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Antisèche : comment repérer une « fake news » ? - Le Parisien

Antisèche : comment repérer une « fake news » ? - Le Parisien
Ces fausses nouvelles, souvent liées à une opération de désinformation, envahissent les réseaux. Pour freiner leur diffusion, Facebook lance un outil de signalement. Les fake news (fausses informations) sont des mensonges ressemblant à de vraies infos, diffusées de manière délibérée par un individu ou une organisation. Ces contenus ont toujours existé, mais les réseaux sociaux accroissent leur visibilité, comme dans notre exemple. 1. Le compte qui publie cette photo n’est pas celui d’un média professionnel. 2. William s’est géolocalisé quand il a publié sa photo: il était à Rouen. 3. Le commentaire de William n’est pas neutre. 4. De nombreuses « fake news » présentent des incohérences facilement repérables. Le saviez-vous ? Donald Trump a contribué à populariser l’expression « fake news ». Retrouvez cet article dans Le Parisien Magazine du vendredi 17 mars. Ask Media Le Parisien Magazine Related:  Fake news, hoaxs, rumeurs, intox: détecter, comprendre, prévenirrumeurs et desinformationcdiblandine

Enseignements pratiques interdisciplinaires et prof-doc : l’EPI Detox – DocTICE Confrontés à une pluralité d’informations en ligne, il arrive que les élèves participent eux-même à leur viralité en partageant sans vigilance. Une éducation à la citoyenneté doit passer par un “activisme” critique envers la validité de ces contenus et leurs intentions. En s’appuyant sur l’EMI et l’Enseignement Moral et Civique, au travers d’un EPI, il est possible de construire des projets pédagogiques qui permettent de comprendre le processus qui fait se construire et se propager de telles informations. Présentation de l’action : L’EPI Detox, proposé en 4ème, permet de travailler ces questions, dans l’optique d’adopter une démarche d’investigation face à l’information, par l’ “anatomie” de messages posant problème. Référent Cadre Nom de l’établissement : Collège Victor SchoelcherNiveau des classes : 4èmeNombre d’élèves concernés : classe entièreCadre pédagogique : EPI (EMC / EMI)Enseignants : professeur-documentaliste / Professeur d’EMCDurée et nombre de séances : 7 heures – Trois étapes

Cette photo de réfugiés a-t-elle été prise le 17 mars à la frontière franco-italienne? - CrossCheck Une photographie montrant une vague de réfugiés a été partagée plus de 2.000 fois ce week-end depuis la page Facebook «SOS racisme-anti-blanc». Selon cette page, qui partage régulièrement des contenus hostiles à l’immigration, des milliers de réfugiés auraient traversé le 17 mars 2017 la frontière franco-italienne, près de Menton. La photo partagée date en fait du 18 septembre 2015 et a été prise par un photographe de l’agence Reuters près d’Edirne, en Turquie. A cette époque, la crise migratoire bat son plein, et des milliers de réfugiés venus notamment de Syrie et d’Afghanistan arrivent en Europe. Des reporters suivent leur périple, dont Osman Orsal, photographe pour l’agence de presse Reuters. Il est l’auteur de la photographie relayée par «SOS racisme-anti-blanc».

Hoax, rumeur et désinformation – DocTICE A l’heure ou les élèves utilisent quotidiennement les mails, les réseaux sociaux, il nous a semblé indispensable de les faire réfléchir sur ce qu’est la rumeur, la manière de la détecter, avec un esprit critique. Dans le cadre du Mooc Médias, nous avons décliné cette idée en l’adaptant à deux situations différentes avec une trame commune mais des étapes et des outils adaptés : une classe média impliquant le professeurs de lettres et le professeur documentaliste d’une part, et une séquence anglais / documentation d’autre part. Nom des enseignants : Margaret Tisserand, Delphine Poirier, Sarah Staunton, Cécile Diet E-mail : margaret.tisserand@ac-besancon.fr *protected email* , delphine.binetruy@ac-besancon.fr , sarah-alison.staunton@ac-besancon.fr , cecile.diet@ac-besancon.fr Descripteurs : désinformation, source d’information, évaluation de l’information, éducation aux médias Date de la création de la ressource : Mai 2016 Date de péremption de la ressource : Mai 2021 Compétences Compétences EMI

L’analogie de la maison hantée – L'Épervier Pour comprendre comment faire de la (mauvaise) science, et pour comprendre la crise actuelle de la psychiatrie américaine, nous prenons l’exemple du Docteur Goule, chercheur en parapsychologie, qui va essayer de nous prouver l’existence des maisons hantées avec un raisonnement parfaitement absurde. Mais, comme nous allons le voir, si son raisonnement n’a aucun sens, il est malheureusement utilisé très sérieusement dans certains domaines de la recherche médicale… Aujourd’hui, le Docteur Goule va tenter de nous démontrer l’existence des maisons hantées. Qu’est-ce qu’une maison hantée, Docteur ? Docteur Goule : Eh bien, nous ne le savons pas encore vraiment. Mais le grand public et la presse ont fait mention, dans les dernières décennies, de plusieurs cas de « maisons hantées » et nous nous devons de prendre ces signalements très au sérieux. Charpi : Une liste de symptômes ? Docteur Goule : Pour valider cette liste de symptômes, nous faisons des statistiques. Docteur Goule : Non, bien sûr.

Décrypter l'info fiche élève public Décrypter l'info fiche élève created using Create your own infographic template published by DocCdiNum Views Share Décrypte l'information sur Internet Aller sur Internet te permet d'obtenir rapidement l'information que tu cherches mais es-tu sûr qu'elle est correcte ? 1. Article 1 Article 2 Dans lequel des deux l'information te parait-elle la plus sérieuse ? Explique pourquoi en quelques lignes : 2. En quoi les deux se ressemblent ? 3. Pourquoi ? L'information sur Internet n'est pas toujours fiable : elle peut être parodique (pour faire rire) inexacte ou malveillante et chercher à tromper le lecteur.

FRANCE - Info ou intox : comment déjouer les pièges sur Internet ? Nouvel empoisonnement à Salisbury : "l'exposition accidentelle" privilégiée En savoir plus Kim Dotcom est extradable, juge la Nouvelle-Zélande En savoir plus Mondial-2018 : ce qui attend les Bleus face à l'Uruguay En savoir plus Elle escalade la statue de la Liberté pour dénoncer le sort des enfants immigrés En savoir plus La mousson menace les enfants thaïlandais "prisonniers" dans une grotte En savoir plus Macron sur France 24 - RFI : "Le sujet des migrations naît d'une crise africaine" En savoir plus Hulot défend son plan de sauvetage pour une biodiversité à l'agonie En savoir plus Recours contre l'État : "Au Bataclan, les soldats n’ont fait qu’obéir aux ordres" En savoir plus Guerre commerciale : le spectre d'une récession digne de 2008 En savoir plus Dmitriev et Titiev, dissidents russes oubliés pour cause de Mondial En savoir plus Drones : la menace vient du ciel pour les prisons françaises En savoir plus

theconversation La campagne présidentielle a donné lieu à une recrudescence de ce que les internautes appellent des fake news. Si nombre d’observateurs ont souligné, à raison, le rôle croissant de Facebook et de Twitter dans les campagnes électorales, ils ont peut-être surestimé le caractère inédit des informations fausses ou tronquées. Bien évidemment, la nouveauté réside dans le support technique, c'est-à-dire l’effet multiplicateur d’Internet et des réseaux sociaux. Quant au phénomène proprement dit de la production et de la diffusion de fausses nouvelles, d’informations mensongères visant à discréditer des leaders politiques, il est pour ainsi dire aussi vieux que la démocratie athénienne. Pour ne s’en tenir qu’aux campagnes électorales sous la Vème République, on croit pouvoir affirmer qu’il s’agit là d’un phénomène consubstantiel à l’élection. Dans ces conditions, faut-il considérer ces nouvelles fake news comme une version relookée de la bonne vieille propagande d’antan ?

Une footballeuse iranienne bannie pour avoir joué sans voile ? Les médias s’emballent… "Une star du futsal interdite de jouer en équipe nationale féminine après être apparue sans voile". C’est le titre d’un article publié dans le New York Times le 26 avril. Sauf que le quotidien américain, comme plusieurs autres médias, a été un peu vite : la jeune femme en question est bien apparue balle au pied sans voile, mais aucune sanction ne lui a été officiellement infligée. Le 24 avril, Shiva Amini, 28 ans, a publié sur son compte Instagram une vidéo d’elle jouant au football en Italie et en Autriche, avec des hommes, où elle ne porte pas le hijab obligatoire en République islamique d’Iran et n’a pas les jambes couvertes. En faisant défiler les photos, on voit, en deuxième position, la vidéo montrant Shiva jouer sans voile et avec des hommes. Selon Shiva Amini, la publication de cette vidéo lui a valu des sanctions de la part de la fédération iranienne de futsal, qui lui a interdit de jouer ou d’entraîner une équipe en Iran. Shiva Amini en équipe d'Iran de futsal en 2009.

Usages pédagogiques de la tablette Comme nous l’avions vu dans un précédent article, les nouvelles technologies investissent massivement les salles de classes. En effet, de plus en plus d’établissements scolaires sont désormais équipés de tableaux numériques interactifs, d’ordinateurs portables, de tablettes numériques… Cette utilisation du numérique pour éduquer pose de multiples questions que ce soit pour les enseignants mais aussi pour les parents souvent perplexes quant à l’utilité de ces nouvelles méthodes. L’année dernière, la médiathèque du Bois Fleuri (Lormont, 33) a tenté l’expérience avec le collège Montaigne afin de créer un lien entre lecture, nouvelles technologies et éducation dans le cadre du réseau ECLAIR. L’utilisation de certaines applications a permis aux élèves de (re)découvrir le plaisir de lire. L’utilisation de la tablette semble donc être un outil intéressant sur plusieurs aspects: -Aspect tactile : Les écrans attirent les enfants. - Aspect éducatif : l’enfant apprend de façon ludique. @jbourguet

A survival guide to fake news: How to avoid getting lost in misinformation | Living The Internet can be a dangerously stupid place, and never more so than on April Fools’ Day. If you allow it, April 1 can become a day of death hoaxes, bad jokes, parodic reports gone awry and goofs taken out of context or repeated as gospel. And don’t forget just plain old lies. Thank goodness the web is such a reliable font of fact and goodwill the other 364 days of the year! The point is there are places on the Internet where every day is April Fools’ Day. The origin of this phenomenon is as debatable as everything else these days. Whatever the case, these are confusing times, and if you’re not careful the boundaries between truth and lies can blur. As a result, the term “fake news” is on the verge of meaning too many things to really mean much of anything at all. It can describe lies created knowingly and misinformation shared unknowingly. The truth is, information we now call fake news is the latest version of an old problem. Defining fake news Why people do it Money is one factor.

Non, ces musulmans ne célèbrent pas l’attentat des Champs-Élysées, voilà pourquoi… Une vidéo postée vendredi 21 avril au matin sur Twitter par un leader d'extrême droite britannique a tenté de montrer que des musulmans à Londres avaient célébré l'attentat des Champs-Élysées à Paris qui a tué un policier jeudi soir. Pourtant, il était très simple de vérifier cette vidéo en quelques clics. On vous explique comment. Sur la vidéo, un groupe d’hommes sont fous de joie, certains debout sur une statue. Paul Golding, le leader de Britain First – une organisation politique britannique d'extrême droite — l'assure sur son compte Twitter : ils "célèbrent" l’attaque terroriste qui a eu lieu jeudi soir sur les Champs-Élysées à Paris, revendiquée par le groupe État islamique. Comment vérifier ce contenu ? Pour vérifier une vidéo dont vous n'êtes pas sûr de l'origine, il faut d'abord la récupérer. Puis, il suffit de publier la vidéo sur votre compte YouTube personnel, en pensant bien à cocher la case "Non Répertorié" pour ne pas enfreindre les droits d'auteur.

Entre satire et « attrape-clics », voyage au pays des usines à buzz D’un site satirique à des inquiétudes bien réelles, comment une fausse information fait le tour d’Internet. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maxime Delrue « Toutes nos sources sont vérifiées par un huissier assermenté », assure le site, maquette blanc et noir, logo vert criard, ironie à tous les étages : bienvenue sur Secret News. Des Simpson qui prédisent l’élection de Marine Le Pen avec quinze ans d’avance à Philippe Poutou reconnu dans un film porno, le ton de ce site « d’info » est donné. Dans la section des articles les plus partagés, les hommes et femmes politiques tiennent le haut du pavé, mais ils ne sont pas seuls. En bas de chaque page, un avertissement, glissé discrètement : « Toutes les informations présentes sur ce site sont satiriques et/ou parodiques. (…) Les opinions ou idées développées sont fausses et ne peuvent être tenues comme authentiques. 100 % putàclic. » Fake news, vraies conséquences Le rituel est immuable. « Plus on va loin, plus ça marche ! Homme ou femme ?

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