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Tim Berners-Lee, le génie inventeur du web

Ce 12 mars 2019, le web fêtait ses 30 ans. Derrière cette révolution technologique, un homme discret : Tim Berners-Lee. Fondateur de la toile, il navigue dans l'informatique bien avant de savoir coder. Fils de mathématiciens et ingénieurs informatiques - ses parents travaillent avec les tout premiers ordinateurs, Tim Berners-Lee est au collège à Londres lorsqu'il en fabrique un à partir d’un vieux téléviseur. Diplômé de l’université d’Oxford en physique, il signe à 30 ans pour une mission de six mois au Conseil européen pour la recherche nucléaire (CERN), qui durera dix ans. Sa mission initiale : créer une base de données pour les chercheurs. L’idée est de faciliter l’accès à l’information pour les chercheurs du CERN grâce à des liens hypertextes et des ordinateurs connectés entre eux. Le nom initial du web dans son mémo était “The Information Mesh”, mais Tim Berners-Lee le juge finalement trop complexe et trouve l’acronyme, “TIM” - son prénom - "trop narcissique”.

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Il y a 30 ans, l'invention du web sans tambour ni trompette Inventé en 1989 par un informaticien britannique qui travaillait pour le CERN près de Genève, le "world wide web" est passé inaperçu à ses débuts. Son créateur, le Britannique Tim Berners-Lee, avait été recruté afin de mettre au point une base de données pour les physiciens du Conseil européen pour la recherche nucléaire (CERN) mais il est allé bien au delà. En voulant permettre à des milliers de scientifiques d’échanger leurs connaissances à distance, il a créé un espace commun où les personnes et les machines se comprenaient : le web était né.

Tim Berners-Lee - Informaticien Tim Berners-Lee est diplômé du Queen's College de l'Université d'Oxford, Angleterre, où il a obtenu en 1976 une maîtrise de physique mention très bien. Il passe deux ans chez Plessey Telecommunications Ltd, l'un des principaux fabricants d'équipements de télécommunication de Grande-Bretagne, et y travaille sur les systèmes de transactions distribués, les relais de messages et la technologie des codes à barres. En 1978, il quitte Plessey pour rejoindre D.G Nash Ltd, où il développe, entre autres, un logiciel de typographie pour imprimantes intelligentes, un système d'exploitation multitâche et un système d'extension de macros générique. Il travaille un an et demi en tant que consultant indépendant, dont six mois comme ingénieur logiciel consultant au CERN, le Centre Européen pour la Recherche Nucléaire à Genève. Pendant cette période, il développe pour son propre usage un premier programme de stockage des informations, en y incluant des associations aléatoires.

Formation à la reconnaissance faciale sur certains nouveaux amis à fourrure: les ours Ed Miller et Mary Nguyen sont des développeurs de logiciels de la Silicon Valley de jour, mais au clair de lune pour résoudre un problème inhabituellement flou. Il y a quelques années, le couple a été hypnotisé, comme beaucoup d’entre nous, par un Alaska webcam diffusion d’ours bruns du parc national de Katmai. Ils cherchaient également un projet pour perfectionner leur expertise en apprentissage automatique. Arpanet, l'ancêtre d'internet, a 50 ans Le 29 octobre 1969, il y a maintenant 50 ans, le réseau Arpanet effectuait sa première communication. Les trois dernières lettres de ce premier message, le simple mot "login", mettent plusieurs heures avant de parvenir à destination mais qu'importe, le Advanced Research Projects Agency Network, ou ARPAnet, a rempli sa première mission : des paquets de donnée ont transité avec succès entre l'université de Californie à Los Angeles (UCLA) et l'Institut de recherche de Stanford. L'ancêtre d'internet (qui n'est donc pas le minitel) est né ! Et il s'agit d'une collaboration entre militaires et universitaires.

Avez-vous une idée de l'empreinte carbone qui se cache derrière un algorithme de "deep learning" ? (ETX Studio) - Des étudiants danois en informatique ont conçu un logiciel capable de déterminer la quantité de Co2 et la consommation énergétique générées par la création d'un algorithme de type "deep learning". Selon leurs estimations, les appareils destinés à entraîner un algorithme d'apprentissage approfondi peuvent entraîner une consommation d'énergie aux proportions inquiétantes d'un point de vue environnemental. Visionner un film sur Netflix suggéré par la plateforme selon vos propres goûts, demander un service à un assistant vocal, "discuter" via le chatbot d'un site e-commerce.

Les pionniers du web : aux origines du premier site internet français - popsciences.universite-lyon Bibliothèque de stockage à bandes magnétiques du Centre de calcul de l’Institut de physique nucléaire et de physique des particules (CC-IN2P3). © Cyril Fresillon/CC-IN2P3/CNRS Photothèque Il y a 30 ans, à quelques kilomètres de Genève (Suisse), au CERN, naissaient les bases du Web, une technologie de partage d’informations permettant de naviguer de contenu en contenu. En France, ce sont deux ingénieurs du CNRS, Wojciech Wojcik et Daniel Charnay, travaillant au Centre de calcul de l’IN2P3 (CC-IN2P3) à Lyon, qui montèrent le premier serveur, et donc la première page web. Paul Otlet, l’homme qui inventa le « Google de papier » Fils d’un industriel dont la fortune s’est construite dans le domaine des transports, Paul Otlet naît à Bruxelles en 1868. Après des études de droit, il entre au cabinet d’Edmond Picard, où il participe à la rédaction des Pandectes belges, un répertoire général de la jurisprudence en vigueur en Belgique. C’est à cette époque qu’il rencontre Henri Lafontaine, homme politique socialiste dont l’action menée au sein du Bureau International de la Paix le conduira jusqu’au prix Nobel de la paix en 1913. Aux côtés de Lafontaine, Paul Otlet se lance dans une entreprise bibliographique sans précédent qui ne cessera de l’occuper jusqu’à la fin de sa vie. Ensemble, ils créent en 1895 l’Office International de Bibliographie à Bruxelles, avec pour ambition de cataloguer toutes les publications existantes à travers le monde.

Visual Studio Code 1.51 améliore l'interface de ses composants Même si cette dernière édition est plutôt considérée comme une mise à jour d'entretien, elle apporte des améliorations de navigation à la fois au niveau de l'interface des composants et du terminal. Bien que présentée comme une version de maintenance, la mise à jour de l’éditeur de code open source Visual Studio Code 1.51 livrée la semaine dernière par Microsoft, s’enrichit néanmoins de fonctionnalités de terminal et de workbench. Ce dernier comporte désormais des onglets épinglés plus visibles, qui affichent leur icône même lorsqu'ils sont inactifs, ce qui les rend plus faciles à identifier. Si un éditeur est épinglé et contient des modifications non sauvegardées, l'icône reflète les deux états.

Jean-Michel Salaün Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Michel Salaün, né en 1951 en France, est professeur en Sciences de l'information et de la communication. Il est diplômé de 3e cycle en information et communication de l'université de Grenoble[1]. Il a été professeur à l'enssib puis directeur de l'EBSI de Montréal avant d'être élu professeur à l'École normale supérieure de Lyon. Nommé parmi les personnalités du monde de l’Infodoc (2007)[2], il s’intéresse aux acteurs du monde documentaire et à la dynamique professionnelle du domaine des sciences de l’information [3]. Il revisite les fondements du marketing mix pour fournir aux bibliothèques et centres de documentation des méthodes de gestion des activités de services d’information[4].

Le Conseil d'État valide Alicem, l'application de reconnaissance faciale du gouvernement La question de l’identité numérique est un sujet fondamental pour le processus de transformation digitale de nos sociétés. La sécurité juridique et technique en dépend. C’est de la validation de l’application gouvernementale ALICEM dont il était question devant le Conseil d’État dans sa décision du 4 novembre 2020. De quoi s’agit-il ?

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