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Christo & Jeanne-Claude

Christo & Jeanne-Claude

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Peter Fischli et David Weiss Le 27 avril dernier, la mort de David Weiss (né en 1946, à Zurich) est discrètement annoncée par les médias. Une série de modestes hommages est rendue sur la toile, les réseaux sociaux, comme dans la vie. Sculpteur et dessinateur, il mène une première partie de sa carrière en solo, jusqu’à sa rencontre avec Peter Fischli (né en 1952, à Zurich) avec qui il a travaillé pendant trente trois années. Une intense collaboration qui a donné vie à une œuvre décalée, poétique, caustique, critique et ironique. Ensemble, ils sont parvenus à survoler les pratiques contemporaines tel un ovni loufoque et complexe dont l’œuvre interroge non seulement les institutions culturelles et médiatiques, la critique, le marché, mais aussi l’art en lui-même : sa construction, ses classifications et ses normes.

Jean Tinguely; Niki de Saint Phalle Le Cyclop - La Tête Maquette 1986 Jean Tinguely; Niki de Saint Phalle Le Cyclop - La Tête Maquette Le Ballet triadique ou quand l’interprète devient décor Les danseur.se.s du Bayerisches Saatsballett II (Jeune Ballet de Munich), grâce au Tanzfonds Erbe, ont foulé les planches de l’Akademie der Künste pour nous plonger au cœur du Ballet triadique d’Oskar Schlemmer (1888-1943), créateur polymorphe et scénographe du Bauhaus, qui renouvela le corps à travers la forme pour mieux traduire les énergies contemporaines. Le Ballet triadique, rythmé par une partition tout particulièrement stridente de Hans-Joachim Hespos, s’apparente à une sculpture chorégraphiée, alliant poésie mathématique et liberté contrôlée. Le Ballet triadique d'Oskar Schlemmer et Gerhard Bohner - Nagisa Hatano Selon Oskar Schlemmer, ce ballet ʺdoit son origine à une imagination ludique, au plaisir premier de la forme, de la couleur et de matériaux particuliers avec lesquels sont fabriqués les masques et les costumesʺ.

Daniel Arasse - Histoire de peintures Colloque en hommage à Daniel Arasse (ENS Ulm juin 2006) les audios et les vidéos semblent disponibles via Internet Archive Ouverture Le clin d’œil de saint Sébastien (le 8 juin 2006) - Karim Ressouni-Demigneux Le reflet, un détail-emblème de la représentation en peinture (XVe-XVIe siècles) - Diane Bodart La question du regard dans les œuvres tardives de Giovanni Bellini - Philippe Morel Voir ne pas voir - Hubert Damisch La part de l’oeil - Diane Bodart, Hubert Damisch, Éric Darragon, Philippe Morel et Karim Ressouni-Demigneux Discussion suite à la séance présidée par Éric Darragon Eheu vincit Venus: Love and Desire in 16th century Florence - Elizabeth Cropper The Passion of Adonis - David Rosand Nicolas Poussin and the Invention of the Mythological Idyl - Charles Dempsey L’érotique arassienne - Yves Hersant Figures de l’amour - Jean-Loup Bourget, Elizabeth Cropper, Charles Dempsey, Yves Hersant et David Rosand Discussion suite à la séance présidée par Jean-Loup Bourget

Marina Abramovic et Ulay, le couple mis en tension Le « couple » Marina Abramović et Frank Uwe Laysiepen, alias Ulay, se forme en 1976, après une rencontre fulgurante en décembre 1975, alors que Marina Abramović réalise une performance à Amsterdam. Tous deux nés un 30 novembre, ils ont, douze ans durant, une relation symbiotique et une pratique artistique totalement dévouée à la performance. Ils font de leurs corps leur médium, parlant d’eux-mêmes comme d’un « androgyne ». La performance Rest Energy est exécutée à une date charnière marquant la fin des relation works et le début de l’« épuisement de la relation ». De cette action restent vidéo et photographie. « La flèche est dirigée vers le coeur de Marina. De petits microphones sont attachés à chacun de nos coeurs, enregistrant le nombre croissant de battements de coeur. » Le corps des artistes met en tension l’arc, moderne Cupidon, qui frappe sa victime d’une flèche empoisonnée.

Présence Panchounette, Présence Panchounette 3 Septembre - 8 Octobre 2016 Vernissage Samedi 3 Septembre de 11h à 21h. La galerie Semiose est heureuse de présenter sa troisième exposition-souvenir consacrée à Présence Panchounette.Actif de 1969 à 1990, le groupe d’origine bordelaise Présence Panchounette était un collectif à géométrie variable. Leur manifeste, publié en 1969 sous le nom d'Internationale Panchounette, annonçait une impérieuse envie de tout dégommer, avec style et emphase. « Qu'est-ce que l'Internationale Panchounette ?

Sol LeWitt. Dessins muraux de 1968 à 2007 Le Centre Pompidou-Metz met à l’honneur l’artiste conceptuel américain Sol LeWitt (1928-2007) en lui dédiant un projet inédit. En Galerie 2, sur une superficie de 1 200 m2, est présentée une rétrospective des wall drawings (dessins muraux) de Sol LeWitt d’une envergure sans précédent en Europe : avec ses trente-trois oeuvres murales, parcourant la carrière de l’artiste de ses débuts à ses dernières réalisations, l’exposition du Centre Pompidou-Metz propose l’ensemble de wall drawings le plus important jamais présenté en Europe. À la faveur d’un partenariat exceptionnel avec des écoles d’art et d’architecture du Grand Est, la réalisation des wall drawings au Centre Pompidou-Metz illustre parfaitement le principe de collaboration au coeur de la pratique de l’artiste. En 2013, le Centre Pompidou-Metz présente Sol LeWitt collectionneur.

La machine dans l’art Machine à rêver, machine volante, machine à peindre, machine à calculer, machine à remonter le temps, l’homme a, de tous temps, rêvé d’accroître sa puissance en inventant de tels instruments. Mais il y a son revers avec les machines de guerre, les machines à tuer, les machines à torturer. Comme dans toutes les inventions scientifiques, la machine peut revêtir un côté positif mais aussi un négatif. Gérard Tisserand Peintures: " La Coopérative des Malassis " 1968 CINQ JEUNES PEINTRES ROMANTIQUES 1977"Mythologies quotidiennes"A.R.C.Musée d'Art Moderne Paris 1977Collection du Musée de Dôle"Nous ne sommes pas des peintres contestataires mais des peintres contestés"(Coopérative des Malassis) GRENOBLE ECHIROLLES 1974/19752000 m2Décoration sur les façades du Centre Commercial et Culturel d'Echirolles à la demande de la municipalité.Le radeau de la Méduse de Géricault est pris en référence en même temps que les graves incidences politiques de la société. L'AFFAIRE GABRIELLE RUSSIER 1970La mort de Gabrielle Russier n'est pas un incident regrettable,un abus de la détention préventive,une affaire provinciale venue d'un autre âge.Elle est l'aveu d'une logique interne bien dissimulée par les déclarations d'intention que sont les codes moraux,judiciaires,éducatifs.Comme sont dissimulés par les déclarations d'intention toutes les formes d'exploitation et les "pacifications" mortelles de l'impérialisme. ( Michel Troche )

D’après De Kooning, Willem (1904 – 1997) – TABLEAUX DISPARUS Avec Erased de Kooning Drawing (1953), Robert Rauschenberg, un artiste américain néo-Dada, admirateur de Marcel Duchamp, adepte de l’art performant, avait envisagé de produire une œuvre qui serait le résultat, non d’ajouts de matériau sur un support, mais qui serait dû au retrait de ce qui rendait l’œuvre visible. Rauschenberg a d’abord essayé d’effacer ses propres dessins, Mais cela ne pouvait le satisfaire. Il lui fallait réaliser un acte négatif en s’affrontant à une œuvre de valeur incontestable. Comme Duchamp avec la Joconde, il s’agissait pour lui de provoquer le public avec humour, et pour cela de se confronter à l’œuvre d’un artiste reconnu.

Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely évoquent leur travail commun L'extrait s'ouvre sur la cour de l'atelier de Jean Tinguely à Soisy-sur-Ecole (« Tinguerly » dans le commentaire) et les œuvres mécaniques qui ont été choisies avec celles de Niki de Saint-Phalle pour la terrasse supérieure du pavillon suisse de l'Exposition Internationale de Montréal en 1967. Les deux « jeunes artistes » nous sont présentés au travail : Tinguely soude dans la cour de son atelier et Saint-Phalle peint des plâtres monumentaux dans le sien, à Paris, « où travaille toute une équipe ». Niki de Saint-Phalle explique à la demande d'Adam Saulnier que les sculptures sont taillées dans le polystyrène au fil chaud. Le polystyrène expansé étant composé de billes et résultant de la chimie des hydrocarbures, il réagit comme le plastique au chauffage et peut ainsi être moulé et découpé aisément.

Nous vous l’annoncions en direct de la FIAC, Le prix Marcel Duchamp – qui est la plus prestigieuse récompense française dans le domaine de l’art contemporain – a été décerné aux deux plasticiens français Daniel Dewar et Gergory Gicquel. Comme le veut la tradition, les deux lauréats ont leur espace d’exposition au sein du prestigieux Centre Georges Pompidou. Si lors du prix ils avaient présenté un monumental monument funéraire en dolérite, pour l’espace 315 ils ont choisi de faire dialoguer trois oeuvres avec un fil : la vie. Du bois, de la soie, de la laine. Le tout volontairement grossier. On est ici dans le retour aux sources. Happenings — Fluxus : De l'action painting à l'action de rue - L’article de Kaprow fut précédé par celui d’Harold Rosenberg (3) — The American Action Painter — qui paraissait en décembre 1952. Rosenberg allait définir le terme d’Action Painting ainsi qu’un ensemble d’idées liées à ce terme dans la revue Possibilities, fondée par Cage, Motherwell et Rosenberg lui-même : la toile comme «arène», comme «événement», «qui est un acte», «inséparable de la biographie de l’artiste». Pollock représentait ainsi le type même du «peintre d’action» (tel qu’on peut le voir dans le film de Hans Namuth) (4). Cette pratique du dripping, de la toile comme «peinture-action» en effet brisait toute distinction entre l’art et la vie, comme le souligne Harold Rosenberg : «Pour chaque Américain, il arriva un moment où la toile lui apparut comme une arène offerte à son action.

Fluxus : John Cage et Shigeko Kubota Le groupe Fluxus a déjà fait l’objet d’un article, mais celui-ci va se concentrer sur la collaboration de John Cage avec l’artiste japonaise Shigeko Kubota. Au fil de l’article, vous verrez qu’on recroisera des noms et des oeuvres déjà traitées sur le blog. J’ai pensé qu’étudier cette collaboration pouvait être intéressant, non seulement pour montrer l’influence et la postériorité du travail de Cage et de ses collaborateurs sur le groupe Fluxus, mais aussi que tout ne se range pas automatiquement dans une catégorie : tous sont liés les uns aux autres. Si vous avez lu l’article sur la collaboration de John Cage et Marcel Duchamp pendant leur partie d’échecs en 1968, vous avez peut être remarqué le nom de Shigeko Kubota dans la légende de la photographie de l’article. L’artiste a été introduite dans le groupe Fluxus grâce à Yono Ono, elle se fait connaître du chef de file du groupe, George Maciunas.

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