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Coronavirus : la liste des prétendus conseils "simples et accessibles à tous" à ne pas suivre

Coronavirus : la liste des prétendus conseils "simples et accessibles à tous" à ne pas suivre
Quels sont les symptômes du nouveau coronavirus ? Comment se transmet-il ?Peut-on neutraliser ce virus ? Par simple copier-coller, envoi d'e-mail groupés ou partage de publications Facebook, ces messages ont été diffusés des milliers de fois depuis le 2 mars dans de nombreux pays francophones, notamment en France et en Côte d'Ivoire. Le même message a été partagé plus de 130.000 fois en espagnol sur Facebook cette semaine (exemples ici et là). Une version légérement différente, listant 14 conseils et citant "l'oncle d'un ami" travaillant à "l'hôpital de Shenzhen" circule en anglais, et a été partagée des milliers de fois au Canada, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Captures d'écran Facebook prises le 10 mars 2020 Selon les recherches de l'AFP, la grande majorité des ces conseils se basent sur des affirmations fausses ou infondées. C'est faux. C'est faux. C'est faux. C'est infondé. C'est faux. "Pas de besoin de changer la température de l'eau que vous buvez. C'est faux. Rien ne le prouve. Related:  helene.bodinLe COVID1ers liens sur le covid 19

Covid-19 Ressources Clémi - Éducation aux médias Avec la propagation du Covid-19, les fausses informations se multiplient sur internet et les réseaux sociaux... Voici une liste non exhaustive de médias analysant les informations qui circulent à propos du coronavirus (Covid-19). Ces sites recensent donc les fausses nouvelles et informations sujettes à caution, rétablissent les faits et mettent à jour régulièrement leurs analyses des informations à propos de l'épidémie. Comment s’assurer qu’une information n’est pas un fake ? Plusieurs réflexes peuvent être adoptés : vérifier la provenance de l’information (le site web, l’auteur, la date), faire un copier-coller d’un passage donné pour vérifier la réplication du texte sur le web, et son éventuelle mention sur des sites de Fact Checking. France Info - La rubrique "Vrai ou fake" revient sur les polémiques concernant le Covid-19.

Coronavirus : La synthèse - Atoute.org Version du 27/05/2020 Quelle est la mortalité de la COVID-19 ? Voici le taux de létalité (mortalité chez les malades) comparé de la grippe et de la COVID-19 à partir de données chinoises : Cela signifie par exemple qu’en Chine, la grippe tue 2 adultes jeunes et 83 seniors sur 10.000 malades. Bien qu’ils aient été critiqués [1], ces chiffres donnent un ordre de grandeur de la situation actuelle. L’institut Pasteur a publié des estimations Françaises qui montrent l’énorme différence de mortalité entre les jeunes et les (très) vieux : En pratique, retenez que la COVID-19 tue environ 1 adulte d’âge moyen et 50 sujets âgés sur 1000 infectés, ce qui représenterait 60.000 à 120.000 décès en France si toute la population est contaminée [2]. Cela veut aussi dire que 999 malades sur 1000 n’en meurent pas ! 1000 adultes d’âge moyen infectés -> 10 hospitalisés -> 1 décès ! Qui risque d’en mourir ? Facteurs de risques de décès, étude anglaise. Quels sont les symptômes de la maladie COVID-19 ? fièvre (87,9%),

Combien de temps le coronavirus persiste-t-il sur un support inerte ? Question posée par hangarter, le 03/03/2020. Bonjour, Votre question porte sur la persistance du nouveau coronavirus sur les surfaces. Les différentes agences de santé publique, dans les pays touchés par le nouveau coronavirus, sont unanimes sur la question : le virus se transmet principalement entre deux personnes situées à moins d’un mètre de distance via des gouttelettes produites lors d’une toux ou d’un éternuement. De quelques heures à plusieurs jours Pour l’heure, il reste encore compliqué de connaître précisément la durée de vie du virus sur une surface inerte. Une fourchette assez large reprise par l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité des accidents du travail et des maladies professionnelles) qui s’appuie aussi sur les «données disponibles sur la survie des coronavirus dans le milieu extérieur» pour préciser que le virus reste vivant «quelques heures sur des surfaces inertes sèches». Lavage des mains et bionettoyage Anaïs Condomines

La réduction des risques et la solidarité, c’est nous - Tirons les leçons du SIDA Je vois passer des comparaisons idiotes entre les épidémies de coronavirus et de VIH. Deux virus et deux épidémies qui médicalement ne sont pas comparables. Pourtant, s’il y a une communauté qui devrait partager son expérience, c’est bien la communauté sida. L’expérience que l’épidémie de coronavirus sera aussi sociale. L’expérience que l’Etat réagira avec retard. L’expérience que le gouvernement, comme ceux qui l’ont précédé minimisera, prendra des décisions d’abord économiques, prétendra donner des leçons au monde entier sans tirer conséquence du délai qui nous a été donné pour essayer d’anticiper plutôt que de subir. L’expérience qu’il commencera par nous expliquer que l’excellence française fait de nous l’exception mondiale, de celle qui arrête des nuages aux frontières. L’expérience, que dans la réalité, la principale barrière tiendra sur le dévouement des soignants en première ligne qui sacrifieront y compris leur santé pour essayer d’épargner la nôtre.

Logiciel éducatif enfant GCompris GCompris est un logiciel éducatif qui propose des activités variées aux enfants de 2 à 10 ans. Les activités sont quelquefois ludiques, mais toujours pédagogiques. Voici la liste des catégories d'activités avec quelques exemples : découverte de l'ordinateur : clavier, souris, écrans tactiles… lecture : lettres, mots, entraînement à la lecture, à l'écriture… mathématiques : révision des tables, dénombrement, les tables à double entrée… sciences : l'écluse, le cycle de l'eau, l'énergie renouvelable… géographie : pays, régions, culture… jeux : les échecs, jeux de mémoire, le puissance 4, le pendu, le morpion… autres : couleurs, formes, le Braille, apprendre à dire l'heure… En tout, GCompris propose plus de 100 activités et il continue à évoluer. GCompris est un logiciel libre, il vous est donc possible de l'adapter à votre besoin ou de l'améliorer, et pourquoi pas, d'en faire bénéficier les enfants du monde entier. Le projet GCompris est hébergé et développé par la communauté KDE.

Evaluer ses sources - Méthodologie de la recherche documentaire Au préalable, voir la pertinence de la requête. S'il y a des résultats avec trop ou pas assez de références, adapter la stratégie de recherche càd utiliser soit des mots-clés plus précis soit plus généraux Deux points en particulier à analyser : 1 - Pertinence des documents Adéquation entre le contenu et le besoin - Inscrit dans le domaine de recherche - Réponses aux questions posées - Informations utiles 2 - Fiabilité des sources Evaluation de la source utilisée pour savoir si un document offre une information valable et fiable Restez attentifs à : - la réputation de l'auteur : reconnu dans son domaine ou pas Sur une page web, consulter les rubriques "A propos" ou "Qui sommes-nous" (= avoir des informations sur les auteurs/organisme etc. qui rédigent les pages du site web que l'on consulte). - l'objectivité de l'information : partiale ou impartiale - le niveau de l'information (grande public, spécialites, scolaires) repérable à partir du public visé

Coronavirus : notre guide pour distinguer les fausses rumeurs des vrais conseils Les écoles fermées, les déplacements réduits à leur portion congrue, des événements culturels et sportifs annulés par centaines, une économie grippée… Les conséquences en cascade de l’épidémie due au coronavirus se font sentir en France et dans le monde. Si le président, Emmanuel Macron, appelle à « faire bloc » face à la crise sanitaire, celle-ci suscite son lot d’inquiétudes. Ce contexte d’incertitudes est propice à la diffusion de rumeurs. « Remèdes miracles » contre le Covid-19, intox sur l’origine du SARS-CoV-2, fausses informations sur les conséquences de l’épidémie… Les Décodeurs vous aident à faire le tri. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 1. La maladie se transmet par les postillons (éternuements, toux). se laver les mains très régulièrement ;tousser ou éternuer dans son coude ;se saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades ;utiliser des mouchoirs à usage unique. Les mauvais « conseils » à ne pas suivre : Non, boire des boissons chaudes ne « neutralise » pas le coronavirus. 2. 3. 4. 5.

Info Coronavirus COVID-19 Dans son avis du 30 mars 2023, la Haute Autorité de Santé préconise de lever l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les professionnels de santé. L’obligation vaccinale est levée par décret à compter du 15 mai 2023. Les modalités de réintégration sont précisées dans l’instruction interministérielle n° DGOS/RH3/RH4/RH5/DGCS/2023/63 du 2 mai 2023 relative aux modalités de réaffectation des agents à la suite de la levée de l’obligation vaccinale contre le Covid-19. La vaccination des professionnels de santé reste toutefois fortement recommandée. Depuis le 1er mars 2023, l’Assurance maladie prend en charge une partie des frais liés aux tests de dépistage (antigénique et RT-PCR) du Covid-19 de tous ses assurés sans prescription. Plusieurs changements ont aussi pris effet en février 2023 : Je suis positif au Covid-19, que dois-je faire ? Je prends rendez-vous pour me faire vacciner Port du masque Le port du masque demeure recommandé: Maintenons les gestes barrières Isolement Tests Vaccination

Coronavirus : le cri de colère d'un chercheur du CNRS Je suis Bruno Canard, directeur de recherche CNRS à Aix-Marseille. Mon équipe travaille sur les virus à ARN (acide ribonucléique), dont font partie les coronavirus. En 2002, notre jeune équipe travaillait sur la dengue, ce qui m’a valu d’être invité à une conférence internationale où il a été question des coronavirus, une grande famille de virus que je ne connaissais pas. C’est à ce moment-là, en 2003, qu’a émergé l’épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) et que l’Union européenne a lancé des grands programmes de recherche pour essayer de ne pas être prise au dépourvu en cas d’émergence. La démarche est très simple : comment anticiper le comportement d’un virus que l’on ne connaît pas ? Eh bien, simplement en étudiant l’ensemble des virus connus pour disposer de connaissances transposables aux nouveaux virus, notamment sur leur mode de réplication. La science ne marche pas dans l’urgence et la réponse immédiate.

Évaluer les documents obtenus - Évaluer ses sources - Guides at HEC Montréal Votre information est pertinente? Répond-elle à votre besoin informationnel défini au départ lors de votre préparation? Bien... mais est-elle de qualité? Utilisez les critères suivants pour vous aider dans votre évaluation. La fiabilité de la source Éditeur Public cible La réputation de l'auteur Information biographique Expertise sur le sujet Cité ou non par d'autres auteurs L'objectivité de l'information Intention de l'auteur Langage nuancé L'information se compare à celle trouvée dans d'autres sources Points de vue variés L'exactitude de l'information Références et bibliographie Indices pouvant semer un doute quant à la qualité du document L'actualité de l'information Information à jour Cet Aide mémoire vous permettra de retourner rapidement aux questions mentionnées.

Covid-19 : une première étude sérologique en France et déjà beaucoup d’enseignements Fin mars 2020, 661 personnes reliées à un lycée de Crépy-en-Valois (Oise) ont fait l'objet d'une investigation épidémiologique menée par les chercheurs de l’Institut Pasteur avec le soutien de l'Agence régionale de la santé des Hauts-de-France et de l'Académie d'Amiens, avec l’appui de l’Etablissement Français du Sang. Grâce à la population de Crépy-en-Valois, et suite à l’utilisation de tests de détection du virus, associés à trois tests sérologiques développés par l’Institut Pasteur, cette étude révèle que 26% de la population étudiée a été infectée par le SARS-CoV-2 et possède des anticorps contre ce virus. Plus précisément, parmi les personnes fréquentant le lycée, 41% ont été infectées, alors que parmi leurs proches, le pourcentage est de 11%. Ces résultats sont publiés sur MedRxiv. Le taux d’attaque de l’infection dans cette communauté est estimé à 25,9%.Plus précisément, parmi les personnes ayant fréquenté le lycée, le taux d’attaque est de 41%. Point presse du 24 avril 2020

Bien s’informer sur le COVID-19 Durant la période de confinement et de continuité pédagogique, il est important de vérifier les informations : on voit de nombreuses rumeurs ou intox circuler autour du virus et de la situation sanitaire. Voici quelques ressources afin de mieux décrypter l’actualité, ainsi que des sites pour mieux adopter un regard critique sur les fake news. Des sites pour mieux s’informer sur le virus Le monde : guide pour distinguer les vraies rumeurs des vrais conseils Ptit Libé : dernières nouvelles 1jour1actu :actualités sur le coronavirus pour les collégiens PlayBac Press, L’ACTU : articles sur le Coronavirus Académie Strasbourg : les sites fiables le virus Exposition Cité des Sciences : ce que sait la science sur le COVID LUMNI : Dossier Coronavirus. FRANCE INTER, des sources fiables sur COVID-19 Les fausses-infos que nous avons vu passer sur le net La 5G serait responsable du coronavirus Il faut congeler son pain La chloroquine interdite par un arrêté de janvier L’institut Pasteur a inventé le coronavirus

Cette vidéo de porcs enterrés vivants est-elle liée au coronavirus ? Question posée sur Twitter le 04/02/2020 Bonjour, Votre question fait référence à une vidéo, diffusée par plusieurs comptes Twitter. On y voit des centaines de cochons être transportés dans des camions puis d’autres poussés dans des fosses par des pelleteuses. Les commentaires qui les accompagnent indiquent généralement que les images seraient tournées en Chine, et que les animaux sont abattus pour combattre le coronavirus. En fait, on retrouve la trace de cette vidéo depuis au moins de janvier 2019, soit près d’un an avant le début de l’épidémie du nouveau coronavirus (2019-nCoV) en Chine, en décembre 2019. Alors à quoi correspond la vidéo en question ? Comme l’explique le média spécialisé américain Farm Journal’s, les deux virus sont très différents. Cordialement Service Checknews

Les “bulles de filtres” : est-ce vraiment la faute d'Internet ? L’expression “bulles de filtres” est devenue assez familière en 2016, après l’élection de Donald Trump, pour désigner la manière particulière dont l’information se diffuse dans les réseaux sociaux. On sait que sur Facebook, Twitter ou autre, l’information qui nous arrive est sélectionnée et hiérarchisée par des programmes informatiques qui nous donnent à voir ce qui est censé nous intéresser le plus, en fonction des contenus que nous partageons le plus, ou sur lesquels nous cliquons. Cela crée nécessairement un biais. Quelques années plus tôt, un activiste américain du nom d’Elie Pariser a donné un nom à ce biais - les “bulles de filtres” - en expliquant que les algorithmes qui triaient et hiérarchisaient l’information nous enfermaient dans des bulles qui nous empêchaient de voir d’autres opinions que celles que l’on partageait déjà. Depuis quelques mois, des travaux viennent nuancer l’évidence de ces explications Trois leçons à en tirer.

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