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Blockchain : la fin du Big data ?

Blockchain : la fin du Big data ?
Si la production des données numériques dans le monde a le vent en poupe, 90% de ces données ont été produites dans les deux dernières années, Facebook y est bien pour quelque chose. Le plus grand réseau social en ligne a récolté 300 petabytes de données personnelles depuis son commencement, cent fois la quantité que la Bibliothèque du Congrès a pu collecter en deux siècles ! Dans l’ère du big data, les données sont avidement rassemblées et analysées : les entreprises et les organisations les utilisent pour personnaliser des services, optimiser les processus de prise de décisions, prévoir des tendances futures et plus encore. Aujourd’hui, les données sont un actif de valeur de l’économie mondiale. La préoccupation est croissante, concernant la vie privée des utilisateurs. Les chercheurs ont développé des techniques diverses visant à sécuriser la vie privée et les données personnelles. On connaît l’adage : «Lorsqu’un service est gratuit sur le web, le client c’est vous.» A propos Related:  BlockchainDigitalisationBIG Data

La blockchain promet une nouvelle révolution - Le Temps «L’emploi de la blockchain dans l’économie promet de révolutionner l’immobilier (en créant un nouveau registre foncier numérique), les services financiers, le système de vote, le commerce des biens de luxe et l’administration fiscale», déclare Andreas Lenzhofer, expert en blockchain auprès de PwC Strategy&. Cette technologie n’est pas vraiment nouvelle puisque le bitcoin, la monnaie virtuelle, s’appuie sur le même principe, mais «ce n’est qu’après l’éclatement de la bulle du bitcoin que l’on a vraiment compris le formidable potentiel de la blockchain», poursuit l’expert. «Ce bouleversement est rendu possible par son extraordinaire pouvoir de désintermédiation», fait valoir le magazine The Economist dans un dossier sur ce thème. «La blockchain est une machine à créer de la confiance», affirme l’hebdomadaire britannique. Un stockage numérique Infographie. Une start-up française, Synereo, entend devenir «le nouveau Facebook», mais en utilisant la blockchain. Investissements des banques

La Blockchain a-t-elle les moyens de ses ambitions ? ISEP - 10 Rue de Vanves, 92130 Issy-les-Moulineaux Buzz du moment, la Blockchain est-elle en pleine phase d’« Inflated expectations » ? La désillusion promise par le « Hype cycle » de Gartner va-t-elle suivre ? 14h30 – 15h00 1- Mécanique de la Blockchain Mise en exergue des atouts et limites de la blockchain 15h00 – 16h00 2- Table ronde « Usages de la Blockchain » Quels sont les impacts de la confiance décentralisée et des smart contracts ? Avec l’intervention de : - Gérard Peliks, animateur de la table ronde - Xavier Dalloz, XdC - David Teruzzi - Louis Pouzin - Michel Dubois Points à débattre : Décentralisation de la confiance au bénéfice des applis de pair à pair Applications financières : monnaies, trading ? 16h00 – 16h40 Pause & Loterie 16h40 – 17h40 3- Table ronde « Gouvernance de la Blockchain » Comment peut fonctionner un modèle de gouvernance décentralisée et autonome ? Points à débattre : La gouvernance peut-elle être décentralisée ?

Qu’est-ce qu’Ethereum ? – Blockchain France Comprendre Ethereum Ethereum est considérée comme la blockchain la plus prometteuse en dehors de Bitcoin. Ses créateurs en parle comme du « premier véritable ordinateur global», qui permet de construire sur sa plateforme des applications décentralisées. Stephan Tual, ancien porte-parole de la plateforme et fondateur de la startup Slock.it, définissait ainsi le rôle d’Ethereum dans une interview au Temps en 2014 : « Ethereum vise à bâtir un Web où les intermédiaires entre les clients et les services qu’ils recherchent n’existent plus. Quelles différences avec Bitcoin ? « La blockchain de Bitcoin a été conçue spécifiquement pour des applications monétaires, alors qu’Ethereum permet de créer tout type d’applications » explique le fondateur d’Ethereum, Vitalik Buterin. En pratique, les participants du réseau d’Ethereum ne se contentent pas de valider des transactions monétaires : ils exécutent du code provenant d’applications décentralisées, dites «Dapps ». What’s next ?

Dataminr : cette boîte dont Twitter veut priver les espions américains Décidément, la Silicon Valley et le renseignement ne se sentent plus. En tout cas si l’on en croit le dernier épisode rapporté par le Wall Street Journal (payant) : Twitter viendrait d’exiger de Dataminr, une entreprise dont elle détient 5%, de cesser sa coopération avec certaines agences américaines. Tom Cruise dans « Minority Report » - UFD Le réseau social aurait agi par peur de paraître trop proche des espions, avance le journal, qui s’appuie sur des sources anonymes. « [Nos] données sont largement publiques et le gouvernement américain peut faire la recension des comptes publics par ses propres moyens, tout comme n’importe quel utilisateur. » Dit comme ça, on voit mal pourquoi la CIA, le FBI et leurs copains tiennent tant à utiliser Dataminr. Une potion magique secrète Leur force ? Un privilège qui coûterait 30 000 dollars par mois, majorés de sommes calculées sur l’utilisation qui est faite de ces données, susceptibles d’atteindre 1,5 million de dollars chaque année.

Big data / données ouvertes Blockchain Use Cases articles liés The concept of blockchain has energized the financial services industry globally. The interest of financial institutions on blockchain is quite evident considering that Santander Bank has identified 20 to 25 use cases for the technology. The bank also estimated that the usage of blockchain by banks can reduce the infrastructure cost by up to $20 billion a year. Other banks such as UBS have set up a blockchain research lab in London, Goldman Sachs has invested in bitcoin startup Circle and NASDAQ is also experimenting with the technology. Chaineum est partenaire des rubriques blockchain de votre quotidien Finyear. Les médias du groupe Finyear Lisez gratuitement : Le quotidien Finyear : - Finyear Quotidien La newsletter quotidienne : - Finyear Newsletter Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises de la finance d’entreprise et de la finance d'affaires.

Managing the Bots That Are Managing the Business Algorithms are fundamentally redefining the roles of worker and manager. MIT SMR Frontiers This article is part of an MIT SMR initiative exploring how technology is reshaping the practice of management. Editor’s Note: This is the first in a special series of commissioned essays MIT Sloan Management Review will be publishing in Frontiers over the Spring and Summer of 2016. Each essay gives the author’s response to this question: “Within the next five years, how will technology change the practice of management in a way we have not yet witnessed?” Science fiction writer William Gibson once said, “The future is here. You must also reframe what you see so that you aren’t blinded by what you already know. Each day, these “managers” take in feedback about their electronic workers’ performance — as measured in real-time data from the marketplace — and they provide feedback to the workers in the form of minor tweaks and updates to their programs or algorithms.

En quoi cette technologie est-elle révolutionnaire ? Elle "pourrait changer le monde", titrait The Economist dès le mois d'octobre dernier. C'est "une révolution" pour Libération. Une chose est sûre, ça a l'air foutrement disruptif cette histoire. Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ? C'est une technologie de stockage et de transmission d'informations, un protocole de gestion de données numériques. - Transparente : chacun peut consulter l'ensemble des échanges, présents et passés. - Sans organe de contrôle ni tiers de confiance : elle est fondée sur des échanges de pair-à-pair (P2P). - Infalsifiable et sécurisée : contrairement aux bases de données plus classiques, elle est "distribuée". Comme l'écrit le mathématicien Jean-Paul Delahaye, imaginez "un très grand cahier, que tout le monde peut lire librement, gratuitement, sur lequel tout le monde peut écrire, qui est impossible à effacer et indestructible."

Pourquoi les médias sociaux ne changent-ils pas le monde La prolifération de l'usage des médias sociaux n'a pas abouti à un changement social significatif, estiment les chercheurs Alex Pentland, Manuel Cebrian et Iyad Rahwan dans un article (.pdf) du dernier numéro de la revue Communications of the ACM. Pour Alex Pentland, le directeur du Laboratoire des dynamiques humaines du Media Lab du MIT (dont nous avons souvent parlé, notamment en rendant compte de son livre sur la physique sociale) et du groupe de travail sur la science de la connexion, Iyad Rahwan (@iyadrahwan) directeur du groupe de recherche Scalable Cooperation du Media Lab et Manuel Cebrian du groupe de recherche consacré aux données Data61 de l'agence nationale de la recherche australienne, le CSIRO, si les médias sociaux ont fourni un carburant aux mobilisations spontanées, ils n'ont pas aidé à construire un changement social durable et réfléchi, c'est-à-dire des actions collectives coordonnées. Vidéo : Les chercheurs ont illustré leur article d'une vidéo et d'une BD (.pdf).

Le big data n’est plus l’avenir des sociétés numériques mais leur plus grand risque Temps de lecture: 2 min Cette idée était devenue une évidence. L’économie des données (des datas) était la clé de développement de toutes les entreprises liées au numérique et même de l’avenir de cette industrie. Ceux qui n’investisseront pas suffisamment dans des outils pour recueillir, analyser en temps réel et exploiter des masses de données sont condamnés. Mais les choses sont en train de changer très vite explique Quartz. Les datas ont toujours une grande valeur économique pour qui sait les exploiter mais elles sont aussi en train de devenir un très grand risque, juridique et d’image, pour les sociétés qui les utilisent et les stockent. Les citoyens consommateurs n'ont pas confiance Cela fait maintenant près de trois ans qu’Edward Snowden a révélé l’ampleur de la surveillance dont nous faisons tous l’objet et les citoyens de par le monde ont de plus en plus conscience des dangers de la récupération et de l’utilisation incontrôlées de leurs données personnelles.

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