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Intelligence artificielle : les géants du Web lancent un partenariat sur l’éthique

Intelligence artificielle : les géants du Web lancent un partenariat sur l’éthique
Google, Facebook, IiBM, Microsoft et Amazon comptent instaurer de « bonnes pratiques » dans le domaine, et mieux informer le grand public. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual A l’heure où les technologies d’intelligence artificielle (IA) progressent à grands pas, soulevant quelques inquiétudes, les géants du secteur ont annoncé mercredi 28 septembre un partenariat pour définir de « bonnes pratiques », notamment en termes d’éthique. Google, Facebook, IBM, Microsoft et Amazon ont officialisé dans un communiqué commun la création du « Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society » (« partenariat pour l’intelligence artificielle au bénéfice des citoyens et de la société »). Ce partenariat prendra la forme d’une organisation à but non lucratif, qui « mènera des recherches, recommandera de bonnes pratiques, et publiera les résultats de ses recherches sous une licence ouverte ». Des technologies « qui ne font pas de mal » Questions urgentes Apple, le grand absent Related:  L'intelligence artificielleL'Intelligence artificielle dans le monde du webLe mythe de l'I.A. surhumaine

Elon Musk lance un centre sur l’intelligence artificielle pour « bénéficier à l’humanité » « Notre but est de faire progresser l’intelligence numérique dans une direction plus à même de bénéficier à l’humanité. » Ainsi se définit l’organisation OpenAI dans un message publié sur son site internet. Ce centre de recherche à but non lucratif a été lancé vendredi 11 décembre par deux figures de la Silicon Valley : Elon Musk, le patron du constructeur Tesla, et Sam Altman, président du Y Combinator, un incubateur de start-up qui a soutenu certaines des entreprises les plus puissantes du secteur. Lire le portrait Elon Musk, le capitaine d’industrie qui veut mourir sur Mars Objectif affiché : développer des technologies d’intelligence artificielle et les mettre à disposition de tous. « En tant qu’organisation à but non lucratif, notre but et de créer de la valeur pour tout le monde, plutôt que pour des actionnaires », peut-on lire dans le texte de présentation. Un milliard de dollars Et cette organisation dispose déjà de moyens considérables.

Éthique de l'intelligence artificielle Préoccupations éthiques[modifier | modifier le code] Atteinte à la vie privée[modifier | modifier le code] L'émergence de l'intelligence artificielle (IA) soulève deux préoccupations majeures autour de la vie privée : des informations privées peuvent être compromises à travers une attaque contre un système d'IA par une tierce personne et un système d'IA lui-même peut être utilisé comme outil pour collecter des données privées sur des individus. On trouve de nombreux exemples d'attaques contre un système d'IA par une tierce personne dans le domaine de l'apprentissage machine. En effet, les algorithmes d'apprentissage machine apprennent sur des données qui contiennent parfois des informations privées sur des individus, comme des informations médicales. La recherche scientifique a permis de mettre en lumière plusieurs attaques permettant de reconstruire des données utilisées pour entrainer le modèle d'apprentissage machine à partir de requêtes au modèle[4]. Chercheurs Organisations

Questionnement Forum Économique Mondial Optimiser la logistique, détecter la fraude, produire des œuvres d'art, mener des recherches, traduire : les systèmes informatiques intelligents transforment nos vies pour le mieux. À mesure qu’ils deviennent plus performants, notre monde gagne en efficacité, et, par conséquent, s’enrichit. Des géants de la technologie comme Alphabet, Amazon, Facebook, IBM et Microsoft, ainsi que des personnalités comme Stephen Hawking et Elon Musk, croient de leur devoir d’alerter au sujet d’une intelligence artificielle qui serait sans limites. À bien des égards, il s’agit d’une nouvelle frontière, qui concerne tout autant l'éthique et l'évaluation des risques que les nouvelles technologies. 1. L'automatisation concerne au premier chef la hiérarchie du travail. Voyez le secteur du transport routier : il emploie aujourd’hui des millions de personnes aux États-Unis. Se pose alors la question de savoir comment nous allons occuper notre temps. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Développeur web, un métier tendance en voie de disparition FOCUS - L'avenir du développeur web est-il mis en péril par l'intelligence artificielle ? Un métier pourrait donc être à la fois «tendance», convoité par les entreprises... mais dont les jours sont déjà comptés. Le Figaro fait le point sur ce paradoxe. Le métier de développeur web a le vent en poupe. Développeur web, le métier de demain? Paradoxal? «Humaniser son travail.» Lire aussi: Intelligence artificielle: quand Elon Musk s'alarme de ses propres créations La question est donc: jusqu'où va pouvoir aller l'IA en matière de créativité? Pourtant, certaines expériences montrent d'ores et déjà que l'IA faible est capable de création: dès 2015, AlphaGo - une IA développée par une filiale de Google - a battu le champion européen du jeu de Go avec un score sans appel: 5 à 0.

Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. « Il peut être nécessaire pour un opérateur humain d’appuyer sur le gros bouton rouge pour empêcher l’agent de poursuivre une séquence d’actions – dangereuse pour lui ou son environnement. (…) Néanmoins, si l’agent apprenant s’attend à recevoir une récompense à l’issue de cette séquence, il pourrait apprendre sur le long terme à éviter de telles interruptions, par exemple en désactivant le bouton rouge. » Lire le décryptage : L’intelligence artificielle, une élève de plus en plus douée « Réfléchir à un certain futur » Ethique et communication

Le « deep learning », une révolution dans l'intelligence artificielle Cette technologie d'apprentissage, basée sur des réseaux de neurones artificiels, a complètement bouleversé le domaine de l'intelligence artificielle en moins de cinq ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual « Je n'ai jamais vu une révolution aussi rapide. Ce système d'apprentissage et de classification, basé sur des « réseaux de neurones artificiels » numériques, est, pêle-mêle, utilisé par Siri, Cortana et Google Now pour comprendre la voix, être capable d'apprendre à reconnaître des visages. Qu'est-ce que c'est ? Concrètement, le deep learning est une technique d'apprentissage permettant à un programme, par exemple, de reconnaître le contenu d'une image ou de comprendre le langage parlé – des défis complexes, sur lesquels la communauté de chercheurs en intelligence artificielle s'est longtemps cassé le nez. « La technologie du deep learning apprend à représenter le monde. « Comment reconnaître une image de chat ? Concrètement, ça donne quoi ? Et demain ?

L'intelligence artificielle ! - Sciences - Discussions Ouais mais ça peut aussi être très lent et des fois tu n'as pe le temps. En recherche informatique, tu ne réfléchis pas souvent sur un système hyper-général mais plutôt sur des applications précises, des problèmes à résoudre. Pour faire ces applications, tu prends une ou des systèmes généraux que tu couples, complexifies ou simplifies en fonction de l'objectif que tu veux atteindre. Au final, tu as un système que tu auras considéré comme plus efficace car plus rapide, plus fiable, plus ergonomique,... --------------- Soyons ouverts d'esprit, mais pas au point de laisser notre cerveau s'enfuir.

Intelligence artificielle : les risques d'une utilisation malveillante Des experts internationaux sonnent l'alarme sur les risques d'une utilisation malveillante de l'intelligence artificielle (IA) par « des États voyous, des criminels, des terroristes », dans un rapport publié mercredi. Selon eux, dans les dix prochaines années, l'efficacité croissante de l'IA risque de renforcer la cybercriminalité mais aussi de conduire à des utilisations de drones ou de robots à des fins terroristes. Celle-ci est aussi susceptible de faciliter la manipulation d'élections via les réseaux sociauxréseaux sociaux grâce à des comptes automatisés (bots). Ce rapport de 100 pages intitulé The Malicious Use of Artificial Intelligence a été rédigé par 26 experts spécialistes en intelligence artificielle, cybersécurité et robotique. Ceux-ci travaillent pour des universités (Cambridge, Oxford, Yale, Stanford) et des organisations non gouvernementales (OpenAI, Center for a New American Security, Electronic Frontier Foundation). La cybercriminalité à grande échelle Appel à l'action

#IA : L’intelligence artificielle va-t-elle signer la mort du code informatique À l’heure où le code est devenu la discipline reine de l’informatique, l’intelligence artificielle entend se substituer à l’humain pour créer des applications et logiciels à partir d’instructions simples. Depuis la rentrée 2016, l’apprentissage du code figure au programme des collégiens français et une «sensibilisation» est proposée dès l’école primaire. Une intention louable, qui rappelle l’initiative «Computer Science for All» (Informatique pour tous) lancée par Obama en janvier 2016 et qui ambitionne de faire des petits Américains des programmateurs en herbe. Hélas, les compétences de ces futurs génies risquent de s’avérer désuètes lorsqu’ils se présenteront sur le marché du travail. Fini le dur apprentissage de Javascript, Ruby, Python, et autres C++. Programmer sera aussi facile que dresser un chien « Bientôt nous ne programmeront plus les ordinateurs. Créer un logiciel en une fraction de seconde De la science-fiction ? Supprimer les millions de lignes de code inutiles

Ca fait plusieurs références que je croise sur le fait que les grands groupes se décident à intégrer l'éthique. Une piste que je compte explorer est de savoir si c'est la résultante d'une pression extérieure (l'opinion, les politiques, le monde de la recherche etc.) ou de leur propre initiative. by sudre_groupe2_psy Mar 15

Très belles belles, notamment celle faisant référence à la collaboration de grands groupes comme Facebook, Amazon, Google autour de la question de l'IA. Notons l'absence d'Apple
Houria by meddas_groupec Mar 8

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