background preloader

L'Open Data à la Loupe

L'Open Data à la Loupe

http://www.youtube.com/watch?v=aHxv_2BMJfw

Related:  DATAOpen AccessDonnéesOpen Data | Data vizEMI-Maths

L'open data : fiche synthétique - Savoirs CDI La réutilisation des informations publiques, souvent nommée par commodité open data, est devenue une des thématiques très porteuses : Dans le secteur public, sujet de la règlementation à respecter ;Dans le secteur privé où les initiatives se multiplient pour imaginer des produits et services innovants développés à partir de la réutilisation desdites informations publiques. Ainsi apparaissent de plus en plus des « jeux de données » disponibles en ligne et récupérables par toute personne. Ce qui dit la loi

Les enjeux épistémologiques des humanités numériques Des DOI sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions qui sont abonnées à un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lequelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible aux institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : contact@openedition.org Bartscherer, Thomas et Coover, Roderick (dir.), 2011, Switching Codes: Thinking Through Digital Technology in the Humanities and the Arts, Chicago, University of Chicago Press.DOI : 10.7208/chicago/9780226038322.001.0001 Bassez, Danielle, 2006, Écrits dans les marges : de la pratique du gribouillage comme art gourmand de la lecture, Le Chambon-sur-Lignon, Cheyne. Berry, David M. Gold, Matthew K.

Les données structurées et leur traitement — SNT Les données structurées et leur traitement Déroulement Les durées indiquées ci-dessous sont les durées prévues ; cela ne s'est absolument pas passé comme cela : voir plus bas. L’open data L’ouverture des données peut être une activité de grande valeur pour toutes les organisations. Que ce soit pour générer de l'innovation dans une entreprise, développer une image plus claire des opérations ou améliorer les produits et services, un nombre important d'organisations du secteur privé et public bénéficie maintenant de la publication et de l'utilisation de données ouvertes. Cependant l’ouverture des données peut exiger un changement dans la culture d'une organisation. La plupart des organisations est configurée pour protéger leurs ressources de données, même si les avantages de l'ouverture l'emportent sur les frais associés. La solution pour surmonter cette résistance est évidente, une communication efficace des avantages que les données ouvertes peuvent apporter et apportent. Ce module vous préparera à effectuer un pitch sur mesure pour les données ouvertes qui met l’accent sur la valeur et répond aux risques.

L’open data L’ouverture des données peut être une activité de grande valeur pour toutes les organisations. Que ce soit pour générer de l'innovation dans une entreprise, développer une image plus claire des opérations ou améliorer les produits et services, un nombre important d'organisations du secteur privé et public bénéficie maintenant de la publication et de l'utilisation de données ouvertes. Cependant l’ouverture des données peut exiger un changement dans la culture d'une organisation. La plupart des organisations est configurée pour protéger leurs ressources de données, même si les avantages de l'ouverture l'emportent sur les frais associés. La solution pour surmonter cette résistance est évidente, une communication efficace des avantages que les données ouvertes peuvent apporter et apportent.

Data Journalisme ou Journalisme de Données - Guide Presse : toute la presse en ligne Got it! Ce site utilise des cookies pour vous assurer une meilleure expérience Cookie Consent plugin for the EU cookie law Accueil > Data Journalisme ou Journalisme de Données Les publications à l'heure de la science ouverte (COMETS) Le COMETS publie un nouvel Avis « Les publications à l’heure de la science ouverte » (n°2019-40), approuvé initialement le 8 novembre 2019, définitivement le 14 janvier 2020. Accéder à l’avis RÉSUMÉ – L’ouverture des publications scientifiques laisse entrevoir des perspectives neuves très stimulantes parce qu’elles offrent un accès universel, pour tous, depuis n’importe quel lieu, et à n’importe quel moment, à l’intégralité du savoir humain. Cet avis en décrit les différentes modalités et en examine les conséquences, éventuellement perverses. En effet, si de plus en plus de revues en accès ouvert pratiquent une évaluation par les pairs (peer review), elles se distinguent par le mode de financement des frais occasionnés par la publication. La plupart du temps, ceux-ci donnent lieu au paiement d’« APC » (Article Processing Charges) soit par les chercheurs-auteurs, soit par les organismes dont ils dépendent.

L’open data : comment utiliser cette ressource en classe ? Les données publiques et privées deviennent de plus en plus disponibles ( ouvertes ) mais il s’agit de données dites brutes et qui déversées en masse sur des citoyens peu avertis peuvent être ressenties comme inutiles, angoissantes voire même méprisantes. Le risque existe d’être submergé par un flot de données plutôt que de surfer sur la vague qu’elles constituent. Il est pourtant incontestable que ces données sont une formidable ressource et se posent naturellement les questions : que peut-on en faire dans une classe ? quelles sont les compétences que leur utilisation permet de développer chez les élèves ? Dans son préambule, Madame Armelle Gilliard, Chef de projet des services numériques à la communauté urbaine de Bordeaux a apporté des précisions sur la notion de données.

Une corrélation trouvée entre les ventes d’aliments bio et l’autisme (et ce que ça veut dire) Corrélation n’est pas causalité (voir vidéo rigolote de 5 min. à voir ici). Chaque fois que je m’endors avec mes chaussures, je me réveille avec un mal de crâne carabiné. Dois-je en conclure que dormir avec ses chaussures donne mal à la tête?

Les data, comment s'en emparer pour le « bien commun » - CLEMI Data et biens communs Avec les technologies numériques, les connaissances, les savoirs et les ressources peuvent être diffusés et copiés rapidement. Les municipalités, les institutions, les gouvernements mettent à dispo­sition des données publiques (« open data ») pour permettre : une modernisation des services publics en utilisant le numérique, l'émergence de nouveaux services et de créer de la richesse par le développement de l'économie numérique,l'amélioration de la connaissance et de la visibilité d'un terri­toire par le recoupement des données produites par les différents acteurs de ce territoire afin de le valoriser,l'accès à des sources d'informations fiables pour les journalistes, les chercheurs, les étudiants et tous les citoyens dans une pers­pective démocratique. www.data.gouv.fr/fr

La science ouverte Les résultats de recherche sont classiquement diffusés sous la forme d'articles publiés dans des revues scientifiques pour la plupart payantes. Ainsi, il faut bien trop souvent payer pour y accéder, quand bien même les travaux qui ont permis de les obtenir ont été financées par des fonds publics. C'est ce modèle que la science ouverte propose de changer. En permettant un accès sans entrave aux résultats de la recherche scientifique, la science ouverte a pour ambition de : démocratiser l’accès aux savoirs augmenter l’efficacité de la recherche, en permettant que les données soient faciles à trouver, accessibles, interopérables et réutilisables (principes FAIR) améliorer la qualité des recherches au travers d’une science plus cumulative, plus fortement étayée par des données et plus transparente Ainsi, la science ouverte favorise les avancées scientifiques, l’innovation et les progrès, mais aussi la confiance des citoyens dans la science.

Air France : pourquoi il faut se méfier des graphiques #AirFrance : les chiffres qui parlent LePoint (@Le Point) Ce n’est qu’une petite série de graphiques, mais elle a eu son petit succès : l’hebdomaire Le Point a publié, en marge d’un article consacré aux « avantages » des personnels d’Air France, une série de quatre histogrammes appuyant le propos. Pilotes mieux payés en fin de carrière, heures de vol moins élevées pour un commandant que chez la concurrence, recours à un troisième pilote plus tôt que les autres compagnies, hôtesses qui font moins d’heures de vol par an que celles des compagnies « low cost »... Autant d’éléments illustrés par des barres de couleur incarnant ces différences. Quitte parfois à les exagérer très très fortement à l’aide d’artifices graphiques.

Related: