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3 leviers de la mémoire à long terme : une vidéo à montrer aux enfants et ados

3 leviers de la mémoire à long terme : une vidéo à montrer aux enfants et ados
1.La répétition : création de liens entre les neurones par la répétition des informations La répétition seule est inefficace pour une mémorisation à long terme. 2.La motivation : un état d’attention, d’intérêt et/ou d’émotions Intégrer des éléments humoristiques, exagérés, en lien avec des choses qui procurent du plaisir permet de rendre un contenu inoubliable. 3.L’indexation : les associations d’idées Pour mieux se souvenir d’une information, il faut la relier à tout ce qu’on a pu apprendre auparavant. Une vidéo de l’Inserm Related Les bienfaits du jeu d’échecs pour les enfants : résolution de problèmes, mémoire, concentration Les bienfaits du jeu d’échecs pour les enfants : résolution de problèmes, mémoire, concentration Un article inspiré par l'équipe du blog apprendre-les-echecs-24h.com, composée du 4ème joueur français, d'un entraîneur de l'équipe de France, d'un docteur en mathématiques et d'un coach. In "Jeux pédagogiques"

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Comment être heureux d’apprendre à l’école ? Pourquoi une éducation punitive peut conduire à l’échec scolaire ? Catherine Guéguen, pionnière de l’éducation positive, qui a connu un grands succès avec son ouvrage "Pour une enfance heureuse", publie un nouveau livre consacré à la scolarité positive, en s’appuyant sur les neurosciences Comment rendre nos enfants heureux à l’école ? Qu'est-ce que les neurosciences cognitives ? - Prim à bord Les progrès considérables accomplis ces dernières années grâce au développement des techniques d’imagerie cérébrale permettent d’apporter de nouvelles réponses sur le fonctionnement du cerveau. Ces avancées dans le domaine intéressent de fait l’éducation et questionnent les méthodologies d’apprentissage proposées aux élèves. De nombreux scientifiques partagent ainsi l’idée que l’enseignant devrait se saisir des éléments de connaissance sur le cerveau pour enseigner et adapter ses pratiques aux activités cognitives de l’élève. Sans chercher à couvrir ce vaste sujet dans un seul article nous avons rassemblé plusieurs acteurs, chercheurs engagés dans cette problématique qui exposent en quoi les neurosciences cognitives peuvent apporter des éléments d’éclairage dans les pratiques pédagogiques ? Définitions :

Troubles dys : comment mieux organiser le parcours de santé ? Les troubles dys sont fréquents : en France, ils concerneraient près de 8% des enfants d’âge scolaire. Ces troubles sont les conséquences d’anomalies dans le développement cognitif de l’enfant. Ils recouvrent des situations très diverses et peuvent concerner une ou plusieurs fonctions cognitives : langage oral ou écrit, gestes, motricité... Ces troubles plus ou moins sévères peuvent être repérés dès la petite enfance. Depuis une vingtaine d’année, de nombreux travaux ont permis de mieux les connaître et des progrès ont été réalisés dans leur prise en charge. La Commission de la Naissance et de la Santé de l’Enfant (CNNSE) a cependant jugé en 2013 que celle-ci reste hétérogène et inégale sur le territoire.

Pourquoi juste relire pour apprendre et réviser est inefficace (et que faire à la place) Dans le livre Mets-toi ça dans la tête, Brown, Roediger et McDaniel expliquent que la simple relecture pour apprendre et réviser des cours ou leçons a plusieurs arguments décisifs en sa défaveur : elle prend beaucoup de temps (faire des lectures répétées à intervalles courts est coûteuse en temps et produit des effets négligeables sur les apprentissages);elle ne produit pas de mémoire à long terme (la relecture et la répétition ne fonctionnent pas pour un apprentissage durable. En revanche, il est pertinent de relire un texte si un temps suffisant s’est écoulé depuis la première lecture.

L’hypersensibilité : atout ou fardeau ? Émotions intenses, sensibilité extrême (larmes ou émerveillement faciles), grande capacité d'empathie, cerveau constamment en ébullition, sens très développés (bruit, lumière, douleur, faim...), intuition ou encore créativité et imagination... : si certains vivent leur hypersensibilité comme une force, elle se révèle être un calvaire pour d'autres (sentiment de décalage, de grande fragilité, d'incompréhension face aux 80% de la population qui n'ont pas cette particularité...). Comment mieux vivre son hypersensibilité ? Et si les hypersensibles avaient une perception plus éclairée du monde ?

10 conditions pour rendre une activité pédagogique motivante – En français, s'il vous plaît ! Je peux le faire, je suis libre de le faire comme bon me semble, cela me servira pour ma pratique et peut-être que cela servira à d’autres… me voilà motivée pour écrire ce deuxième billet sur la motivation ! Vous vous souvenez ? (voir mon billet précédent) Les 3 sources principales de motivation pour s’engager dans l’action sont des perceptions : perception de compétenceperception de contrôlabilitéperception de la valeur de l’activité apprendre avec les neurosciences; de Pascale Toscani Constat :Rapport du Conseil de l'Education : - des performances médiocres voire en baisse- des inégalités de réussite d'origine sociale accrues- un malaise enseignant- des problèmes de Vie Scolaire qui se multiplient. La neurologie :Un soutien indispensable pour les enseignants : elle donne les clés de lecture du fonctionnement cognitif.Les élèves, pour la plupart, ne présentent pas de lésions cérébrales, pourtant certains ont des troubles d'apprentissage. Leur absence de résultats ne s'explique, pour le plus grand nombre, pas par des troubles psychologiques, ni par une a-motivation, ni par un désintérêt scolaire... Un enfant naît avec 100 MD de neurones, mais il semblerait que seulement 10% des connexions (synapses) soient disponibles à la naissance. Les 90% restants ses développent juste après la naissance de l'enfant.A l'âge adulte, 1M de MD de synapses relie ces MD de neurones.

Des idées d'activités pour favoriser le développement des fonctions exécutives chez l'enfant Cet article est une adaptation libre d’un guide produit par le Center on the Developing Child de l’Université Harvard. On y propose des idées d’activités pour favoriser le développement des fonctions exécutives chez l’enfant. De 3 à 5 ans Les fonctions exécutives se développent à un rythme accéléré durant cette période de vie. Mobidico Perdu en Allemagne ? Le Mobidico en poche, vous aurez tout le vocabulaire nécessaire ! L’application s’adresse à tous ceux qui font un séjour dans le pays partenaire ou participent à un échange et leur permet d’avoir toujours sur eux le vocabulaire nécessaire. Elle permet de trouver les termes dans un contexte thématique, de constituer un fichier personnel et de s’exercer à apprendre du vocabulaire à l’aide de cartes-flash et de jeux de vocabulaire. Comme Mobidico présuppose des connaissances de base dans l’autre langue (A1-A2), l’app ne contient pas de mots ou expression faisant partie du vocabulaire le plus courant. En revanche, on y trouve des termes spécialisés permettant un échange approfondi et précis sur certaines thématiques.

Cerveau et apprentissage, ou les bienfaits de la neuroéducation Aimeriez-vous savoir ce qui se produit dans le cerveau de vos élèves lorsqu’ils apprennent ? Aimeriez-vous connaître les effets qu’ont vos interventions pédagogiques sur le cerveau de vos élèves ? Aimeriez-vous savoir pourquoi certains élèves ont plus de difficultés que d’autres à réaliser certains apprentissages ? Aimeriez-vous appuyer vos décisions pédagogiques sur des fondations solides découlant des recherches de pointe sur le cerveau ? Voici quelques questions que pose l’Association pour la Recherche en Neurosciences (ARN) avec le groupe EDUCO et l’Université du Québec à Montréal (UQAM).

5 conseils pour construire vos cartes mentales - Beneylu Pssst Je constate depuis un certain temps que les enseignants cherchent de nouveaux outils pour contrer les difficultés de mémorisation des élèves. Pour faciliter l’apprentissage, j’ai choisi d’utiliser les cartes mentales dans ma classe. La carte mentale, aussi appelée carte heuristique, topogramme ou « mind mapping » en anglais, est un outil qui respecte le fonctionnement naturel de notre cerveau. Il s’agit de favoriser la mise en lien de nos idées. Les mots-idées sont hiérarchisés et cela permet de faire travailler tout le cerveau : l’hémisphère gauche : mots, logique, détail, analysel’hémisphère droit : forme, couleur, espace synthèse.

LES NEURONES DE LA LECTURE CC Giovanni S. Santos / Flickr Si nos gênes n’ont pas évolué pour nous permettre d’apprendre à lire, c’est l’écriture qui a évolué afin de tenir compte des contraintes de notre cerveau. Une question demeure : pourquoi l’espèce humaine est-elle la seule, parmi les primates, à avoir inventé des symboles parlés ou écrits ?

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