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How Will the Coronavirus End?

How Will the Coronavirus End?
Editor’s Note:The Atlantic is making vital coverage of the coronavirus available to all readers. Find the collection here. Three months ago, no one knew that SARS-CoV-2 existed. Now the virus has spread to almost every country, infecting at least 446,000 people whom we know about, and many more whom we do not. It has crashed economies and broken health-care systems, filled hospitals and emptied public spaces. It has separated people from their workplaces and their friends. To hear more feature stories, get the Audm iPhone app. A global pandemic of this scale was inevitable. So, now what? As we’ll see, Gen C’s lives will be shaped by the choices made in the coming weeks, and by the losses we suffer as a result. Anne Applebaum: The coronavirus called America’s bluff “No matter what, a virus [like SARS-CoV-2] was going to test the resilience of even the most well-equipped health systems,” says Nahid Bhadelia, an infectious-diseases physician at the Boston University School of Medicine. I.

https://www.theatlantic.com/health/archive/2020/03/how-will-coronavirus-end/608719/

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The COVID-19 Vaccines Are Not What You Think The process is simple. Surrender some of your blood, and a lab will filter out the cells and keep only the amber-colored serum, with the antibodies to the virus still in there and active. This serum, further refined, is called “hyperimmune globulin.” All that remains is to infuse the serum into a healthy person (or, in much greater quantities, into a sick one). The antibodies won’t last forever, but they could last weeks or months, and either help a sick recipient heal or keep a healthy recipient from getting the virus at all. Coronavirus: pourquoi il ne faut pas espérer un retour à la normale dans les prochains mois Les prédictions mathématiques. Ce sont les prédictions des épidémiologistes qui soulignent la difficulté d’un rapide retour à la normale. Ainsi que le notaient des simulations extraites du rapport mené par l’épidémiologiste Neil Ferguson, de l’Imperial College de Londres:

Substantial undocumented infection facilitates the rapid dissemination of novel coronavirus (SARS-CoV2) Abstract Estimation of the prevalence and contagiousness of undocumented novel coronavirus (SARS-CoV2) infections is critical for understanding the overall prevalence and pandemic potential of this disease. Here we use observations of reported infection within China, in conjunction with mobility data, a networked dynamic metapopulation model and Bayesian inference, to infer critical epidemiological characteristics associated with SARS-CoV2, including the fraction of undocumented infections and their contagiousness. We estimate 86% of all infections were undocumented (95% CI: [82%–90%]) prior to 23 January 2020 travel restrictions. Coping with Fatigue, Fear, and Panic During a Crisis Executive Summary Fatigue, fear, and panic undermine our ability to think clearly and creatively, manage our relationships effectively, focus attention on the right priorities, and make smart, informed choices. So when faced with a serious crisis, how can we take better care of ourselves and build more resilience? One way is to become more aware of the three selves that influence our behavior in the face of threat and danger.

Italy, Pandemic’s New Epicenter, Has Lessons for the World “We have been the first ones with the most rigorous and accurate controls,” he said on television, adding that more people in Italy appeared infected because “we did more tests.” The next day, as infections surpassed 200, seven people died and the stock market plunged, Mr. Conte and his health aides doubled down. He blamed the Codogno hospital for the spread, saying it had handled things in “a not-completely-proper way” and argued that Lombardy and Veneto, another northern region, were inflating the severity of the problem by diverging from global guidelines and testing people without symptoms. As Lombardy officials scrambled to free up hospital beds, and the number of infected people rose to 309 with 11 dead, Mr. Conte said on Feb. 25 that “Italy is a safe country and probably safer than many others.”

(1) «Véran est médecin, il est censé être notre capitaine» Au cabinet médical, le quotidien change. D’abord parce que les mesures d’hygiène sont chronophages, nécessitent une attention particulière dans un monde où elles avaient été peu à peu négligées, et qu’il faut réapprendre, éviter les erreurs d’inattention, faire avec la pénurie actuelle. Je suis passé une nouvelle fois à la pharmacie, sans y croire, juste pour vérifier, et bien entendu les masques promis depuis maintenant six jours ne s’étaient toujours pas matérialisés. Mais, surprise, la pharmacienne m’a ramené du fond de sa réserve un sachet plastique de 50 masques chirurgicaux : «On a fouillé dans tous les coins et on a retrouvé un carton datant de 2009.» Elle n’a pas voulu que je les paie.

Et maintenant on culpabilise les citoyens « Une des stratégies les plus efficaces mises en œuvre dans toute situation d’urgence par les pouvoirs forts consiste à culpabiliser les individus pour obtenir d’eux qu’ils intériorisent la narration dominante sur les événements en cours, afin d’éviter toute forme de rébellion envers l’ordre constitué. » Une tribune venue d’Italie qui s’applique à ce qui se joue aujourd’hui en France. Une des stratégies les plus efficaces mises en œuvre dans toute situation d’urgence par les pouvoirs forts consiste à culpabiliser les individus pour obtenir d’eux qu’ils intériorisent la narration dominante sur les événements en cours, afin d’éviter toute forme de rébellion envers l’ordre constitué. Cette stratégie a été largement mise en œuvre dans la dernière décennie avec le choc de la dette publique, présenté comme la conséquence de modes de vie déraisonnables, où l’on vivait au-dessus de ses moyens sans faire preuve de responsabilité envers les générations futures. Marco Bersani (Attac Italie)

Verbalisé (parce que) Préam­bule : J’in­clus dans cet inven­taire des PV arbi­traires ou abusifs, mora­le­ment ou léga­le­ment. Au delà de la subjec­ti­vité dans l’ap­pré­cia­tion, ce n’est qu’une collec­tion de liens publics, qui ne se veut même pas exhaus­tive. Je me contente d’évi­ter ce qui me parait contes­table ou liti­gieux.

Témoignages de Wuhan, loin de l’image diffusée par les médias chinois Le Dr Li, qui est cardiologue à l’hôpital N° 4 de Wuhan, a passé la troisième semaine de mars à préparer la réouverture des cliniques générales de l’hôpital, qui ont fermé le 22 janvier, lorsque l’hôpital N° 4 est devenu un établissement clé pour le traitement des patients du Covid-19. Après avoir travaillé durant deux mois en première ligne de l’épidémie, Li est mentalement et psychologiquement perdu quant à la suite des événements. Il n’arrive ni à dormir ni à manger, se sent souvent hébété et parfois, sans savoir pourquoi, il se met à pleurer. Le traumatisme de Li contraste fortement avec l’image diffusée par les médias chinois, qui regorgent d’articles et d’émissions glorifiant la réponse du gouvernement à l’épidémie. Au milieu d’une telle exultation, Li est de plus en plus réticent à exprimer ses craintes ou ses préoccupations à ceux qui l’entourent. C’est un homme qui a changé – qui comprend à quel point «une vie est fragile et faible».

Coronavirus: Can a pandemic remake society? A big question about the coronavirus pandemic is how much change it will leave in its wake. Are we in the midst of a massive, potentially revolutionary transformation of society? Or are we experiencing an intense shock that will change our society in the short term but leave it fundamentally intact? Economic historian Walter Scheidel explored the former category — revolutionary transformations — in his influential 2017 book, The Great Leveler: Violence and the History of Inequality from the Stone Age to the Twenty-First Century. In that book, Scheidel identifies four classes of events — lethal pandemics, major wars, state failures, and revolutions — that reshape societies by flattening economic inequalities.

Coronavirus: The Hammer and the Dance - Tomas Pueyo - Medium As of today, there are 0 daily new cases of coronavirus in the entire 60 million-big region of Hubei. The diagnostics would keep going up for a couple of weeks, but then they would start going down. With fewer cases, the fatality rate starts dropping too. And the collateral damage is also reduced: fewer people would die from non-coronavirus-related causes because the healthcare system is simply overwhelmed.

Comment la Chine a laissé échapper le coronavirus L’homme, un commerçant de 65 ans travaillant dans le marché couvert de Huanan, est arrivé à l’hôpital central de Wuhan le 16 décembre. Ses deux poumons étaient infectés et il avait de la fièvre, mais les antibiotiques qu’on lui avait donnés ne produisaient pas d’effet, raconte Ai Fen, la directrice du département des urgences dans une interview parue la semaine dernière en chinois et depuis censurée. Onze jours plus tard, elle a vu arriver un autre patient présentant des symptômes similaires, puis cinq autres le lendemain.

Covid-19: histoire d’une médiatisation – Le Temps Une équipe de recherche de l’EPFL a étudié les liens entre articles, recherches Google et mentions du virus sur les réseaux sociaux. La flambée épidémique en Lombardie a eu un impact décisif en Suisse, en France et en Allemagne «Symptômes», «virus» ou «Svizzera covid»: ce type de recherches Google grimpe en flèche en Suisse, d’après le service Trends (tendances) de Google. Les internautes des cantons latins sont plus assidus que les Alémaniques, avec un volume de recherche particulièrement élevé vers Lausanne et Genève. «On va tous craquer» : face à l’épidémie de coronavirus, des soignants sous pression témoignent Médecins, infirmiers, aides-soignants, ambulanciers… Tous les maillons de la chaîne de santé sont mobilisés depuis le début de l'épidémie de Covid-19. Ce vendredi, le ministère de la Santé dénombre près de 11 000 cas de contamination, et se prépare à une aggravation de l'épidémie. Face à cette progression, les personnels du monde de la santé, qui dénonçaient déjà des conditions de travail difficiles, se disent encore plus en danger. Salaires insuffisants, manques de matériels, patientèle nombreuse… Ils racontent leur quotidien chamboulé à cause du coronavirus au Parisien. « On n'est pas des superhéros, on fait juste ce qu'on sait faire », Paul* (le prénom a été modifié), interne en réanimation « Ça y est, on s'est pris la première vague.

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