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Incidence des vêtements sur la vie des enfants

Incidence des vêtements sur la vie des enfants
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ChEEk Une classe de CM1/CM2 se mobilise contre le sexisme véhiculé par les yaourts de la marque Yoplait. “Je vous annonce que vous faites du sexisme. Et vous retirez les rêves de certaines filles qui ont voulu devenir: pompier, policier, footballeuse…” – Eyvan. “Une femme peut très bien faire du football. “Je suis navrée de vous signaler que c’est du sexisme. Voici quelques exemples extraits des lettres envoyées par les élèves d’une classe de CM1/CM2 à Yoplait, pour dénoncer le sexisme des yaourts Petits Filous. “Certaines élèves pensaient qu’elles ne pouvaient pas devenir astronautes car elles n’avaient jamais vu de femme astronaute.” Le professeur, lui aussi, s’est fendu d’une lettre à Yoplait, dont il nous a envoyé la copie. Olga Rigue Mise à jour le 23/02/17: Yoplait nous a adressé la réponse envoyée à l’instituteur, que nous publions ci-dessous.

Voici Les Règles Que La Femme Devait Suivre En 1955 Pour être Une Bonne épouse - Curioctopus.fr Il y a seulement 60 ans, précisément en 1955, un journal appelé Housekeeping Monthly offrait un manuel "Le guide de la bonne épouse", une liste d'actions et de comportements que l'on était supposé de faire pour être une femme respectable. Les temps ont bien changé, c'est pourquoi il est intéressant d'en savoir plus! 1. Préparer le dîner avant que le mari rentre du travail: c'est un moyen de lui faire comprendre que vous avez pensé à lui pendant son absence, et que vous prenez soin de ses besoins. 2. 3. 4. 5. 6. 7. Ne l'embêtez pas s'il rentre tard ou s'il sort pour dîner au lieu de passer du temps avec vous. 9. 10. S'offrir de ranger ses chaussures à son arrivée. 12. Des temps qui ont bien changé, vous ne trouvez pas?

«Tenue indécente, tu ne reviens pas comme ça» : dérives sexistes dans un lycée à Valence «Là, ça ne va pas du tout la tenue.» Voilà comment sont accueillies certaines adolescentes du collège et du lycée Emile-Loubet à Valence, dans la Drôme. Tous les matins, la directrice et son adjointe inspectent leurs élèves, en visant exclusivement les filles, et leur demandent de mesurer la longueur des jupes et shorts avec les mains, leur refusent les rouges à lèvres trop foncés et les jeans troués. De simples remarques sexistes aux exclusions indéterminées, les sanctions sont devenues insoutenables pour les lycéennes, impuissantes face à de telles pratiques. Devant les autres élèves de l’établissement public, les jeunes filles sont sommées de respecter «une tenue décente» selon le règlement intérieur, désormais placardé dans les locaux, qui précise les restrictions vestimentaires. Technique de mesure XIXe siècle : la jeune fille doit mettre ses mains le long du corps. «Dévisagées de haut en bas» Des contrôles quotidiens mais aléatoires à lire aussi Sexisme au bureau, à l’attaque !

Renforcer et généraliser aujourd'hui la formation à l’égalité filles-garçons des enseignant.e.s pour construire la société égalitaire de demain Actualités 22 février 2017 Le Haut Conseil à l’Egalité publie le 22 février 2017 son rapport "Formation à l’égalité filles-garçons : faire des personnels enseignants et d’éducation les moteurs de l’apprentissage et de l’expérience de l’égalité" >> pour le consulter dans son intégralité : bit.ly/2m52Lnn L’école est un haut lieu de socialisation et donc de développement intellectuel, social et affectif : les élèves y passent environ 30 heures par semaine pendant les 18 ans que dure en moyenne leur scolarisation. Elle est également à l’image de la société : elle est traversée par des inégalités sociales, liées à l’origine sociale ou au sexe, qu’elle peut reproduire. Pour changer durablement les mentalités et déconstruire les stéréotypes de sexe, l’éducation à l’égalité doit commencer dès le plus jeune âge. Si la mixité est instaurée depuis 1975 à l’Ecole, elle ne garantit pas l’égalité.

Sur le hashtag #harcelementdomicile, des femmes témoignent des messages déplacés qu'elles reçoivent dans leur quotidien Elles sont la cible de messages déplacés jusqu'à leur domicile. Sur Twitter, des femmes témoignent du harcèlement dont elles ont été victimes après avoir communiqué leur numéro ou leur adresse à une entreprise ou un organisme. Tout est parti d'un tweet publié lundi 16 janvier par @_BuffyMars (qui a depuis restreint la lecture de ses tweets à ses seuls abonnés). "Voilà pourquoi je hais quand des techniciens viennent chez moi", écrit l'internaute, accompagnant son tweet d'une capture d'écran d'un SMS. On peut y lire : "Rebonjour c'est le technicien Orange. Juste pour vous dire que vous étiez très jolie et que vous avez un très beau sourire. Après la publication de ce tweet, la jeune femme a été prise à partie par des internautes qui l'ont accusée de menacer la carrière du technicien. Un journaliste me contacte pour faire un article sur moi. Il me l'envoie par mail.Puis un message me disant qu'il voudrait me revoir.

Filles poilues, garçons épilés : l'expérience insolite d'étudiants américains Elles exposent fièrement leurs aisselles poilues, juste à côté de leurs copains tout épilés et tout sourire. Voici le résultat de l'expérience saugrenue qu'a proposée Breanne Fahs, une professeure américaine d'études de genre de l'Arizona State University à ses élèves. Le but : qu'ils éprouvent eux-mêmes l'importance des normes esthétiques selon le sexe, établies par la société. Et ce pendant dix semaines. Soit pas mal de centimètres de pilosité ou de peaux nettes, avec en bonus, quelques crédits supplémentaires pour leur année universitaire. Cette professeure propose à ses élèves, chaque année depuis 2010, de vivre par eux-mêmes les différences de genre et leur poids symbolique dans la société. « Il n'y a pas de meilleure façon de comprendre les normes sociales que de les enfreindre et de voir comment les autres réagissent », explique-t-elle. « Il n'y a vraiment aucune raison que le fait de se raser soit si important. L'exercice pourrait faire des émules à travers le pays.

L’émancipation des femmes, nouvelle génération Par le biais de newletters, podcasts et pure players, les jeunes militantes féministes façonnent une autre image du courant. LE MONDE | 02.03.2017 à 16h57 • Mis à jour le 07.03.2017 à 19h55 | Par Zineb Dryef Le 7 novembre 2016, à 16 h 34, de nombreuses Françaises ont interrompu leur travail durant quelques minutes pour dénoncer l’écart de salaire entre les femmes et les hommes. A l’origine de cette opération largement couverte par les médias, une newsletter hebdomadaire jusque-là plutôt confidentielle, Les Glorieuses. Créée à l’automne 2015 par une jeune économiste, Rebecca Amsellem, cette newsletter ­ « féministe », à la fois « militante et légère », selon l’expression de sa fondatrice, parle autant politique, inégalités dans l’entreprise que sexe et body positive – ce mouvement venu des Etats-Unis qui encourage les femmes à poser un regard bienveillant sur le corps. Nouveaux modèles de la génération Y Pop culture Féminisme intersectionnel Un entre-soi rassurant Du fameux test de Bechdel

PAYE TON TAF “La semaine prochaine, ne mettez pas ce gilet, ça me perturbe.” Lyon — Mon patron, après notre réunion hebdomadaire… J'avais boutonné seulement le bouton du haut : il a passé toute la réunion à éviter de me regarder… dans les yeux… “Je vous demande de ne pas tomber enceinte la première année de votre CDI.” Saint-Etienne — Mon nouveau directeur, sauf que je venais de savoir que j'étais enceinte… “Moi j’aime bien les petits culs serrés…” Toulouse — Mon directeur des ventes regardant une femme dans la rue.. “Je vous préviens, vous n’avez pas intérêt ni à vous marier, ni à tomber enceinte pendant les 4 prochaines années !” Paris — mon futur directeur de thèse. “Hmm super, je vais même pouvoir en profiter pour embrasser une jolie jeune fille.” Clichy-la-Garenne — un élu municipal que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam, dit en s'avançant vers moi pour me faire la bise car j'ai les mains prises et ne peux pas lui serrer la main (il vient de serrer la main de tous mes collègues)

féministe et poilue, elle fait enrager la toile avec une photo de son ventre Suraiya ou @iranikanjari, si vous la suivez sur Twitter, a fait sensation ces derniers jours sur la toile. La jeune fille a posté quelques photos d'elle sur son compte. En culotte et t-shirt, sa ligne de poils sur le ventre y est bien visible. La jeune étudiante âgée de 18 ans d'origine indienne, iranienne et pakistanaise vit au Texas. Suraiya ne s'est pas laissée abattre. Qu'est-ce qui t'a incité à poster ce selfie sur Twitter ? Est-ce que tu pensais que les réactions seraient si virulentes et que ton post ferait le tour de la toile ? Ce post a suscité des réactions très divergentes. Ta famille n'a pas très bien pris ton ascension médiatique sur la toile. Pourquoi la pilosité chez les femmes demeure un tabou selon toi et en quoi ce sujet touche la cause féministe ? Quel est le regard que porte la culture occidentale sur le corps noir ou de couleur et pourquoi doit-il changer ? Tu as des filles qui t'inspirent ou que tu admires particulièrement ? @iranikanjari

BD : haut les femmes Les Culottées -Tome 2 de Pénélope Bagieu édité par Gallimard BD Une vulcanologue célèbre, Katia Krafft, la première femme astronaute noire, Mae Jemison, une miniaturiste du crime, Frances Glessner Lee, une Robin des bois indienne, Phulan Devi... Dans ce deuxième tome des "Culottées", Pénélope Bagieu poursuit son oeuvre d'utilité publique : faire connaître des destins féminins peu ou pas connus. ►►► ALLER + loin : Lire l'interview de Pénélope Bagieu Le Problème avec les femmes de Jacky Fleming publié chez Dargaud « Autrefois, les femmes n’existaient pas, et c’est pour cette raison qu’elles sont absentes des livres d’histoire. Ce livre a reçu le prix humour-Artémisia qui récompense une BD féminine : Idéal standard d’Aude Picault publié chez Dargaud La quête de l’être aimé au féminin. Les Cent nuits de Héro d’Isabel Greenberg chez Casterman (à paraître en février) ALLER + LOIN : Festival d'Angoulême 2017, le journal de bord

PAYE TA FAC Pourquoi déteste-t-on les femmes poilues?* Temps de lecture: 17 min Non, Slate ne déteste pas les femmes poilues. Notre série «Pourquoi déteste-t-on les…?» recense les préjugés courants pour mieux les démonter. Roux, supporters, gros, journalistes… Retrouvez chaque semaine la déconstruction d'un nouveau stéréotype. Tous les épisodes de la série «Pourquoi déteste-t-on les...?» Vous rappelez-vous comment vous vous êtes rendu compte que vous aviez des poils? «Quand j’étais en sixième, un élève de ma classe s’est moqué de mes poils de jambes en pensant que je ne l’entendais pas.» Dans l’imaginaire collectif, la pilosité féminine, en particulier quand elle est abondante, est signe de saleté, de folie, de bestialité, de radicalité politique, d’homosexualité. Poil de bête «Les anthropologues ont commencé à s’intéresser à ces questions pour comprendre les différences raciales et non les différences de genre», explique Rebecca Herzig qui a consacré un livre, Plucked: A History of Hair Removal à l’étude de la pilosité. Progrès marginal

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