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Pourquoi on n'a aucun mal à dire coiffeuse et beaucoup plus à dire professeuse

Pourquoi on n'a aucun mal à dire coiffeuse et beaucoup plus à dire professeuse
Temps de lecture: 19 min Infirmière, épicière, caissière, pâtissière, paysanne, institutrice, actrice, chanteuse, serveuse, aide-soignante. Les métiers manuels, de service et de la scène n’ont aucun problème à se féminiser, surtout s’ils sont considérés comme subalternes. Ainsi éboueuse est très vite devenu le pendant féminin d’éboueur, alors que la profession était jusqu’à récemment uniquement masculine, idem pour technicienne, travailleuse, policière, maçonne et même franc-maçonne. En revanche: auteur, écrivain, médecin, professeur, ingénieur, ambassadeur s’allongent difficilement d’un suffixe féminin. Ainsi dans le binôme employeur-travailleur, seul le second se féminise automatiquement: on dira travailleuse, plus rarement employeuse. Pourtant la structure des deux mots est absolument identique. Les cocktails de l’ambassadrice Certaine fonctions au féminin passent pour avoir désigné l’épouse de l’homme qui l’occupait. Figures de cire d'Angela Merkel, au musée Tussaud de Berlin.

http://www.slate.fr/story/156221/feminisation-metiers-pouvoir

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La nuée jaune, ou le retour de la politique Il y a de l’irréversible dans l’air, des points de non-retour à tous les carrefours. On ne voit plus, désormais, comment la réponse institutionnelle, celle des mesures ciblées et des discours solennels, suffirait encore face à la puissance d’un tel refus, à ce désir-là de destitution, renforcé, et non éteint, par chaque samedi de répression policière et chaque semaine de récupération politicienne. Inutile à ce président, haï comme aucun autre avant lui, de sortir enfin du silence pour jurer ses grands dieux qu’il va s’appliquer à «retisser le lien national» : ce qui a lieu depuis quelques semaines dépasse le cadre institué, modifie les rapports de forces, bouleverse les logiques dominantes et nous laisse, tous, orphelins des certitudes et des polarités qui nous faisaient encore (sur)vivre et penser il y a trois mois, comme elles le faisaient depuis au moins quatre décennies.

Ride, baby ride J’ai grandi à la campagne, dans ce genre d’endroits où tu fais rien sans voiture et sans permis. A 16 ans, comme tout le monde, je me suis inscrite à la conduite accompagnée, et je n’y suis jamais allée. Je me satisfaisais d’être dépendante des mecs cis* autour de moi qui avaient la conduite facile, un truc d’homme, de mec qui conduisait d’une seule main un peu bourré. A 19 ans, deux ans après avoir déménagé à Lyon, je me suis dit que fallait m’y remettre, là tout de suite, sinon j’allais perdre mon code que j’avais quand même payé, et je me suis inscrite la peur au ventre dans une auto école. Cette année de conduite a été une horreur. Connaissez-vous (vraiment) Mulan ? – Pastille Antivirus L’album La Ballade de Mulan, paru en 2015 aux éditions HongFei, porte la traduction en français d’un texte chinois du IVe siècle de notre ère racontant l’histoire de la célèbre héroïne chinoise. Résumé de l’histoire Mulan apprend que son père âgé est appelé à la guerre.

Matilda News BUZZONS CONTRE LE SEXISME bande annonce ICI Les vidéos Éducation dans le monde Grec (10’29) Les filles et les garçons recevaient-ils la même éducation à cette époque ? Malheureusement le suspens est court. Rose ou bleu ? Samuel Hayat - Science politique - Mouvement ouvrier, démocratie, socialisme Versione italiana (archive) / Version en español / نسخه فارسی / Versão em português / English version (archive) Difficile de ne pas être saisi par le mouvement en cours. Tout y est déconcertant, y compris pour qui se fait profession de chercher et d’enseigner la science politique : ses acteurs et actrices, ses modes d’action, ses revendications. Certaines de nos croyances les mieux établies sont mises en cause, notamment celles qui tiennent aux conditions de possibilité et de félicité des mouvements sociaux. D’où sinon la nécessité, du moins l’envie, de mettre à plat quelques réflexions issues de la libre comparaison entre ce que l’on peut voir du mouvement et des connaissances portant sur de tout autres sujets.

Cet étrange syndrome dit «du nez vide» qui pousse les gens à se suicider Imaginez que vous perdiez votre respiration naturelle. Qu’à la place d’un mouvement régulier, paisible, inconscient, vous ayez toujours l’impression de devoir penser à respirer, de forcer pour tirer de l’air. Qu’en plus de cette désorganisation de votre respiration, vous ressentiez des brûlures dans le nez, une sensation de suffocation, un essoufflement. Et que les médecins vous affirment que votre mal est imaginaire, qu’il n’existe pas, que vous êtes simplement «fatigué». Les patients qui souffrent de ce syndrome ont généralement subi une turbinectomie: une opération anodine en apparence qui consiste à enlever les «cornets» du nez, deux organes qui sécrètent de l’humidité et que certains médecins recommandent d’enlever lorsque le patient se plaint de gênes respiratoires chroniques. «Ma vie est devenue un enfer»

“Ce sont surtout les femmes qui se mobilisent pour les causes environnementales” Joutes nucléaires effrayantes entre les Etats-Unis et la Corée du Nord, mobilisation massive des femmes contre le sexisme institutionnalisé, alerte de 15 000 scientifiques sur l’état de notre planète…, l’actualité de ces dernières semaines fait écho à la lutte des écoféministes. Ces militantes pacifistes anglo-saxonnes, détenant des pistes de réflexion précieuses (renouer positivement avec la nature, se réapproprier des connaissances empiriques, retrouver de la fierté pour son corps…), restent pourtant méconnues en France. Pour y remédier, la Cité des sciences et de l’industrie organise ce mardi 5 décembre une discussion autour de ce mouvement apparu dans les années 1980.

Les stéréotypes dans les médias - CLEMI Cindy zappe à la télé chez elle. Sur TV VroumVroum : que des hommes. Sur TV BB : que des femmes. Cindy descend dans la rue. Nous demandons l’abrogation de la loi dite « sur le voile à l’école » Dix ans après le vote de la loi interdisant le voile à l'école, des enseignants et des enseignantes estiment qu'elle n'a eu aucun des effets vertueux défendus par le législateur et qu'elle a détérioré leurs conditions d'enseignement en accentuant les inégalités sociales. « Bien loin de faire respecter la laïcité au sein de nos établissements, la loi du 15 mars 2004 a déformé l'esprit et la lettre de la loi de 1905. » Enseignants, enseignantes, il y a bientôt dix ans qu'une loi injuste et contre-productive a été votée en notre nom. Le 15 mars 2004, en effet, un grand consensus s'est noué pour interdire les « signes » ou « tenues » qui « manifestent ostensiblement une appartenance religieuse » des élèves au sein de l'école publique. Cette loi est venue conclure un débat médiatique où nous avons été, enseignants et enseignantes, désigné•e•s comme une composante significative (voire experte) de l'opinion désirant voir disparaître le « foulard islamique » des salles de classes.

Rupture dans la contribution en cours « C’est une grande erreur de s’imaginer que les gens deviennent stupides en restant toujours au même endroit. »William Cobbett « Et l’État sombra… » Une propagande étatique et médiatique de grande ampleur, une dramatisation inouïe visant plusieurs objectifs transparents : ce fut donc le lot de la semaine du 3 décembre. Mais l’assiégé n’est pas celui que l’on croit. A cette aune-là, il faut surtout comprendre que l’État est à bout ; que le pouvoir est seul, arc-bouté sur son appareil régalien.

Des employés d'une centrale nucléaire la connectent à Internet pour miner plus facilement de la cryptomonnaie Des employés d’une centrale nucléaire située dans le sud de l’Ukraine ont jugé bon de connecter le réseau interne du bâtiment à Internet. Objectif : utiliser les ressources énergétiques de la centrale pour miner de la cryptomonnaie gratuitement. Les mineurs de cryptomonnaie ne manquent clairement pas d’idées pour s’enrichir, quitte à outrepasser les lois de leur pays. La récente affaire relayée par ZDNet en est l’exemple parfait. Les services de sécurité d’Ukraine, aussi appelés SBU, ont effectué une descente le 10 juillet dernier dans la centrale nucléaire située à proximité de la ville de Yuzhnoukrainsk. Et ce pour y confisquer du matériel dédié au cryptominage.

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