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« Ceux qui ne sont jamais arrivés », une image du naufrage migratoire en Méditerranée - Levi Westerveld - Visionscarto

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[BILLET] Une carte à abattre – Carnet (neo)cartographique Camarades cartographes, je suis en colère. Depuis quelques semaines, une carte circule sur Internet. Largement relayée sur les réseaux sociaux, cette carte issue du site Lucify, met en scène les flux de demandeurs d’asiles vers l’Union européenne sur la période 2012-2015. Risques naturels et migrations internes dans le monde - Cartolycée Le thème 4 du programme de géographie de seconde, « Gérer les espaces terrestres », propose une question relative aux espaces exposés aux risques majeurs Éduscol. Les productions partagées ici s’intéressent aux risques naturels. Ceux-ci sont nombreux et les phénomènes représentés par les deux documents cartographiques ne constituent qu’une partie des aléas naturels auxquels les sociétés doivent faire face. Un rapport de la Banque mondiale daté de mars 2018 cible sur les migrations internes liées au dérèglement climatique qui accentue certains de ces risques naturels : « Dans seulement trois régions, le changement climatique pourrait forcer plus de 143 millions de personnes à se déplacer à l’intérieur de leur pays d’ici 2050 » Les migrants climatiques internes projection 2050

France. Ces citoyens qui aident les migrants à traverser les frontières Sur les hauteurs de la Côte d’Azur, certains habitants se mobilisent pour aider les migrants africains bloqués en Italie à poursuivre leur route vers le nord. Reportage. Breil-sur-Roya, France — Par un bel après-midi ensoleillé, une dizaine d’hommes, de femmes et d’enfants sont assis autour d’une table en bois chez Cédric Herrou, un agriculteur de 37 ans. Ils se demandent en riant qui cuisinera ce soir-là. Cela pourrait n’être qu’une simple réunion de famille dans le décor bucolique des Alpes françaises, juste au nord de la frontière italienne. Mais la réalité est bien différente.

Neuf millions de personnes déplacées de force dans leur propre pays depuis le début de l’année La moitié des migrations internes contraintes est imputable à des événements climatiques extrêmes, l’autre aux conflits. Guerres, conflits, violences et catastrophes naturelles ont poussé 9,1 millions de personnes sur les routes de l’exode au cours de la première moitié de l’année 2017, selon le dernier bilan dressé par l’Observatoire des situations de déplacement interne (Internal Displacement Monitoring Center, IDMC) publié le 16 août. Cet organisme, fondé en 1998 par le Conseil norvégien pour les réfugiés, s’attache au suivi des « déplacés internes », c’est-à-dire des personnes contraintes de fuir à l’intérieur des frontières de leur propre pays. Ces dernières ne bénéficient à ce jour d’aucun statut juridique particulier leur assurant une protection internationale, à la différence des réfugiés demandant l’asile dans un autre pays.

Les réfugiés Rohingyas (storymap) Services de santé Les cinq partenaires médicaux du HCR et nos trois partenaires pour les questions alimentaires continuent d’apporter des soins de santé primaires et d’orienter les réfugiés rohingyas dans les postes sanitaires des camps de Kutupalong de Nayapara, ainsi que sur d’autres sites et dans les hôpitaux spécialisés soutenus par le HCR à Cox's Bazar, Ukhiya et Teknaf. A la date du 14 janvier 2018, on comptait 149 dispensaires et 20 centres de vaccination sur le Site d’extension de Kutupalong-Balukhali. Amnesty International fustige “l'égoïsme des pays riches” envers les réfugiés Dans un rapport publié ce mardi 4 octobre, l'organisation mondiale de défense des droits de l'Homme fait état des politiques d'accueil des migrants dans le monde, inaugurant ainsi une campagne d'information qui durera deux ans. Mardi 4 octobre, Amnesty International publie un rapport intitulé Tackling the global refugee crisis : from shirking to sharing responsibility (Lutter contre la crise globale des réfugiés : des manquements au partage des responsabilités). Ce rapport rappelle que dix pays dans le monde accueillent, à eux seuls, 56 % des réfugiés. Le Liban ou la Jordanie, par exemple, hébergent respectivement 1,7 et 2,7 millions de réfugiés, en majorité des Syriens ayant fui le conflit voisin.

Routes migratoires, cap sur l'Europe ! Vous l’aurez remarqué la question des migrants et des réfugiés occupe le devant de l’actualité. Aujourd’hui, cet afflux aux portes de l’Europe s’explique notamment par la multiplication des conflits, en Syrie et en Afrique notamment, mais aussi par la quête de meilleures conditions économiques, qui ne relève pas du droit d’asile. Selon l’agence européenne Frontex, il existe cinq routes empruntées par les migrants actuellement. La voie terrestre de l’Europe orientale, tout d’abord. Faiblement fréquentée depuis la fermeture de la Pologne, de la Hongrie et de la République Tchèque aux demandeurs d’asile, cette route était empruntée par 588 personnes seulement entre janvier et septembre 2017. Il s’agit essentiellement de vietnamiens, ukrainiens et russes, mais aussi parfois d’afghans et de syriens.

Les réfugiés en cartes: chemins, murs, accueil Cette carte est réalisée par Morgane Dujmovic, doctorante en géographie (attachée au laboratoire TELEMME de l'Université Aix-Marseille/CNRS) en recherche à l'Université de Zagreb. Elle est issue de deux entretiens réalisés à Zagreb avec un migrant placé en camp pour demandeurs d’asile, qui a effectué la « traversée des Balkans » depuis le Maroc. De nombreux détails du parcours ont été volontairement occultés. Depuis plusieurs années les routes migratoires des Balkans sont réactivées par des migrants originaires du Proche et Moyen-Orient, d’Asie et d’Afrique. En 2015, le phénomène s’accentue: sur le premier semestre de l’année, on estime par exemple à un millier le nombre de migrants qui transitent chaque jour par la Serbie. À la même période, 80.000 demandes d’asile sont enregistrées en Hongrie, contre 43.000 sur l’ensemble de l’année 2014.

L’immigration africaine sous le regard de la Science Depuis plusieurs années, les images choquent. Venant principalement de Libye, de très nombreux migrants africains meurent en Méditerranée ou bien sont recueillis de justesse par les bateaux de secours des ONG qui se voient refuser l’accès aux ports de certains pays européens. Mais est-ce bien là l’entière réalité des migrations africaines? «En réalité les départs vers l’Europe constituent environ 30% des vagues migratoires africaines qui restent en grande majorité internes au continent » pondère Flore Gubert, directrice du département Sociétés et mondialisation à l’IRD et économiste au laboratoire Développement, Institutions et Mondialisation (DIAL).

Plus de 2 000 hommes, femmes et enfants sont morts « aux portes de l’Europe » en 2015 Depuis quelques années, la Méditerranée a hérité du surnom de « cimetière des migrants ». Venus pour l’essentiel de Libye, du Soudan, d’Erythrée, de Syrie ou d’Afghanistan, ils sont plus de 2 000 hommes, femmes et enfants à avoir perdu la vie en mer en tentant de rejoindre les côtes italiennes ou grecques depuis janvier, selon l’Organisation internationale pour les migrants (OIM). « Malheureusement, nous avons atteint ce week-end un nouveau niveau avec plus de 2 000 migrants et réfugiés morts » en 2015, en tentant la traversée, a annoncé Itayi Virri, porte-parole de l’OIM dans un communiqué.

Les trente agglomérations les plus peuplées 1950 - 2015 En 1950, 30% de la population mondiale résidait en ville. En 2018, le pourcentage est de 55% et les Nations Unies estiment que ce pourcentage approchera les 70% (68%) en 2050. Un regard sur l’évolution de la localisation géographique des très grandes agglomérations à travers quatre cartes qui situent les trente villes les plus peuplées (selon les chiffres des Nations Unies) entre 1950 et 2015. La dernière carte, une projection pour 2030 confirme l’entrée dans une ère des mégapoles.

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