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Le mythe de l'I.A. surhumaine

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Des robots humains, trop humains. Welcome, Robot Overlords. Please Don't Fire Us? Illustrations by Roberto Parada This is a story about the future.

Welcome, Robot Overlords. Please Don't Fire Us?

Not the unhappy future, the one where climate change turns the planet into a cinder or we all die in a global nuclear war. This is the happy version. It's the one where computers keep getting smarter and smarter, and clever engineers keep building better and better robots. By 2040, computers the size of a softball are as smart as human beings. The result is paradise. Maybe you think I'm pulling your leg here. But they're not. What do we do over the next few decades as robots become steadily more capable and steadily begin taking away all our jobs? Suppose it's 1940 and Lake Michigan has (somehow) been emptied. By 1950, you have added around a gallon of water.

At this point it's been 30 years, and even though 16,000 gallons is a fair amount of water, it's nothing compared to the size of Lake Michigan. So let's skip all the way ahead to 2000. But wait. And that's exactly where we are. Intelligence artificielle : les géants du Web lancent un partenariat sur l’éthique. Google, Facebook, IiBM, Microsoft et Amazon comptent instaurer de « bonnes pratiques » dans le domaine, et mieux informer le grand public.

Intelligence artificielle : les géants du Web lancent un partenariat sur l’éthique

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual A l’heure où les technologies d’intelligence artificielle (IA) progressent à grands pas, soulevant quelques inquiétudes, les géants du secteur ont annoncé mercredi 28 septembre un partenariat pour définir de « bonnes pratiques », notamment en termes d’éthique. Google, Facebook, IBM, Microsoft et Amazon ont officialisé dans un communiqué commun la création du « Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society » (« partenariat pour l’intelligence artificielle au bénéfice des citoyens et de la société »). Ce partenariat prendra la forme d’une organisation à but non lucratif, qui « mènera des recherches, recommandera de bonnes pratiques, et publiera les résultats de ses recherches sous une licence ouverte ».

Des technologies « qui ne font pas de mal » Questions urgentes Apple, le grand absent. L’intelligence artificielle sans alternative. « Ce que le moteur à vapeur a fait pour nos muscles, l’intelligence artificielle va le faire pour nos cerveaux », prédit Hannes Gassert en introduisant la session des conférences Lift consacrée à ce sujet.

L’intelligence artificielle sans alternative

L’intelligence artificielle n’est plus un sujet de prospective. C’est un sujet d’aujourd’hui. Elle est déjà là. Nous l’utilisons déjà tous les jours, comme nous utilisons Facebook tous les jours. Qu’est-ce que l’ajout d’intelligence va transformer dans nos rapports aux machines et aux autres ? Demain, l’intelligence artificielle dans nos conversations Ca tombe bien. Image : Alexandre Lebrun sur la scène de Lift, photographié par Ivo Naepflin. Les premiers agents virtuels, comme ceux de VirtuOz, étaient limités à orienter les utilisateurs sur les sites web des entreprises notamment pour les aider à trouver les services qu’ils recherchaient.

L'intelligence Artificielle (AI) : Risques et Bénéfices. Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles. Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner.

Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? C’est de ce postulat que sont partis deux chercheurs pour réfléchir à une façon d’éviter que cela n’arrive. Laurent Orseau travaille pour DeepMind, l’entreprise de Google spécialisée dans l’intelligence artificielle qui est notamment à l’origine d’AlphaGo, le programme ayant réalisé l’exploit, en mars, de battre l’humain au jeu de go. Avec Stuart Armstrong, du Futur of Humanity Institute de l’université d’Oxford, ils ont publié début juin les résultats de leurs recherches.

Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. « Réfléchir à un certain futur » Ethique et communication. Le mythe de l’IA surhumaine. On ne présente plus Kevin Kelly (@kevin2kelly), qui fut le premier rédacteur en chef de Wired et auteur de nombreux ouvrages sur la technologie.

Le mythe de l’IA surhumaine

Son dernier livre, The Inevitable: Understanding the 12 Technological Forces That Will Shape Our Future cherche à déterminer les technologies qui nous influenceront le plus au cours des 30 prochaines années. Kelly ne pouvait manquer d’intervenir dans le débat actuel sur l’avenir de l’IA et sur les inquiétudes que cette dernière suscite actuellement, notamment autour du thème de la « superintelligence » et la possibilité que nos créations technologiques dépassent leurs parents humains et précipitent dans le meilleur des cas, une Singularité nous entraînant vers un paradis technologique, ou, dans le pire, notre extinction.

Ce que prouve son long texte dans Backchannel, c’est qu’on peut être enthousiaste de la technologie sans pour autant souscrire aux mythes les plus influents dans les milieux du numérique. Voici, selon lui, ces cinq postulats :