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Une I.A. remplace 34 employés d'une assurance au Japon - Tech

Une I.A. remplace 34 employés d'une assurance au Japon - Tech
Une assurance japonaise utilisera une I.A. pour remplacer 34 de ses employés. La machine devra effectuer des activités de vérification et des procédures d'analyse sur les dossiers des clients. Une I.A., la « IBM Watson Explorer », remplacera 34 employés d’une assurance vie japonaise, la Fukoku Mutual Life Insurance, dans les jours à venir. Notamment, l’I.A. devra analyser les certificats et les antécédents médicaux des clients, déterminer les paiements et facturer les dépenses médicales. L’entreprise a dépensé 200 millions de yen (1,7 million de dollars) sur ce nouveau système, qui nécessitera une maintenance annuelle d’un coût de 128 000 dollars. D’après leur communiqué de presse, l’I.A. sera intégrée aussi dans le travail de vérification d’évaluations des paiements pour « améliorer le service client en améliorant la précision de l’évaluation du paiement. » L’époque où les emplois de service seront remplacés par des machines semble se rapprocher. Related:  Intelligence artificiellefkiecken

Les objets connectés se marient à l’intelligence artificielle au CES, High tech La start-up Boltt est au CES pour lancer ses objets connectés de fitness renforcés par l'intelligence artificielle. Ce lancement est symptomatique du mariage qui s'opère à Las Vegas entre les objets connectés et l'intelligence artificielle. Les objets connectés sont en effet rois au CES depuis plusieurs années. Cependant, il ne suffit plus de capter des données (le nombre de pas effectués, le nombre de calories brûlées, etc.) : si les objets ne font qu'afficher des chiffres brutes, ils ne sont pas plus intelligents que d'autres. C'est pourquoi les start-up proposent désormais d'associer le pouvoir de l'intelligence artificielle aux objets connectés. Boltt lance donc, en plus d'un bracelet et de chaussures connectés, un coach via de l'intelligence artificielle capable d'analyser ces données et de donner des conseils personnalisés. Une brosse à dent connectée nourrie d'intelligence artificielle L'atelier BNP Paribas, édité par Les Echos

Lecture critique de « À quoi rêvent les algorithmes » À quoi rêvent les algorithmes, Nos vies à l’heure des big data, Dominique Cardon, La république des idées - Seuil, Octobre 2015. Le travail de Dominique Cardon apparaît à la fois d’une grande nécessité, et souffrant de plusieurs défauts. L’auteur focalise son discours et notre attention sur les algorithmes sans chercher à donner de définition de ce qu’il considère comme tel. Ce livre ne parle pas des algorithmes mais d’outils informatiques. L’informatique n’est pas Internet. À l’heure où d’importantes discussions sont en cours à propos des programmes à introduire dans l’enseignement secondaire sur l’informatique, il est important de faire entendre cette différence. On retrouve ces approximations dans les définitions du livre à propos de machine learning, d’intelligence artificielle, ou de traitement automatique des langues. Le machine learning est un champ d’étude de l’informatique qui s’intéresse aux algorithmes de reconnaissance de motifs et d’apprentissage. Chapitre 1. Chapitre 2.

CES: le «big bang» de l'intelligence artificielle | Jean-François Codère | Techno Fondée en 1993, Nvidia était surtout connue dans l'univers du jeu vidéo, où ses processeurs graphiques ont permis de faire exploser la qualité visuelle. C'était jusqu'à tout récemment, quand les chercheurs en apprentissage profond, la branche la plus en vue de l'intelligence artificielle présentement, ont découvert le potentiel des processeurs graphiques. « L'apprentissage profond avait un immense handicap, et c'était que la capacité de calcul nécessaire, la quantité de données qu'il était nécessaire de traiter, était absolument énorme », a raconté dans le discours d'ouverture officiel du CES le président et cofondateur de Nvidia, Jen-Hsun Huang. « Et un jour, un jour, les chercheurs ont croisé le processeur graphique, que nous avons inventé, et le big bang de l'intelligence artificielle moderne est survenu. » - Jen-Hsun Huang, président et cofondateur de Nvidia Ces progrès fulgurants s'expriment maintenant de multiples façons. Ce n'est pas tout. « La société tolère l'erreur humaine.

Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? C’est de ce postulat que sont partis deux chercheurs pour réfléchir à une façon d’éviter que cela n’arrive. Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. « Il peut être nécessaire pour un opérateur humain d’appuyer sur le gros bouton rouge pour empêcher l’agent de poursuivre une séquence d’actions – dangereuse pour lui ou son environnement. (…) Néanmoins, si l’agent apprenant s’attend à recevoir une récompense à l’issue de cette séquence, il pourrait apprendre sur le long terme à éviter de telles interruptions, par exemple en désactivant le bouton rouge. » « Réfléchir à un certain futur »

La révolution des neurones artificiels Traduction automatique, conduite autonome : les progrès de l’intelligence artificielle s’appuient sur les réseaux de neurones, une vieille idée relancée par les géants de l’informatique. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par David Larousserie L’année 2016 aura été celle des grandes percées en intelligence artificielle. En mars, le programme ­AlphaGo de la filiale de Google DeepMind battait un champion coréen au jeu de go par quatre victoires à une. En novembre, une équipe d’Oxford et de Google décrivait son programme de lecture sur les lèvres, surpassant nettement les meilleurs programmes, déjà supérieurs à l’être humain. Le point commun de cette vague de succès est une petite révolution technique qui prend ses racines à la fin des années 1940, s’éteint presque, puis renaît et écrase la concurrence à partir de 2012, jusqu’à se répandre partout : automobile, aide au diagnostic médical, reconnaissance d’images, compréhension du langage ­naturel, traduction…

Sophia, le robot de Hanson Robotics qui va vous faire peur INTERVIEW. Ah, quel chemin parcouru depuis Frankenstein ! En ce mois de mars 2016, le "créateur" a pour nom David Hanson - c'est un entrepreneur américain dont la société, "Hanson Robotics", s’est spécialisée dans la fabrication de robots anthropomorphes (Human-like, disent les anglo-saxons, voire même very human-like pour les plus ressemblants). Quant à la "créature", il s'agit de Sophia. Sans nul doute le chef-d'œuvre de David Hanson ! Crédit : CNBC Crédits : Hanson Robotics Washington s'inquiète des conséquences de l'IA sur le monde du travail - Politique Un document du gouvernement américain publié récemment souligne la préoccupation de Barack Obama et de son administration sur les enjeux futurs concernant les avancées de l'intelligence artificielle, notamment en ce qui concerne le monde du travail. Un rapport publié le 20 décembre dernier par l’administration du président des États-Unis souligne que beaucoup d’emplois sont aujourd’hui menacés par l’avancée de l’intelligence artificielle. En effet, le document, intitulé « Intelligence artificielle, Automatisation et Économie », souligne : « La direction que prend l’IA nous permet de prévoir certaines choses, par exemple en ce qui concerne les emplois liés aux transports et au ménage, des métiers moins qualifiés. « Entre 2.2 et 3.1 millions d’emplois à plein temps et à temps partiel seraient menacées (…) » À vrai dire, le gouvernement s’inquiète pour ces changements à venir, mais les considère nécessaires pour la croissance de l’économie américaine.

Une intelligence artificielle de Google capable de discuter du sens de la vie Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Humain — Quel est le but de la vie ? Machine — Etre au service du plus grand bien. Humain — Quel est le but des êtres vivants ? Machine — Vivre éternellement. Humain — Quel est le but des émotions ? Cet échange est extrait d’une conversation entre des chercheurs de Google et une intelligence artificielle qu’ils ont eux-mêmes développée. « Ce qui distingue ce chatbot des autres, c’est qu’il utilise des techniques d’apprentissage », explique Jean-Gabriel Ganascia, chercheur au laboratoire d’informatique de Paris 6 et auteur d’Idées reçues sur l’intelligence artificielle. « Quand le programme repère telle phrase ou tel schéma, il répond telle phrase. Or, l’agent conversationnel développé par les chercheurs de Google n’a, lui, pas de réponse préconçue. « Qui est Skywalker ? Humain — Qui est Skywalker ? Un résultat que les chercheurs jugent prometteur, comme ils l’écrivent dans leur article : Le test de Turing est encore loin

Quand l’intelligence artificielle révolutionne la traduction automatique La machine va-t-elle rattraper puis dépasser l'homme dans tous les domaines, même ceux qui exigent des qualités poussées de compréhension, de contextualisation, d'anticipation, de finesse, bref, des caractéristiques profondément humaines ? Au début de l'année, le meilleur joueur de go au monde a été battu à la loyale par une intelligence artificielle de Google. L'exploit paraissait pourtant impossible, mais la machine, dopée à l'intelligence artificielle, au deep learning (apprentissage en profondeur) et enrichie par le big data (analyse des données à grande échelle) a prouvé qu'elle pouvait anticiper le jeu et faire preuve de créativité dans les coups, jusqu'à battre le champion du monde. L'intelligence artificielle va bouleverser la traduction Quid de la traduction ? Cela va changer. Systran lance sa solution de traduction neuronale pour les entreprises Ce réseau comprend 3.000 lignes de codes, soit davantage, d'après l'entreprise, que celui de Google Translate.

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