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Que doivent savoir les étudiants du 21e siècle ?

Que doivent savoir les étudiants du 21e siècle ?
Alors que, sur le terrain, des initiatives fleurissent pour essayer de faire changer l’université, on sent qu’il s’agit là d’une phase transitoire, avec ses pionniers et ses réfractaires, ses idéaux et ses tâtonnements. Il faut dire que l’université est traversée par trois transformations majeures qui font évoluer sa mission de diffusion du savoir. La première, c’est la démocratisation de l’enseignement supérieur. On compte aujourd’hui plus de 2,5 millions d’étudiants, des effectifs en hausse constante depuis huit ans. La deuxième transformation qui touche l’université est liée au fait que nous vivons dans une société de la connaissance. Depuis les années 90, plus la moitié des richesses des pays de l’OCDE repose sur l’industrie de la connaissance. C’est le troisième bouleversement majeur auquel doit faire face l’université : la révolution numérique. Désormais, la connaissance est hébergée dans les data centers et touche un public universel, par-delà les institutions. Related:  Autour de culture numérique et éducationPédagogie universitaire

Humanisme numérique : réseau scientifique international dédié à l'humanisme numérique Anne Aubert : "En formation continue, les universités doivent répondre à une demande sociétale" Quasiment un an après la désignation des 12 lauréats de l'appel à manifestation d'intérêt (AMI) pour le développement de la formation tout au long de la vie dans les établissements d'enseignement supérieur, quel bilan peut-on tirer ? D'abord, ça a fait le buzz. Les universités et écoles commencent à être prises en compte par les entreprises, les Opca, les Opacif et par les organismes de formation privés ou semi-privés. Tous ces acteurs se disent que les établissements du supérieur ont un rôle à jouer dans la formation continue. Ensuite, une réelle dynamique s'est mise en place entre les 12 lauréats. Et que faut-il retenir des rencontres avec les entreprises ? Les entreprises veulent de la réactivité : ne pas attendre six mois entre leur première demande et la première proposition ; obtenir des réponses ponctuelles grâce à des formations d'un ou deux jours, et non de trois mois ; avoir la possibilité de négocier les tarifs. Ces besoins trouvent-ils une réponse ? Une bonne place.

Loi de Murphy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Tout ce qui est susceptible de mal tourner, tournera nécessairement mal[trad 1]. » — Edward A. Murphy Jr. Selon une variante plus détaillée de la loi, « S'il existe au moins deux façons de faire quelque chose et qu'au moins l'une de ces façons peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu'un quelque part pour emprunter cette voie. » On peut interpréter cette loi de deux manières : l'une, humoristique, est de prendre cette loi à la lettre, et de l'ériger en principe de pessimisme. L'autre vision consiste à voir la loi de Murphy comme une règle de conception : on ne considère pas la loi de Murphy comme vraie, mais on conçoit tout système comme si la loi était vraie. Énoncés[modifier | modifier le code] L'origine et l'expression précise de la loi de Murphy n'étant pas claire[2], donnons les énoncés les plus courants : « Si ce gars a la moindre possibilité de faire une erreur, il la fera[trad 2]. » — version d'Edward Murphy[2]

Veille et Analyses de l'ifé Dossier de veille de l'IFÉ : La différenciation pédagogique en classe N° 113, novembre 2016 Auteur(s) : Feyfant Annie Télécharger la version intégrale du dossier (version PDF) Résumé : Le constat de l’accroissement des inégalités scolaires en France, relevé par les dernières évaluations PISA et par le récent rapport du CNESCO, alarme les partenaires de l’école et relance le débat de « la gestion de l’hétérogénéité des élèves ». La réponse classique à cette diversité (culturelle, sociale, scolaire, cognitive, etc.) a été d’envisager une pédagogie différenciée ou une différenciation pédagogique. Ce dossier interroge bien sûr le concept quant au(x) sens à lui donner et aux principes mis en avant par les uns et les autres. Abstract : The observation of the increase in educational inequality in France, noted by the latest PISA results and the recent report of CNESCO, alarm the school partners and revive the debate about "managing the heterogeneity of the students."

L'Agence des Usages Les chercheurs du domaine tendent à élaborer des environnements de réalité virtuelle dédiés à l’enseignement de savoirs ou de concepts abstraits. En effet, il s’agit de fournir un apprentissage plus adapté, grâce à l’immersion, à l’interaction et à la possibilité de naviguer et de dévoiler des caractéristiques du monde réel, difficiles voire impossibles d’accès (par exemple, les abysses, l’espace, l’infiniment petit, l’infiniment grand, etc.). Ainsi, plusieurs d’entre eux sont particulièrement destinés à l’apprentissage en sciences. Dès 2003, des chercheurs de l’Institut des sciences de l’éducation (Shim et al., 2003), en Corée, ont ainsi développé et évalué l’efficacité d’un environnement de réalité virtuelle dédié à l’apprentissage de la biologie pour des élèves de collège (15-16 ans).

Méta-analyse qualitative (ULg) La méta-analyse qualitative est une démarche scientifique rigoureuse de revue critique de la littérature qui est dérivée de la méta-analyse statistique (quantitative) et qui permet de faire le point sur une question dans des conditions de grande variabilité entre les études. Une étude comparative de la méta-analyse quantitative et qualitative a été réalisée et est présentée dans le tableau 1. Nous avons détecté des similitudes au niveau des deux démarches: 1. la définition claire de l'objectif à priori, avant toute considération des résultats 2. l'établissement d'un profil de recherche large et la recherche d'informations dans plusieurs bases de données, en évitant l'introduction de biais 3. l’évaluation de la qualité par attribution d'un indice de qualité et la définition d'un seuil d'exclusion 4. l'extraction des données qui consiste: 5. la synthèse qui consiste: D'Agostino RB, Weintraub M.

Culture numérique Comment bien réviser? Dans son article « Apprendre à réviser est un vrai métier », André Giordan, professeur de l’Université de Genève, analyse ce qu’est la révision en vue d’une évaluation. D’entrée de jeu, André Giordan affirme que l’apprentissage et l’évaluation ne requièrent pas nécessairement de moment de révision; la réalisation d’un projet, par exemple, est une activité d’apprentissage et d’évaluation ne demandant pas de période de révision de la part de l’apprenant. Apprendre à l’école, au collège se limiterait-il à mémoriser des savoirs partiels pour répondre à des épreuves stéréotypées. […] Peut-être un jour bannira-t-on les révisions pour véritablement favoriser l’apprendre? (Giordan, 2016, p. 5) Or, puisque la révision est un passage obligé pour bien des élèves et des étudiants, le chercheur partage sa conception d’une bonne révision. [Pour une consultation sur mobile, cliquez ici] [Consultez l’article] Pour aller plus loin, le RIRE vous suggère quelques articles sur le même thème : Comment étudier?

Qu'est-ce que le Digital Labor Par Antonio A. Casilli. « Le digital labor est avant tout un domaine derecherche universitaire en plein essor. Aux États-Unis, en 2009, « The Internet as playground and factory » a été la première conférence sur ce sujet (les actes ont été publiés en 2012 sous le titreDigital Labor. The Internet as playground and factory, sous la direction de Trebor Scholz[+] NoteTrebor SCHOLZ (dir.): Digital Labor :The Internet as Playground andFactory, New York, Routledge, 2012. [1]. [2], chercheur autrichien en activité en Angleterre. [3] et, en novembre 2014, la New Schoolde New York a accueilli un autre colloque sur lesujet : Digital Labor : Sweatshops, Picket Lines, Barricades[+] Note Voir le site web de la conférence [4]. Mais qu’est-ce que, finalement, le digital labor ? En revanche, nous devons nous situer en dehorsdes lieux classiques de la production, pour voirapparaître ce travail. Ce n’est, là, qu’un premier noyau de notre définition.

Que dit la recherche à propos de l’usage des « jeux sérieux » L’une des préoccupations des enseignants est de rendre l’apprentissage agréable pour les élèves. Pour y parvenir, certains utilisent les « jeux sérieux » pour favoriser la motivation des jeunes ayant grandi dans un monde « 2.0 ». Mais le jeu sérieux comme stratégie d’apprentissage a-t-il fait ses preuves du côté de la recherche? Shutterstock / Monkey Business Images Qu’est-ce qu’un jeu sérieux? Selon un article publié par l’Agence nationale des Usages TICE, un jeu sérieux, c’est un outil numérique; un logiciel, qui reproduit les caractéristiques des jeux vidéos pour favoriser le développement de compétences et l’acquisition de connaissances chez celui qui l’utilise. L’évaluation des jeux sérieux Plusieurs études ont été réalisées pour évaluer l’efficacité des jeux sérieux. L’impact des jeux sérieux sur l’apprentissage L’utilisation du jeu sérieux en classe Les apprentissages à l’âge du numérique Conclusion [Consultez l’article] Source de l’image : Shutterstock / Monkey Business Images

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