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Aider TOUS les élèves à participer à l'oral

Est-ce que dans votre classe on retrouve parfois le schéma classique ? Le maître / la maîtresse pose une questionAu mieux : Les élèves qui savent lèvent le doigt, vous les interrogez, ils répondentAu pire : Les élèves qui savent répondent plus vite que leur ombre, avant même que quiconque ait pu amorcer un levage de doigt (ou une quelconque réflexion)De temps en temps : Vous interrogez un élève "au hasard" (mais pas vraiment, puisque vous essayez de choisir celui qui risque de s'endormir) et 95% du temps il est incapable de répondre car son esprit était parti à 20 000 lieues de la classe. Si je récapitule, le nombre d'élèves réellement engagés dans le questionnement est souvent loin des 100%. Il n'est pas question ici de brusquer les élèves introvertis (à la mode "note de participation") mais plutôt d'aménager un cadre de travail dans lequel ils pourront s'exprimer plus facilement. Voici maintenant 8 astuces pour vous aider à faire participer tout le monde sans brusquer personne :

http://www.maitresseuh.fr/aider-tous-les-eleves-a-participer-a-l-oral-a135907796

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Viaeduc Pour soutenir des jeunes enseignants, et eu égard au cadre référentiel du métier d’enseignant, pour nos collègues formateurs en ESPE ou ailleurs (les HEP en Suisse), André de Peretti et moi-même vous proposons un “Kit de (se)cours pour l’enseignant“, C’est un complément (Kit) utile au Manuel de survie de l’enseignant même débutant, éd. L’Etudiant, dont la 6ème édition est sortie en janvier 2019. Il présente en 30 chapitres et 500 pages les enjeux, ressources et pratiques contemporaines du métier. Le Kit de (se)cours pour l'enseignant, version très courte co-écrit avec André de Peretti est enfin disponible sur version mobile et tablette.

Jean-Philippe Lachaux : Attention à l'attention - Ép. 2/4 - Les vertus scolaires L’attention à l’honneur aujourd’hui dans Rue des écoles. Car c’est bien une vertu scolaire cardinale que cette attention qu’on sollicite – qui manque souvent et sans laquelle aucun apprentissage n’est possible. Une attention donc à la parole de l’enseignant, aux textes, au travail demandé… attention à soi et à sa propre réflexion, et c’est le plus difficile à obtenir peut-être. A ceci s’ajoute le contexte numérique qui distrait et donne le sentiment d’être assailli en permanence d’informations diverses – ce qui pose une sérieuse question éducative : Faut-il faire de l’école un sanctuaire de l’attention (pure et unilatérale) ou apprendre aux élèves à gérer les sollicitations multiples du monde connecté ? Références des  ouvrages (en anglais) cités par Yves Citton :

Fonctionner en ateliers autonomes - De la théorie à la pratique - La Classe Atelier On a tous les mêmes questions en tête Comment réussir à aider TOUS mes élèves ? Comment respecter le rythme de CHACUN ? Comment dégager du TEMPS pour les plus fragiles ? Des groupes de discussion pour développer en classe les habiletés de communication des élèves Dans un article publié dans le site Web Edutopia, Kasey Short, une enseignante de la Caroline du Nord, propose différentes stratégies pour que les discussions en classe soient gagnantes, autant les discussions en petit groupe que celles auxquelles participent tous les élèves d’une même classe. Les recommandations de Short peuvent s’appliquer dans la pratique dès la 3e année du primaire, et ce, jusqu’à la fin du secondaire. Elle croit entre autres que la mise en place de ces stratégies peut améliorer l’environnement social de la classe tout en favorisant le développement des habiletés de communication des élèves. Shutterstock/Monkey Business Images par France Dumais [La communication orale : pourquoi et comment l’enseigner?]

Agir sur les comportements perturbateurs en classe En matière de régulation du comportement au sein de la classe, il existe des données fiables et des méthodes plus efficaces que d’autres. C’est ce qu’a développé Franck Ramus, Professeur au laboratoire de Sciences Cognitives et Psycholinguistique à l’Ecole normale supérieure, Directeur de recherche au CNRS. Cette conférence, intitulée « De la perturbation à l’implication : comment faire adhérer les élèves ? », était organisée mercredi 22 mai par l’Institut Catholique de Paris. Nous y étions, en voici une transcription.

La classe flexible en lycée professionnel, c’est possible ? La classe flexible, de quoi s’agit-il ? Mise en activité ... flexible ! Le travail s’effectue donc en îlot, seul ou à plusieurs, avec ou sans musique, sur les fauteuils ou les tapis (au fond à droite). Les deux portes de la salle sont toujours ouvertes, pour décloisonner l’espace (sauf celle du fond s’il y a un autre cours en même temps). La classe flexible repose sur un aménagement de l’espace classe afin de permettre aux élèves d’adopter la position la plus confortable possible pour mener à bien les activités demandées par une pédagogie innovante et adaptée. Ceci améliore la concentration, et donc, la qualité des travaux rendus. Jean-Philippe Lachaux : Peut-on apprendre à (mieux) se concentrer ? Qu’y a t-il de plus satisfaisant dans la vie que d’être pleinement à ce qu’on fait ? Etre concentré est un petit état de grâce non ? Hélas la concentration est fragile : l’esprit s’envole si vite et ne nous obéit pas… C’est peut-être pour ça, et parce qu’on a tellement besoin de notre attention, en particulier à l’école, pour apprendre et comprendre que Jean-Philippe Lachaux, chercheur à l'Inserm en neurosciences cognitives et codirecteur de l'équipe Eduwell du Centre de recherche en neurosciences de Lyon, y a consacré plusieurs ouvrages, à destination des adultes et des plus jeunes… Et qu’il a mis sur pied le projet Atole (ATentif à l'écOLE), programme de découverte et d'apprentissage de l'attention en milieu scolaire. Connaître les mécanismes de l’attention et de la concentration peut aider les élèves et les étudiants mais aussi – et c’est important - les enseignants et les parents à mieux l’apprivoiser, nous en parlerons avec un professeur de SVT au collège à Paris, Anthony Ravel.

Outils pour la communication non violente (CNV) La communication non-violente est un langage créé par Marshall B. Rosenberg. Les moteurs de la CNV sont la bienveillance et l’empathie. C’est pourquoi elle trouve parfaitement sa place dans l’éducation positive et dans la communication positive en général.

Communiquer oralement au 1er cycle – Le français à l'école primaire – CSDM Comment accroître la place de la communication orale en classe? Formules pédagogiques. Modes de structuration des échanges verbaux. Les gestes professionnels et le jeu des postures de l’enseignant dans la classe : un multi-agenda de préoccupations enchâssées Un contexte idéologique et politique pressant 1Partout en Europe et en Amérique, la question de l’école et de la formation des maîtres devient une question politique et idéologique de premier plan. Les cursus de formation sont rallongés ici, raccourcis, là. Les institutions de formation sont prises dans la tourmente permanente de remises en cause, de campagnes médiatiques, de prescriptions institutionnelles, elles-mêmes soumises au maelström d’une pensée politique qui puise plus ses arguments dans des logiques économiques, technocratiques, supranationales que dans la culture accumulée par les enseignants, par les formateurs et les travaux de recherche.

E-BOOKS. ARSENE LUPIN toutes ses aventures à lire en ligne by mh E-books By Mona Housty - CDI DURAS Le personnage L'auteur Arsène Lupin a-t-il vraiment existé ? INSTITUER LE COLLECTIF DANS UN GROUPE Construire le collectif est un enjeu sociétal nécessaire qui fait sens mais qui n’est pas spontané. Le collectif ne se résume pas simplement à une juxtaposition d’individus mais sous entend un échange et une co-construction où les avis de chacun aboutissent une décision commune. Si la classe ne permet pas l’émergence spontanée d’un collectif, elle est par contre une occasion de l’instituer et de former les élèves à sa construction. La chaise bleue, un album pour faire émerger la créativité chez les enfants – J'enseigne avec la littérature jeunesse Par Anne-Sophie Charland Connaissez-vous l’album La chaise bleue de Claude Boujon? Il s’agit d’un album fantastique pour travailler la créativité et l’imaginaire chez les élèves. Il raconte l’histoire d’Escarbille et Chaboudo, deux chiens qui s’amusent à transformer une vulgaire chaise bleue en auto, en locomotive, etc. « Ce jour-là, Escarbille et Chaboudo se promenaient dans le désert. Et dans le désert, il n’y avait rien.

Trouble d’opposition et de provocation Le trouble d'opposition / provocation est caractérisé par une désobéissance quasi-généralisée. Face à une consigne qui lui déplaît, l'enfant peut alors montrer soit de l'opposition passive (semble acquiescer à la demande, mais omet volontairement d'y donner suite), soit de l'opposition active (l'enfant crie, frappe, lance les objets, ou confronte et défie par un "non" en regardant dans les yeux), soit de l'opposition dite passive-agressive (l’enfant semble se conformer à la demande de l'adulte, mais il blesse ou brise "accidentellement" en cours d’action). Contrairement aux enfants qui ont un trouble de déficit de l'attention / hyperactivité (TDAH) et qui oublient les consignes, les enfants qui ont un trouble oppositionnel sont parfaitement conscients de leurs comportements d'opposition, et ils refusent délibérément de se conformer aux demandes de l'adulte. Face à ces enfants, les parents diront qu’ils se sentent constamment en situation de lutte de pouvoir.

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