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Les neuromythes (Steve Masson)

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Comment activer ses neurones ? – SCIENCES CO & PÉDAGO Je vous présente une synthèse de la prise de note que j’ai réalisée à partir de l’émission de Céline Guerreiro avec Steve Masson au sujet de son livre Activer ses neurones (éd Odile Jacob) Steve Masson est professeur à l’université de Québec Montréal et directeur du laboratoire en recherche en neuroéducation. Son équipe travaille sur la relation entre le cerveau et l’éducation pour en déterminer les effets sur l’apprentissage ; l’objectif étant de mettre en évidence certaines pratiques pour mieux apprendre. Dans son dernier ouvrage, Steve Masson met en avant 7 principes neuro-éducatifs : C’est la condition essentielle pour apprendre. Quelques éléments de psychologie cognitive pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissages Cette captation vidéo a été réalisée le 3 juin 2015 lors d'une journée de formation intitulée : Les dispositifs, la classe, l’établissement ; quels soutiens à l’engagement des élèves ? Cette journée a été l’occasion de réfléchir aux enjeux d’une aide apportée de manière cohérente et ajustée aux besoins des élèves, dans un contexte marqué par la controverse autour de l’insuffisante efficacité des dispositifs d’accompagnement des élèves. Quels pas de côté ces dispositifs font-ils faire aux enseignants, aux praticiens, afin de mieux comprendre la nature des difficultés des élèves ?

Les neuromythes en éducation Un neuromythe est une croyance erronée sur le fonctionnement du cerveau. De récentes études ont mis en évidence que plusieurs de ces neuromythes sont répandus en éducation, particulièrement dans la population enseignante. Shutterstock / NLshop Jérémie Blanchette Sarrasin, étudiante à la maîtrise en éducation à l’UQAM, et son directeur Steve Masson, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation à l’UQAM, présentent dans cet article les quatre neuromythes les plus fréquents en éducation.

Les gestes professionnels et le jeu des postures de l’enseignant dans la classe : un multi-agenda de préoccupations enchâssées Un contexte idéologique et politique pressant 1Partout en Europe et en Amérique, la question de l’école et de la formation des maîtres devient une question politique et idéologique de premier plan. Les cursus de formation sont rallongés ici, raccourcis, là. Les institutions de formation sont prises dans la tourmente permanente de remises en cause, de campagnes médiatiques, de prescriptions institutionnelles, elles-mêmes soumises au maelström d’une pensée politique qui puise plus ses arguments dans des logiques économiques, technocratiques, supranationales que dans la culture accumulée par les enseignants, par les formateurs et les travaux de recherche. En même temps, l’évolution sans précédent des savoirs et des moyens de leur diffusion, la transformation dans nos pays développés des modes de vie (travail, loisirs, mentalités) questionnent en profondeur la place de l’école, ses visées et ses modes d’enseigner. La transposition nécessaire d’un ensemble très riche de travaux théoriques

les soft-skills "Pourquoi la pomme tombe-t-elle du pommier ? Qu'est ce qui intervient dans sa chute ? Moi je pense que c'est la couleur de la pomme ? Qui est d'accord avec moi ? Fondements cognitifs des apprentissages scolaires - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 06 janvier 2015 09:30 Le cours 2014 a été consacré aux liens qu’entretiennent ou que devraient entretenir les sciences cognitives avec les sciences de l’éducation. Ces liens sont nombreux et réciproques. Comprendre comment l’éducation parvient à transformer le cerveau humain est l’un des grands problèmes ouverts en neurosciences cognitives, qui soulève de nombreuses questions passionnantes : comment les apprentissages scolaires (langues première et seconde, lecture, écriture, mathématiques) s’inscrivent-ils dans les circuits de notre cerveau ? Quels rôles respectifs jouent l’organisation précoce et la plasticité cérébrale dans ces modifications ? Pourquoi l’espèce humaine est-elle la seule qui parvienne à modifier ses représentations mentales et ses circuits cérébraux par le biais d’un enseignement explicite ?

Non, vous n’êtes pas visuel ou auditif… Pour en finir avec les neuromythes ! Qui n’a pas déjà entendu l’affirmation voulant qu’on utilise seulement 10 % de notre cerveau ? Qu’écouter la musique de Mozart rend plus intelligent ou que tout se joue avant l’âge de 3 ans ? Que les personnes « cerveau droit » sont plus créatives ? Une autre idée très répandue prétend que l’on est soit visuel, auditif ou kinesthésique (plus sensible au toucher) et que nous apprenions mieux selon ces « styles »… Toutes ces affirmations sont en fait des neuromythes : des fausses croyances sur le cerveau et l’apprentissage, dont aucune n’est scientifiquement fondée. Bref, vous avez autant de chances de recevoir la visite de la Fée des dents que d’apprendre plus vite à peindre un coucher de soleil soi-disant parce que vous êtes une personne « visuelle » !

Les Biais Cognitifs – Questions animalistes -> Biais Cognitif : déviation dans le traitement cognitif d’une information ; schéma de pensée inconscient qui a l’apparence de la logique mais qui est trompeur. Environ 200 biais cognitifs ont été recensés. -> Ils sont classés en différentes catégories (cette classification est variable) : – Biais mnésiques (relatifs à la mémoire et à son fonctionnement)– Biais de raisonnement (relatifs aux erreurs de raisonnement)– Biais de jugement (relatifs à la façon dont on interprète l’information)– Biais de personnalité (relatifs à l’identité ou l’image que l’on a de soi)

ANAE N° 139 - Apprentissages, cognition et émotion Vol 27, tome VI, décembre 2015 Parution 10 janvier 2016 Apprentissages, cognition et émotion De la théorie à la pratique Dossier coordonné par Édouard Gentaz Professeur à l’Université de Genève et Directeur de Recherche au CNRS Éditorial J. GRÉGOIRE L’autonomie au secondaire L’autonomie Comme quelques-uns des objectifs derrière la planification expérimentée sont de fournir une rétroaction fréquente aux élèves, de cibler leurs besoins et de rencontrer ceux qui éprouvent des difficultés, installer l’autonomie s’avère nécessaire. Or, quand vient le temps de le faire, il n’est pas toujours facile de savoir par où commencer. Ce qu’il est important de retenir, c’est que la fréquence et la constance sont primordiales.

Le master « Coopération internationale en éducation et formation » de l’Université de Paris fête ses 20 ans En 1999, le master « Coopération internationale en éducation et formation » de la Faculté des sciences humaines et sociales de l’Université Paris-Descartes voyait le jour, fruit d’une initiative conjointe du CIEP (nouvellement France Éducation international) et de l’Université Paris-Descartes. 20 ans plus tard, le succès de cette formation, aujourd’hui dirigé par Marie Salaün, témoigne de la réussite du partenariat entre les deux institutions. À l’origine du diplôme d’enseignement supérieur spécialisé (DESS) « Expertise et coopération en éducation et formation », dirigé par Catherine Agulhon, figurait un objectif fort : développer une expertise internationale de coopération éducative en lien avec la recherche française sur l’éducation dans les pays en développement. Environ 50 % des anciens étudiants sont aujourd’hui des professionnels de la coopération éducative, soit environ 300 personnes. Une vingtaine d’entre eux ont rejoint France Éducation international.

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