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Ils Dénoncent « La Mascarade » Des Start-Up Et Proposent Un Nouveau Modèle

Dans leur ouvrage, « Startup arrêtons la mascarade, contribuer vraiment à l’économie de demain » (Dunod), Nicolas Menet et Benjamin Zimmer, deux chercheurs-entrepreneurs remettent en cause le fonctionnement actuel de l’écosystème et les motivations qui poussent les entrepreneurs à se lancer dans l’aventure start-up. Après la critique, ils proposent un nouveau modèle économique et de société, centré sur l’intelligence collective, afin de créer, vraiment, un monde meilleur. Alors que 62% des jeunes rêvent de devenir entrepreneur, alors que le Président de la République rêve de construire une « start-up nation », alors que Xavier Niel a bâti avec Station F « le plus grand campus de start-up au monde », et que le montant des levées de fonds ne cesse de croître, deux chercheurs-entrepreneurs critiquent le modèle actuel proposé par l’écosystème. Le prisme de l’argent vs celui de l’utilité « Il faudrait que l’Etat fixe des objectifs de société. Tout le monde n’est pas entrepreneur Mythe du cool

https://www.forbes.fr/entrepreneurs/ils-denoncent-la-mascarade-des-start-up-et-proposent-un-nouveau-modele/

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Économie de la fonctionnalité : demain, le maraîcher ne vendra Nous sommes en 2050. À cet horizon, le maraîcher ne tire plus ses bénéfices de la vente de ses produits mais des solutions intégrées qu’il aura mises en place autour d’une alimentation durable avec d'autres maraîchers, des collectivités, des unités de transformation, des chercheurs.... Ses revenus proviennent ainsi des gains de performance obtenus sur la réduction du gaspillage alimentaire dans les cantines, la lutte contre l’obésité ou encore la réduction des pollutions des sols. Et ce sont les bénéficiaires de ces effets positifs (citoyens, industriels, collectivités, …) qui participent au financement. C’est ce qu’on appelle l’économie de la fonctionnalité et de la coopération (EFC).

En quoi Fillon et Hamon ont tous deux en partie raison… et globalement tort On peut voir se structurer, dans la campagne présidentielle, deux visions opposées des remèdes à apporter aux problèmes économiques et sociaux du pays. L’une propose de redresser le pays en soutenant les entreprises, en allégeant leurs charges et en les libérant de leurs entraves, en transférant sur la fiscalité (TVA) des charges pesant sur le travail, en limitant les dépenses publiques (réduction du nombre de fonctionnaires, suppression des emplois aidés, etc.) et en flexibilisant les marchés du travail. Nous l’appellerons la vision Fillon. Son hypothèse est que ces mesures vigoureuses relanceront la croissance, l’emploi et réduiront les déficits publics. L’autre propose une réappropriation du travail par les salariés, en leur donnant meilleure voix au chapitre, en les formant, et en promouvant une économie dans lesquelles la gouvernance est fondée sur le principe un homme, une voix, et où les bénéfices sont réinvestis au lieu d’être distribués à des rentiers.

« Les entreprises doivent s’engager dans une transformation profonde » Dans une tribune au « Monde », Julie Battilana et Anne-Claire Pache, professeures à Harvard et à l’Essec pointent la nécessité d’un changement culturel majeur pour permettre aux entreprises d’intégrer une mission sociale et environnementale. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Julie Battilana (Professeure de business administration à Harvard Business School et professeure d’innovation sociale à Harvard Kennedy School) et ... Tribune. En ce début d’année 2018, la question de la refonte du modèle de l’entreprise est au cœur du débat public des deux côtés de l’Atlantique. Le gouvernement français vient de lancer, au travers d’une mission interministérielle, le chantier d’une réforme juridique de l’objet des sociétés à but lucratif, afin d’y intégrer la responsabilité sociale et environnementale.

Digital Learning : les cinq tendances à suivre Au cours d’un webinaire sur le digital learning, l’éditeur Talentsoft, qui a récemment fusionné avec le spécialiste du e-learning e-doceo, a dévoilé quelques tendances émergentes en matière de formation. Quelles évolutions ont impacté le blended-learning ? Quelles modalités pédagogiques remportent les faveurs des apprenants ? Zoom sur les enseignements qui aideront les entreprises à mieux choisir leurs parcours de formation.

Les 7 impacts du digital sur le secteur de la formation Les poids lourds du e-learning ont le vent en poupe. Pas étonnant selon une étude de notre partenaire Xerfi. L'essor du numérique a d'énormes impacts sur le monde du travail : recrutement, management, process, métiers… tout change. Et le domaine de la formation professionnelle n'échappe pas à cette tendance de fond, dévoile l'étude "La nécessaire réinvention des organismes de formation privés", menée par notre partenaire Xerfi. Ce dernier a identifié 7 conséquences de la révolution digitale sur le secteur de la formation. Elles permettent au passage d'expliquer pourquoi les poids lourds du e-learning connaissent une belle croissance (ainsi OpenClassrooms a levé 6 millions d'euros en septembre 2016 tandis que son concurrent Coorpacademy a levé 10 millions d'euros un mois plus tard).

Article de synthèse. L'innovation sociale pour impacter positivement la société et l'environnement ... et garantir la croissance de l'entreprise face aux enjeux actuels. En quelques mots L’innovation sociale, c’est une tendance majeure qui nous impacte, nous les responsables innovation, marketing, communication, medias…que nous soyons créatifs ou opérationnels… cadres dirigeants ou utopistes rebelles… Au delà, de l'économie sociale et solidaire, l'innovation sociale se développe dans tout type d’entreprise, pour tout type de produits et de services, pour tout type de population.

Comment les innovations sociales peuvent-elles changer d’échelle? – Etude du Commissariat général à l’égalité des territoires – 26 février 2018 Autrement dit: «un bon projet ne doit pas rester confidentiel», mais quel rôle peut jouer l’acteur public dans cette diffusion de l’innovation: développement de la structure porteuse de ce «bon» projet? Essaimage avec des porteurs de projets «repreneurs»? Reprise par une politique publique? Après enquête et étude, les auteurs identifient trois rôles pour l’acteur public. Le premier repose sur la posture de facilitateur de la collaboration multi-partenariale autour d’un projet d’innovation sociale: médiateur entre innovateurs et grands acteurs économiques, appui à la valorisation et à la diffusion des innovations et enfin soutien y compris aux problématiques non solvables, autour de la notion de « communs » par l’intermédiaire de mise à dispositions de locaux, de data, ou l’utilisation de la commande publique. Enfin, troisième piste, favoriser l’émergence d’écosystèmes territoriaux favorables aux innovations sociales.

Amandine Barthélémy : « Beaucoup d’innovations sociales s'inventent en marge de la loi »  Cofondatrice du collectifs d'entrepreneurs sociaux Odyssem, Amandine Barthélémy soutient avec ardeur le développement d’une économie dans laquelle l’argent ne serait plus une fin mais un moyen. Si l’économie sociale et solidaire gagne en notoriété, elle doit pour elle encore changer d’échelle, afin d’apporter des réponses durables aux problèmes de notre temps. Propos recueillis par Alexia Eychenne / Photos : Augustin Le Gall

Les entreprises à mission Encourager les entreprises à mettre leur performance économique au service d’une mission (sociale, sociétale, environnementale) définie dans l’objet social, opposable par les parties-prenantes : quels statuts pour y parvenir ? Ce 1er panorama international permet de comparer les nouveaux statuts juridiques qui fleurissent dans le monde depuis une dizaine d’années, en faveur des entreprises à mission. C’est à travers des focus géographiques aux Etats-Unis, au Canada, en Italie et au Royaume-Uni et la rencontre d’entrepreneurs pionniers et d’experts juridiques notamment que les modèles se dessinent.

Le cerveau des femmes est bien différent de celui des hommes : il est plus actif ! De nombreuses zones du cerveau ont une activité plus importante chez les femmes que chez les hommes, notamment les parties responsables des pulsions, de l’anxiété et de l’humeur. Le cerveau féminin s’active plus intensément que le cerveau masculin Le cerveau des femmes serait-il différent de celui des hommes ? La réponse est oui. La carte des utopies concrètes pour que les alternatives se rencontrent Comment décrire cet ovni du net ? A la fois manifeste, annuaire, cartographie, lieu de mise en relation, de débat et de réflexion, le site internet utopies-concretes.org est un espace de liberté en ligne autogéré. Grâce aux outils de l’immatériel internet, les inventeurs de cette plate-forme cherchent à donner corps au phénomène des alternatives à travers quatre formats. D’abord des textes « pour composer d’autres manières de voir le monde ». Ensuite une carte, qui recense plus de 3.000 lieux en France et en Europe.

Les utopies réelles ou la fabrique d’un monde postcapitaliste Les « hackerspaces » californiens, les coopératives du Pays basque, ­l’encyclopédie Wikipédia… Enquête sur les bases théoriques d’un ­mouvement ­qui cherche à éroder le capitalisme par l’action concrète. LE MONDE IDEES | • Mis à jour le | Par Anne Chemin Après une longue éclipse, l’utopie est de retour – au moins dans les librairies. Inscrit en grandes lettres rouges sur le best-seller de l’essayiste néerlandais Rutger Bregman, le mot figure également dans le titre de l’ouvrage sur le postcapitalisme du sociologue américain Erik Olin Wright. Mais plus que ce mot, né au XVIe siècle sous la plume de Thomas More, ce sont les adjectifs qui l’accompagnent dans ces deux titres qui intriguent : Rutger Bregman plaide pour des utopies « réalistes », Erik Olin Wright pour des utopies « réelles ».

S'épuiser à changer le monde: quand notre travail a trop de sens Crédit: 123rf «Quand on travaille pour une entreprise traditionnelle, on peut se dire, «Mon emploi ne m’empêchera pas de dormir, c’est juste un emploi.». Quand on travaille pour une entreprise animée d’une mission sociétale, on se sent toujours coupable de se reposer.

L’interdisciplinarité pour plus d’efficacité Les entreprises repensent l’organisation du travail afin de conjuguer les compétences. LE MONDE ECONOMIE | 09.05.2018 à 11h00 • Mis à jour le 10.05.2018 à 09h31 | Par Sophy Caulier Il n’a jamais été autant question d’intelligence collective, de travail collaboratif, de coworking, de « cross fertilisation » et d’« open innovation ».

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