background preloader

Indice de la puissance globale 2018 - revue Conflits

Indice de la puissance globale 2018 - revue Conflits
Carte réalisée pour le numéro 17 de la revue Conflits pour son dossier “L’indice de la puissance globale“. Extraits de la méthodologie, ci-dessous : Pourquoi 37 pays ? Effectuer nos calculs sur tous les pays de la planète aurait été fastidieux et arbitraire. Fastidieux à cause du temps que cela aurait réclamé. Arbitraire parce que nous ne disposons pas de statistiques fiables sur beaucoup d’entre eux. Que notre choix soit pertinent est confirmé par deux chiffres simples : nos 37 pays (sur les 193 pays membres de l’ONU) couvrent 62% des terres émergées (y compris l’Antarctique) et rassemblent 72% de la population mondiale. Catégories et indicateurs de l’indice La catégorie 1 synthétise les indicateurs suivants : superficie, domaine maritime, situation géographique, terres arables, ressources renouvelables en eau douce, ressources en hydrocarbures, population, croissance démographique (2011-2016), emplois, espérance de vie en bonne santé, qualité de la ressource humaine. Les résultats

https://mindthemap.fr/indice-de-la-puissance-globale-2018/

Related:  1re HGGSP Theme 3 PuissancesTravail conclusif - Les Etats-UnisIntroductionThème 2 ANALYSER LES DYNAMIQUES DES PUISSANCES

Joseph Nye: «Je crains davantage Trump que la Chine» Il est considéré comme l’un des penseurs et théoriciens des relations internationales les plus influents de la planète. La semaine dernière, Joseph Nye, ex-directeur de la prestigieuse Kennedy School of Government de Harvard, était l’invité de l’Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID), au sein duquel il enseigna de 1968 à 1969. Ayant officié au sein de l’administration Carter et Clinton, il reste surtout connu pour avoir inventé le concept de soft power, cette capacité à influencer le comportement des autres par la persuasion et non par la coercition et la force militaire. Il a reçu «Le Temps» peu avant sa conférence.

Les nouvelles formes de la puissance. P. Buhler, T. Garcin, I. Sand sur Diploweb Cette vidéo peut facilement être diffusée en classe ou en amphi pour illustrer un cours ou un débat. Résumé par Joséphine Boucher pour Diploweb.com Voici une riche réflexion au sujet de la puissance et de ses nouvelles formes. Les interventions suivantes ont pour but de mêler des expertises autour d’un concept au coeur des relations internationales. Il s’agit de s’intéresser à sa nature, à ses fondamentaux comme à ses nouvelles formes et acteurs et à ses nouveaux champs de manifestation, autant matériels qu’immatériels. La première intervention - I.

Le sharp power : usage d'informations trompeuses à des fins hostiles Oubliez l’opposition soft power versus hard power, désormais démodée. Voici venue l'époque du sharp power. Oui, Bref rappel des épisodes précédents pour les élèves dissipés qui avaient mal suivi. En 1991, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, Joseph Nye, futur Secrétaire adjoint à la Défense de Bill Clinton, lance l’expression de « soft power ». "Un cyber Pearl Harbor ou un cyber Tchernobyl sont probablement inéluctables" L’ambiance n’était pas à la rigolade au dernier Forum international de la cybersécurité (FIC) de Lille les 22 et 23 janvier. Au programme de cette 11e édition, les 10 000 visiteurs pouvaient assister à des ateliers et conférences aux titres éloquents : “Comment se préparer à un cyber désastre ?”, “Comment empêcher un ‘cyber Pearl Harbor’ ?”. Car le constat est implacable : nos sociétés ultra connectées vont l'être toujours plus à mesure que l'Internet des objets continue de se déployer (véhicules autonomes, e-santé, 5G...), multipliant les possibilités d'intrusion.

Comprendre l’accord sur le nucléaire iranien en 7 questions Alors que Donald Trump a annoncé, mercredi 8 mai, que les Etats-Unis se retiraient de l’accord sur le nucléaire iranien, nous republions cet article initialement publié en juillet 2015. Un « épouvantable accord », « le pire accord jamais signé par les Etats-Unis »… Le président américain, Donald Trump, n’a jamais mâché pas ses mots – c’est rarement le cas – contre l’accord sur le nucléaire iranien, signé en 2015 entre Téhéran et les grandes puissances de la communauté internationale. Le président américain assure, sans donner de preuve ni cibler un point en particulier, que l’Iran ne respecte pas ses engagements – contre l’avis même de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui a assuré le contraire en juin 2017. Il a mis sa parole à exécution, mercredi 8 mai, en annonçant le retrait des Etats-Unis de cet accord et le rétablissement de sanctions économiques contre l’Iran. Cet accord historique avait été trouvé après douze années d’âpres négociations.

Soft Power Chinois et Qatari Ce matin on mêle bébé Panda et Neymar... Le point commun n'est pas la France, contrairement à ce qu'on pourrait assez justement imaginer... mais le "soft power". Le soft power, c'est l'influence qu'exerce un pays par d'autres moyens que les armes, qui sont donc le hard power. D'autres moyens qui vont du rayonnement culturel au nombre d'étudiants étrangers, du réseau diplomatique à... Paris ! Chine, le nouveau maître du monde ? - Vidéo Géographie Pour mettre la main sur les terres agricoles dont elle a besoin pour nourrir sa croissance démographique (stabilisée à 0,5 % en 2016) et économique (6,9 % en 2017), la Chine multiplie les achats de terres dans le monde entier, en particulier en Afrique et en Europe. Pour étendre son influence, elle développe ses investissements sur les cinq continents. La Chine investit aussi dans les terres rares, ces nouvelles matières premières qui permettent notamment de fabriquer les smartphones et tablettes. Son objectif, asseoir son quasi-monopole dans le secteur. Dans le même temps, son régime politique n'a jamais paru aussi stable.

"Avenue de l'Europe". Mondialisation : s’ouvrir sans périr ! - France 3 - 27 février 2019 - En replay L’Union européenne est aujourd’hui la troisième puissance commerciale du monde et échange chaque année l’équivalent de 3 454 milliards d’euros de biens, principalement avec les Etats-Unis et la Chine. Les Européens profitent de la mondialisation. Pourquoi n’en ont-ils pas le sentiment ? Quelles armes possèdent-ils contre les attaques commerciales de Donald Trump ou des dirigeants chinois ? Peuvent-ils arrêter de se livrer entre eux une concurrence fratricide ?

Doctrine Obama: pourquoi la Libye et pas la Syrie Les experts en diplomatie ont du grain à moudre ce matin. Le discours présidentiel d'hier soir sur la Libye a posé les fondements de ce que beaucoup appellent désormais la "doctrine Obama". Pour résumer à gros traits, la "doctrine" porte sur les circonstances dans lesquelles les Etats-Unis peuvent recourir à la force. Dans le cas où les Etats-Unis sont menacés, le président se réserve le droit d'agir de manière unilatérale. Pour ce qui concerne les interventions humanitaires, Barack Obama estime que les Etats-Unis doivent y participer, même lorsque leur intérêt national n'est pas en jeu comme en Libye, ne serait-ce que pour des raisons morales.

Qatar : soft power, hard power, smart power 2008-2014 LE QATAR fait partie des nouveaux acteurs étatiques dynamiques qui bénéficient du processus de globalisation et du basculement du monde vers l’Asie, notamment depuis la crise financière de 2008. Dans le cas spécifique de l’émirat à la perle, cela s’inscrit dans un contexte de forte hausse de son PIB suite à l’augmentation des prix des hydrocarbures durant la décennie 2000 et à ses investissements dans des infrastructures de production de gaz naturel liquéfié. Le basculement récent du Qatar dans une « diplomatie d’engagement » tranche cependant avec sa traditionnelle diplomatie « de niche » des années 1990 et 2000.

Related: