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Les Biais Cognitifs – Questions animalistes

Les Biais Cognitifs – Questions animalistes
-> Biais Cognitif : déviation dans le traitement cognitif d’une information ; schéma de pensée inconscient qui a l’apparence de la logique mais qui est trompeur. Environ 200 biais cognitifs ont été recensés. -> Ils sont classés en différentes catégories (cette classification est variable) : – Biais mnésiques (relatifs à la mémoire et à son fonctionnement)– Biais de raisonnement (relatifs aux erreurs de raisonnement)– Biais de jugement (relatifs à la façon dont on interprète l’information)– Biais de personnalité (relatifs à l’identité ou l’image que l’on a de soi) -> Tout comme c’est le cas pour les illusions d’optique (biais sensoriels), on peut connaître un phénomène (un biais cognitif particulier) sans pour autant parvenir à l’éviter. -> Tout le monde subit l’influence des biais cognitifs, même les personnes qui sont informées de leur existence. -> Être victime de biais cognitifs n’est pas le signe d’un manque d’intelligence. – Biais de la tache aveugle– Biais des coûts irrécupérables Related:  Fake, rumeur, complot et vérification de l'info, propagandeLycée F.Barthodi -St DenisNeuroSciences / Pédagogie

Faire l’histoire des Fake news au temps du Coronavirus Comme tout évènement majeur national ou international, la crise sanitaire profonde que nous traversons charrie son flot de Fake news en tout genre. Dès le 25 mars, France Info alerte sur les fausses nouvelles qui se répandent aux termes de la première semaine de confinement en France. L’article détaille l’exemple d’un message électronique circulant alors de boite mail en boite mail, proposant des recettes miracles pour éviter de tomber malade : se « gargariser avec une solution désinfectante » éliminerait ainsi la présence du SARS-CoV-2 dans la gorge ; sinon, « boire quelques gorgées d’eau au moins toutes les quinze à vingt minutes » permettrait de faire descendre le virus dans l’estomac où l’acide gastrique le tuerait. Les Fake news dans l’histoire S’il en a été incontestablement l’un des propagateurs de l’expression, Donald Trump, contrairement à ce qu’il affirmait en 2017, n’est en rien l’inventeur du concept de Fake news. Mécanique de la tromperie Un moteur de et pour l’histoire

« Cinq à six mois sans école, c’est une catastrophe annoncée » Selon Jean-Paul Delahaye, inspecteur général honoraire de l’éducation nationale et ancien conseiller de Vincent Peillon au ministère de l’éducation, la crise sanitaire accélère le décrochage des enfants de milieux populaires. Depuis la mi-mai, les écoles rouvrent dans tous les départements, même si ce n’est que pour une minorité d’enfants. Ce n’est pas le cas des collèges, qui restent fermés en zone rouge. Faut-il, comme le demandent certains élus, passer à la vitesse supérieure ? Oui, en particulier dans les quartiers difficiles, et sans perdre de vue les précautions sanitaires, il me semble urgent de rappeler les adolescents dans les établissements. Arrêtons de nous bercer d’illusions : le retour en classe ne se fera pas à l’identique. Non, ce qui est prioritaire, c’est de resserrer le lien qui s’est distendu. Là où les cours ont repris, les enseignants disent que le protocole sanitaire limite drastiquement les capacités d’accueil. Bien sûr que non.

10 éléments importants pour appliquer la Métacognition en classe by profholroyd on Genially 10 éléments importants pour appliquer la métacognition en classe Fixer des objectifs Encourager l'élève à s'interroger Guider l'attention de l'apprenant FairecComprendre l'utilité d'une méthode Varier les méthodes/stratégies Verbaliser le processus de réflexion Donner du feed back précis Inciter à utiliser le feed back donné L'inciter à réfléchir à ses résultats Valoriser l'erreur Article complet : Rappeler les objectifs à l'élève (pourquoi il fait la tâche en cours), l'encourager à atteindre l'objectif fixé. Guider l'apprenant dans son niveau d'attention car il ne peut pas maintenir le même niveau tout le temps. Inciter l'apprenant à se demander quand est ce qu'il aura besoin de la technique/méthode, comment il pourra la réutiliser, principalement lors de situations non familières. L'enseignant doit avoir réfléchi en en amont à des objectifs précis, clairs et contextualisés au niveau de son cours (pourquoi j'enseigne ce chapitre ?

À la découverte des biais cognitifs - le jeu de 52 cartes UX -- par Stéphanie Walter et Laurence Vagner... Ce contenu a été rédigé il y a 4 ans. Il se peut qu'il ne soit plus à jour. Laurence Vagner (avec un V) animons des ateliers sur la thématique des biais cognitifs. Les biais cognitifs sont des mécanismes de pensée qui poussent le cerveau humain à tirer des conclusions incorrectes. Mise à jours 2023 Nous sommes en cours de mise à jour des cartes. Acheter la version anglaise Le jeu des 52 cartes UX des biais cognitifs La liste des biais cognitifs est longue et carrément effrayante pour beaucoup de personnes. Prise de décision et comportementRaisonnement et résolution de problèmeMémoire et souvenirsInterview et test utilisateurTravail d’équipe et réunion Ce jeu a été créé dans l’optique d’être utilisé dans le domaine de la conception web. Au cas où vous vous posez la question, les jolies icons des catégories viennent de la librairie Streamline. Ces cartes ont été conçues à des fins d’apprentissage. Vous pouvez me contacter si vous souhaitez organiser un tel atelier à distance avec vos équipes.

Fake news, une fausse épidémie ?, par Pierre Rimbert (Le Monde diplomatique, août 2020) Numéro coordonné par Pierre Rimbert Édition : Olivier PironetConception graphique : Boris Séméniako, assisté par Juliette Le FlochPhotogravure : Patrick Puech-WilhemCartographie : Cécile MarinCorrection : Dominique Martel et Xavier Monthéard L’effet boomerang ///// Pierre Rimbert I. En guerre contre le « populisme » Menée au nom de la vérité et de la factualité, la bataille internationale contre les « fake news » est d’abord une lutte politique : elle transpose dans l’univers des médias l’offensive des partis centristes contre les dirigeants dits « populistes », qu’ils soient bolivien, nord-américain ou français. Un journalisme postpolitique ///// Frédéric Lordon Tchernobyl médiatique ///// Serge Halimi et P. Haro sur Bernie Sanders ///// Julie Hollar Antisémitisme, l’arme fatale ///// Daniel Finn L’intox avant les « infox » ///// Steve Rendall Pour Julian Assange ///// S. Un barrage peut en cacher un autre ///// P. II. « BHL » en Afghanistan ou Tintin au Congo ? III. Encadrés

Esprit Critique & Méthodologie – Questions animalistes Ces Fiches sont conçues pour apprendre et transmettre de nouvelles informations. Elles peuvent être diffusées sur les réseaux sociaux, ou encore être mises à disposition du public sur un stand, ou dans un contexte éducatif. Leur usage est libre et gratuit. FICHES MÉTHODOLOGIE– Les biais cognitifs– Les niveaux de preuve– Appréhender une information– L’effet Dunning-Kruger– Le principe d’asymétrie du baratin (loi de Brandolini)– Corrélation et causalité : l’effet cigogne …Et d’autres à venir bientôt ! CITATIONS & PROVERBESEsprit critique & Zététique WordPress: J’aime chargement…

[INFOGRAPHIE] Neurosciences : apprendre en 4 temps S’il existe plusieurs méthodes d’enseignement valables, les dernières découvertes en neurosciences ont permis d’identifier 4 facteurs nécessaires à un apprentissage réussi. Conciliables avec la liberté et l’expérimentation qui restent importantes en pédagogie, ces principes directeurs peuvent être intégrés à des approches diverses. 1. L’attention C’est la porte d’entrée de tout apprentissage et un facteur déterminant dans la réussite des études. 2. Plus un apprentissage suscite la curiosité de l’apprenant, plus sa mémoire serait disposée à le retenir. 3. L’adage voulant qu’on apprenne de ses erreurs n’est pas un mythe! 4. C’est l’étape où les connaissances acquises sont intégrées. Facteurs extras, essentielsN’oublions pas que d’autres facteurs ont été identifiés comme ayant un impact significatif sur l’apprentissage, dont un environnement physique et relationnel propice à l’apprentissage, de même qu’une saine alimentation et de l’activité physique régulière.

3 biais cognitifs à connaître en éducation... Le biais de l’angle mort de polarisation Aussi appelé le Blind Spot ou « biais de la tache aveugle », le biais de l’angle mort de polarisation évoque ce biais visuel que nous avons tous : une zone de notre rétine étant dépourvue de photorécepteurs, donc aveugle, c’est notre cerveau qui complète la portion visuelle manquante. En termes de biais cognitifs, le biais de l’angle mort de polarisation consiste à remarquer l’impact des biais cognitifs bien mieux sur le jugement d’autrui que sur le sien. En réalité, nous sommes tous aussi susceptibles de nous faire berner par des biais cognitifs… L’un des phénomènes à l’origine de ce biais serait la grande valeur que l’on accorde, en général, à l’information provenant de l’introspection (Pronin et Kugler, 2007). L’effet de halo Un exemple classique de cet effet de halo : la beauté. La malédiction de la connaissance

Épidémie d’infox : des « gestes barrières » numériques à adopter aussi En cette période où l’éducation aux médias et à l’information (EMI) se fait… à la maison, son rôle dans la lutte contre les informations frelatées ou frauduleuses est essentiel. Que ce soit sur les médias de masse ou les médias sociaux et autres messageries instantanées, les infox sont envahissantes, notamment en ce qui concerne le coronavirus. Or, la désinformation sur le coronavirus peut contribuer à aggraver la pandémie mais ne doit pas inhiber notre esprit critique face à une couverture médiatique, qui produit un effet hypnotique inégalé depuis le 11 septembre 2001) tous azimuts. L’éducation aux médias et à l’information permet d’en comprendre les mécanismes, de se doter d’un répertoire de « gestes barrières », et de prévoir l’après-coronavirus, où il faudra bien se poser la question de l’impact de la pandémie sur notre espace public numérique commun. Typologie des infox Le coronavirus ne dément pas ces menaces. Adopter les gestes des « fact-checkers » Nouveaux outils Kit de survie

La classe inversée : comment la mettre en action? | AESTQ Animatrice : Caroline Cormier, professeure de chimie, Cégep André-Laurendeau La pédagogie inversée consiste à déplacer les contenus théoriques à l’extérieur de la classe en faisant visionner des vidéos aux étudiants et étudiantes à la maison. C’est une approche particulièrement populaire dans les cours de sciences depuis les dix dernières années. De son côté, c’est depuis 2013 que l’animatrice donne ses cours de chimie en classe inversée. Elle apprécie particulièrement le temps de classe que cette pratique lui a permis de libérer, le climat de classe qui en ressort, et l’amélioration dans les notes des étudiants. En effet, l’animatrice a pu constater que tous les étudiants ont profité de la classe inversée, mais que les étudiants et étudiantes dont la cote R était la plus faible en ont profité davantage. Caroline Cormier enseigne la chimie au Cégep André-Laurendeau depuis 2008.

L'acte d'apprendre – Neuroéducation, pédagogie et numérique | EdmusTech.fr Basée sur un article de Sylvain Connac, cette vidéo est réalisée en étroite collaboration avec ce dernier. Elle cherche à présenter une vision mixte de l’acte d’apprendre, entre neurosciences, pédagogie et numérique. Un immense merci à Violaine Burguière, Jean-Luc Albinet et bien sur Sylvain Connac, qui ont co-écrit cette vidéo avec moi. L’acte d’apprendre Voilà un mystère que l’on aimerait bien percer ! Au vu de la durée, il ne sera pas inutile d’y revenir ! Un mot sur Sylvain Connac Sylvain est chercheur en sciences de l’éducation à Montpellier. Sylvain est aussi très actif dans la formation puisque l’on trouve sur M@gistère une formation sur les pédagogies coopératives offerte à tout le public enseignant ! Enfin, on peut avoir la chance de le croiser dans de nombreux évènements autour de l’éducation. Collaborer, coopérer À chaque fois c’est encore la preuve que mutualisme les compétences conduit à de belles choses (du moins je l’espère, mais au vu des retours, ça a l’air pas trop mal !).

Le petit guide des raccourcis mentaux... Les raccourcis mentaux que nous empruntons pour traiter l’information contribuent grandement à la crise de la désinformation. Les reconnaître fait partie de la solution. Les biais cognitifs, semblables à un coureur qui triche pour finir une course plus vite, font en sorte qu’on partage des articles qu’on n’a pas lus, qu’on donne de la crédibilité à une vedette de la chanson qui s’exprime sur un sujet scientifique, qu’on commente sous le coup de l’émotion ou qu’on minimise les conséquences de la COVID-19... C’est le psychologue et économiste Daniel Kahneman et ses collègues qui ont démontré, au début des années 1990, notre tendance à prendre des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Qu’on le veuille ou non, notre cerveau est ainsi fait qu’il recourt continuellement à de tels raccourcis mentaux. Biais de confirmation Le biais de confirmation nous pousse à favoriser l’information qui confirme nos croyances. Les réseaux sociaux le reflètent. L’effet de halo Le biais de normalité

Fake news, la complexité de la désinformation - First Draft News FR - mars 2017 Aujourd’hui, nous reconnaissons tous que le terme fake news, particulièrement répandu en anglais et toujours plus utilisé en français pour désigner des fausses informations, ne s’avère pas très utile. Cependant, sans qualificatif pour le remplacer, nous sommes contraints à employer cette formule en mimant des guillemets. Trouver une expression de remplacement n’est pas chose aisée, car il s’agit d’évoquer bien plus que des simples actualités. Pour comprendre le système actuel de l’information, nous devons considérer trois éléments : Les différents types de contenus créés et partagésLes motivations des personnes à l’origine de ces contenusLes modes de diffusion de ces contenus Le sujet est important. Les différents types de mésinformation et de désinformation En novembre, je m’exprimais à propos des différents types d’informations problématiques dont je constatais la diffusion dans le cadre de l’élection aux États-Unis. Quelles raisons poussent à fabriquer de telles publications ?

Le portfolio en classe de langue Une expérience en évaluation Le Portfolio en classe de langue A l'origine, le portfolio viennent du Canada où il est utilisé comme alternative aux moyens traditionnels d'évaluation. Hélène Gresso participe au travail du secteur langues de l’ICEM. Pourquoi le portfolio ? Dans la classe, les étudiants créent beaucoup : des essais, des poèmes, des histoires personnelles, parfois des BD ou des dessins. L'intérêt du portfolio est donc la combinaison de nouvelles approches de l'évaluation et la présentation concrète d'un parcours intellectuel personnel. Qu'est-ce qu'un portfolio? Le portfolio sert à conserver, à évaluer et à réfléchir sur les travaux effectués dans une période scolaire donnée. 1) Conserver Organisation Le portfolio n'est pas organisé par discipline, mais selon des catégories déterminées à l'avance. Nous utilisons les catégories suivantes (encart page II) : - Créations personnelles (encart page III) ; - Réflexions ; - Analyses et lectures de textes, d’articles de journaux, de données,

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