si jeune… Car il en faut de la jeunesse, dans la tête si ce n’est dans les artères, pour y croire à ce point ! Ton espoir, ton plaisir communicatif et le rêve que tu caresses d’être bientôt équipé font plaisir et contrebalancent fort avantageusement les articles fielleux sur l’éducation lus récemment et relayés par des médias complaisants. Bravo donc monsieur Mathieu ! Malheureusement, à mon avis, tu te trompes sur l’essentiel… Tu leur proposes aussi de trouver appui auprès de la DUI et du réseau des cyberbases… et, en l’occurrence, tu te trompes de crèmeries car ces réseaux, fort efficaces au demeurant, n’ont pas grand chose à voir avec le système éducatif au premier et au second degré, même s’il est possible parfois, très rarement, de partager des locaux…

Sarkozy préfère «l'Internet civilisé» aux cyberdissidents Alors que le G8 de l'Internet doit débuter mardi, un document du Quai d'Orsay révèle que l'Élysée n'a pas hésité à faire annuler un colloque sur la liberté d'expression et la protection des cyberdissidents prévu en octobre 2010. L'Élysée serait-il passé à côté du potentiel diplomatique d'Internet ? Aiors que le G8 de l'Internet doit s'ouvrir la semaine prochaine à Paris, Marianne explique que Nicolas Sarkozy a brutalement mis fin en septembre au projet de Bernard Kouchner, alors ministre des Affaires étrangères, de protéger les cyberdissidents qui prônent l'instauration de la démocratie dans leurs pays. Et ce quelques semaines avant l'éclatement des révolutions arabes. Entre l'Elysée et le Quai d'Orsay, deux visions antagonistes de l'Internet s'affrontent alors. «Internet met à bas les murs et les frontières» Le projet de Bernard Kouchner était pourtant bien avancé. En mai 2010, le ministre des Affaires étrangères publie deux tribunes dans Le Monde et le New York Times.

L’illectronisme, nouvelle grande cause nationale? Temps de lecture: 6 min Selon une étude de l'Insee parue en décembre dernier, la France compte 2,5 millions de personnes illettrées. 7% des adultes de 18 à 65 ans ayant été scolarisés en France, mais ayant perdu les acquis de base, souffrent de ce handicap. C’est pourquoi le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a officiellement érigé l’illettrisme grande cause nationale 2013 le 1er mars dernier. Or, outre la lecture, l’écriture ou le calcul, une autre compétence clé —selon les termes de l’Union Européenne— est apparue il y a quelques années: la maîtrise des technologies de l'information et de la communication. La première occurrence du terme serait à attribuer à Lionel Jospin lors d’un discours à Hourtin, en Aquitaine, le 26 août 1999: «L’essor des technologies de l’information ne doit pas creuser un "fossé numérique". Environ 15% des Français concernés L’e-exclusion, nouvelle source d’inégalités «Nous vivons à l’ère de la révolution de l’information. La lutte contre la «fracture numérique»

«Les libertés individuelles sont largement menacées sur internet» «Les libertés individuelles sont largement menacées sur internet» Flx Trgr prtcpr dbt «Ts ps ?» d frm «Lbrts chrs» smd 7 nvmbr d 14h 15h30 l Gît lyrq. nscrptn grtt. Vs êts l cfndtr d L Qdrtr d Nt, ql st l’bjctf d ctt ssctn ? C’st n ssctn ctynn fnd n 2008 pr prtgr ls lbrts fndmntls sr ntrnt, dns n cntxt pltq ù, l’pq, bcp d prjts vsnt rstrndr l lbrt d’xprssn, rmttr n cs l v prv ls qstns d drt d’tr. n s’ngg nv frnçs t rpn dns ls dbts pltqs t jrdqs sr ls qstns d rgltn d’ntrnt t tt c q tch rspct ds lbrts ndvdlls. Vs cnsdrz dnc q ls lbrts ndvdlls sr ntrnt snt mncs ?

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