
Pearl Harbor Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue aérienne de Pearl Harbor Pearl Harbor est une baie peu profonde située sur l'île d'Oahu, dans l'État américain d'Hawaï, à l'ouest d'Honolulu. Pearl Harbor était alors considérée comme la résidence de la déesse requin Ka'ahupahau, et de son frère Kahi'uka. Depuis la fin du XIXe siècle, elle abrite une base navale des États-Unis, la Base navale de Pearl Harbor, et le quartier général de la flotte du Pacifique des États-Unis d'une superficie, en 2013, de 5 304 hectares. Toponymie[modifier | modifier le code] En anglais, Pearl Harbor signifie « Port de la perle ». soit « Wai Momi » ce qui signifie « eau à perle », en raison de l'activité perlière des autochtones ;soit « Pu'uloa » c'est-à-dire « longue colline ». Histoire[modifier | modifier le code] Le port était principalement utilisé pour la production d'huîtres perlières jusqu'à la fin du XIXe siècle. Attaque de Pearl Harbor[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code]
Le procès de Nuremberg : les accusés, le verdict et son rapport à la Shoah Dernière modification de cette page : 03/03/2012 09:02:47 Nuremberg's trial : defendants, verdict and links with the holocaust Les accusés : Premier rang, de gauche à droite : Hermann Göring , Rudolf Hess , Joachim von Ribbentrop , Wilhelm Keitel , Ernst Kaltenbrunner , Alfred Rosenberg , Hans Frank , Wilhelm Frick , Julius Streicher , Walther Funk , Hjalmar Schacht . Il s'agit d'un procès organisé par les vainqueurs de l'Allemagne nazie, du 20 novembre 1945 au 10 octobre 1946. Voir aussi : la création du Tribunal de Nuremberg , La définition du crime contre l'humanité le témoignage de Marie-Claude Vaillant-Couturier au procès (sur le site de Michel Fingerhut) ou sur ce site. et ma page : Ce qu'ils sont devenus : le sort de plusieurs centaines de criminels nazis et de quelques complices Le recueil des actes du procès, version française, avec le logo du tribunal Bibliographie : François de Fontette, Le procès de Nuremberg, Que-sais-je ?
Procès des ministères Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Procès des ministères (officiellement : The United States of America vs. Ernst von Weizsäcker, et al.) est le onzième des douze procès pour crimes de guerre que les autorités américaines ont organisés dans leur zone d'occupation en Allemagne à Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale. Ce procès est également appelé Procès de la Wilhelmstraße, car le ministère des affaires étrangères allemand – auquel appartenait nombre des accusés – était situé dans cette rue à Berlin. Les juges à ce procès, membres du 4e tribunal militaire de l'armée américaine, étaient William C. Sur les 21 accusés traduits devant ce tribunal, deux furent acquittés et tous les autres jugés coupables pour au moins un des chefs d'accusation. Chefs d'accusation[modifier | modifier le code] Banc des accusés au procès des ministères. Huit chefs d'accusation ont été retenus : Tous les accusés plaidèrent non coupable des accusations portées contre eux.
Adèle Sutre : « La pluralité des mondes tsiganes se traduit dans la diversité de leurs rapports à l’espace » Manouches, bohémiens, gitans, roms, tsiganes et autres gypsies, les termes ne manquent pas pour désigner ces populations perçues comme marginales mais qui, depuis des siècles, marquent de leur empreinte le fonctionnement des sociétés. Dans son dernier ouvrage Géopolitique des tsiganes. Des façons d’être au monde entre circulations et ancrages (Le Cavalier Bleu, 2021), Adèle Sutre, agrégée et docteure en géographie, s’attache à déconstruire les stéréotypes et à interroger la réalité contemporaine de populations hâtivement définies comme « sans histoire ». L’occasion pour nous de revenir avec la chercheuse sur le fonctionnement social de ces sociétés tsiganes, mais aussi sur leur place au sein d’un monde désormais sédentaire. Tout le monde connaît le terme « Tsigane » mais peu de gens savent le définir clairement. Le terme « Tsigane » est une dénomination appliquée à un ensemble de populations d’une grande diversité. Géopolitique des Tsiganes. Adèle Sutre Le Cavalier Bleu éditions
Opération Barbarossa Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’opération Barbarossa (en allemand : Unternehmen Barbarossa), nommée en référence à l'empereur Frédéric Barberousse, est le nom de code désignant l'invasion par le IIIe Reich de l'Union des républiques socialistes soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale. Le 23 août 1939, l’Allemagne nazie et l’Union soviétique signent un traité de non-agression et de partage de l'Est de l'Europe. Cependant, le 21 juillet 1940, moins d’un an après, Hitler demande à son état-major de préparer un plan d’invasion de l’Union soviétique. C'est la plus grande invasion de l'histoire militaire de par le nombre de soldats mobilisés et de pertes[6]. Ce sont près de quatre millions de soldats de l'Axe qui pénètrent en Union soviétique. La Wehrmacht possède une supériorité initiale considérable en hommes (de deux contre un au minimum) et en équipements. Situation politique et diplomatique[modifier | modifier le code] Montée de tensions[modifier | modifier le code]
Le procès de Nuremberg Contexte historique Le procès de Nuremberg Intenté par les forces alliées contre vingt-quatre hauts responsables nazis, le procès de Nuremberg se tient du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946. Il est placé sous l’autorité du Tribunal militaire international instauré par les accords de Londres du 8 août 1945 et composé de quatre juges, quatre procureurs et quatre assesseurs soviétiques, français, américains et britanniques. Pendant plus de dix mois, les accusés comparaissent pour complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Analyse de l'image Les accusés au procès Vue restreinte de l’ensemble du banc des accusés, l’image est structurée en trois plans horizontaux. A l’arrière plan, trois militaires du Tribunal international (reconnaissables à leurs casques blancs et uniformes) surveillent, debout, les accusés qui figurent au centre de l’image. Au centre, et comme encadrés par les deux autres ensembles, on reconnaît certains des vingt-quatre accusés.
Herbert Backe Herbert Backe, né le 1er mai 1896, est un homme politique allemand, secrétaire d'État à l'agriculture de 1933 à 1942, puis ministre de l'alimentation de 1942 à la dissolution du gouvernement de Flensburg le 23 mai 1945. Il est considéré comme l'un des auteurs du « plan de famine »[1]. Capturé par les alliés à la fin de la guerre, il se suicide le 6 avril 1947 en se pendant dans sa cellule à Nuremberg. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Au sein du NSDAP[modifier | modifier le code] Il adhère au NSDAP en 1922, mais s'engage véritablement en politique en 1931. Proche collaborateur de Darré[3], il est élu au Landtag de Prusse lors des élections de 1932. Durant les années 1930, il lui arrive d'avoir une activité éditoriale. Responsabilités gouvernementales[modifier | modifier le code] Il occupe d'importantes responsabilités sous le Troisième Reich ; il compte parmi les rares ministres membres du NSDAP en 1933[6]. Notes[modifier | modifier le code]
Circulations tsiganes en Europe, entre surveillance et répression (1860-1950) (Les) La présence de populations identifiées comme « tsiganes » est attestée à travers toute l’Europe depuis au moins le xve siècle. Une riche documentation archivistique témoigne non seulement de leur existence, mais aussi de leur forte intégration à la vie sociale, économique et culturelle des régions où elles sont implantées. Les études historiques et anthropologiques mettent en lumière la grande diversité des groupes réunis sous un même terme qui varie selon les lieux et les époques : égyptiens sous l’Ancien Régime puis bohémiens, tsiganes ou romanichels. Ces groupes se caractérisent par une pluralité de manières d’être et de faire, qu’il s’agisse des logiques de mobilité et d’ancrage spatial, des activités économiques pratiquées ou des modalités d’appartenance. Au-delà de cette diversité, il reste que la catégorie « tsigane » s’appuie sur des éléments partagés, notamment un socle linguistique commun et des trajectoires historiques différenciées mais croisées.
Drôle de guerre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La « drôle de guerre » (en anglais phoney war, « fausse guerre » ; en allemand Sitzkrieg, « guerre assise » ; en polonais dziwna wojna, « guerre étonnante ») est le nom donné à la période du début de la Seconde Guerre mondiale qui se situe entre la déclaration de guerre par la France et le Royaume-Uni (les Alliés) à l'Allemagne nazie le 3 septembre 1939 et l'offensive allemande du 10 mai 1940 sur le théâtre européen du conflit. Cette période se caractérise par : Elle reçut ce surnom du journaliste Roland Dorgelès reprenant une expression utilisée dans un reportage sur les armées franco-britanniques. Déroulement[modifier | modifier le code] Manifestation de joie devant l'ambassade britannique à Varsovie à l'annonce de la déclaration de guerre à l'Allemagne nazie. L’Europe au 1er septembre 1939 Territoires contrôlés par les belligérants au 10 mai 1940. Sans oublier la chaîne « Air » distincte. Liens externes[modifier | modifier le code]
Bonjour, ceci pourrait également vous intéresser : PUBLICATIONS 2008
A-M Begué-Simon : (Publication collective sous la direction )
"Corps Soignant, corps soigné; vers une refonte de l’éthique? Le procès des grands criminels de guerre et le procès des médecins à Nuremberg. Questions pédagogiques posées par ces évènements." publications du Docteur AM BEGUE SIMON sur le site de l'association Universel Singulier by princess_mallika Mar 18
Nous avons ici la page wikipédia sur le procés de Nuremberg. On y trouve plusieurs informations sur ce procès: le déroulement, le contexte historique.... by cpl_fizard Mar 17
Cette page Wikipédia nous est utile car elle comporte le procès détaillé de Nuremberg. by cpl_eblanchoz Mar 12