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De Google à Facebook : « si c’est gratuit, vous êtes le produit »

Par centaines de millions, par milliards même, les usagers d’Internet visitent quotidiennement YouTube, achètent sur Amazon, font des recherches sur Google, s’envoient des courriels à partir de GMail ou communiquent sur leur intimité sur Facebook. Sans jamais penser que leur navigation, leurs préférences (les likes sur Facebook ou YouTube par exemple), leurs choix, leurs recherches, dévoilent ainsi gratuitement beaucoup de leur choix de consommation à des entreprises privées. Mais alors, comment le système fonctionne ? Une vidéo explique la chose simplement : « si c’est gratuit, vous êtes le produit » … et que votre usage d’Internet a une valeur marchande. En pleine guerre froide, diverses œuvres d’anticipation imaginaient un futur effroyable. En un sens, l’idéal totalitaire, dans ce qu’il comporte de violation de la privacité, se réalise sous nos yeux avec notre participation. Il n’est donc pas question de juger ou pointer du doigt les utilisateurs (dont nous faisons partie). Related:  InternetTechnologiesTraces numériques

Facebook garde tout en mémoire - Vidéo allô docteurs confidentialiténewsletters Donnez votre avis Facebook garde tout en mémoire Nouvo Chargement de la playlist en cours... Publié le 04-09-2012 - Mis à jour le 28-09-2015 média Éducation aux médias troisième cinquième quatrième seconde terminale première sixième Facebook sauvegarde toutes les données jamais publiées par ses membres. Producteur : RTS PartagerTweeterPartager Recommandations Le Wall - Parents mode d'emploi, version 2.0 cinquième Rencontres capitales 2013 Info en continu, réseaux sociaux : quelle est la n... troisième Les clés des médias Nous sommes tous médias cinquième Information Fake news : gestes qui sauvent Se méfier des réseaux sociaux Le pluralisme des médias cinquième médias Débusquer un fake Peut-on tout montrer dans les médias ? La publicité dans les médias Les stéréotypes dans les médias Next

Comment répondre au design de nos vulnérabilités Sur Medium, Tristan Harris (@tristanharris) qui se présente comme ex-designer de l’éthique chez Google, a livré un long et passionnant article sur la manière dont le design aujourd’hui exploite nos vulnérabilités. De plus en plus, la technologie exploite les faiblesses psychologiques, sociales et cognitives des gens, à la manière des magiciens qui cherchent à exploiter les vulnérabilités de la perception de leur public. Les concepteurs font la même chose : ils jouent de nos vulnérabilités psychologiques pour attirer et retenir notre attention, sans rencontrer beaucoup d’autres contraintes que les limites du public à les accepter. Si l’idéal de la liberté individuelle défend bec et ongle notre capacité à faire des choix libres de toutes contraintes, il continue à ignorer (ou à faire semblant d’ignorer) combien ceux-ci peuvent être manipulés et manipulables, sans en être conscients. Image : page d’accueil de l’initiative de Tristan Harris, concevoir pour bien dépenser son temps.

12 réseaux sociaux en fiches pratiques pour une utilisation pédagogique Dans le cadre de l’enseignement des MITIC (Médias, Images et Technologies de l’Information et de la Communication) à l’école, le centre Fri-Tic (centre de compétences responsable de tous les aspects en lien avec les MITIC) dans le domaine de l’enseignement du canton de Fribourg (Suisse) met à jour régulièrement des fiches signalétiques sur les principaux réseaux sociaux grand public et leur possible utilisation dans un cadre pédagogique. Ces fiches réseaux sociaux (liste complète ci-dessous) diffusées sous licence Creative Commons décrivent avec précision les infos nécessaires et principales fonctions, pratiques numériques avec ces plateformes tout en portant un regard critique et des possibilités pédagogiques avec ces services. Les fiches utilisent une grille commune d’analyse (voir en fin d’article). 12 services de réseaux sociaux analysés Fiche d’analyse Facebook (pdf) Fiche d’analyse Twitter (pdf) Fiche d’analyse Spotify (pdf) Fiche d’analyse Snapchat (pdf) Fiche d’analyse Skype (pdf) Bilan

Liberté d'expression et réseaux sociaux : ce que je peux dire ou pas Peut-on tout dire sur Internet ? Quelles sont les limites à la liberté d’expression ? Voici quelques conseils pour t’assurer de ne pas enfreindre la loi et déterminer ce que tu peux publier ou pas sur Instagram, Twitter et les réseaux sociaux en général. Outre les médias, tous les citoyens, majeurs ou mineurs sont responsables de tous les messages qu’ils diffusent publiquement. Concrètement, la liberté d’expression ne veut pas dire que tu peux dire n’importe quoi. Liberté d’expression : qu’est-ce que cela veut dire ? Le site officiel Eduscol résume bien dans un article dédié à ce sujet ce que veut dire ce concept de liberté d’expression : « la liberté d’expression est consacrée dans la plupart des environnements juridiques. Quels sont les limites à la liberté d’expression ? La premier limite est l’atteinte à la vie privée et au droit à l’image d’autrui. Autre limite légale, tenir des propos diffamatoires ou injurieux. Je peux dire ce que je veux sur mon profil privé ? Non !

«Les libertés individuelles sont largement menacées sur internet» «Les libertés individuelles sont largement menacées sur internet» Flx Trgr prtcpr dbt «Ts ps ?» d frm «Lbrts chrs» smd 7 nvmbr d 14h 15h30 l Gît lyrq. nscrptn grtt. Vs êts l cfndtr d L Qdrtr d Nt, ql st l’bjctf d ctt ssctn ? C’st n ssctn ctynn fnd n 2008 pr prtgr ls lbrts fndmntls sr ntrnt, dns n cntxt pltq ù, l’pq, bcp d prjts vsnt rstrndr l lbrt d’xprssn, rmttr n cs l v prv ls qstns d drt d’tr. n s’ngg nv frnçs t rpn dns ls dbts pltqs t jrdqs sr ls qstns d rgltn d’ntrnt t tt c q tch rspct ds lbrts ndvdlls. D’anciens cadres de Facebook expriment leur « culpabilité » d’avoir contribué à son succès Plusieurs anciens collaborateurs de l’entreprise, comme son ex-président Sean Parker, ont fait part de leur inquiétude concernant l’influence grandissante du réseau social. « Je peux contrôler ce que font mes enfants, et ils ne sont pas autorisés à utiliser cette merde ! » C’est un discours sévère qu’a tenu, en novembre, un ancien cadre de Facebook à l’encontre des réseaux sociaux en général, et de l’entreprise de Mark Zuckerberg en particulier. Lors d’une conférence à la Stanford Graduate School of Business, dont la vidéo a été repérée lundi 11 décembre par le site spécialisé The Verge, Chamath Palihapitiya, qui fut chez Facebook vice-président chargé de la croissance de l’audience, exprime ses regrets d’avoir participé au succès de l’entreprise. « Je crois que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social », avance-t-il, confiant se sentir « immensément coupable ». M. « Dieu sait ce que ça fait au cerveau de nos enfants » M. Un outil d’influence considérable

Science et vie Le test de Turing pour déterminer l’intelligence d’une machine contient un bug fondamental (Matt Chan via Flickr CC BY 2.0). Cela fait 66 ans qu’on n’a pas trouvé mieux que le test imaginé en 1950 par l’Anglais Alan M. Turing. Celui qui fut, entre autres !, le précurseur de l’Intelligence artificielle (IA) trouva en effet une manière de mesurer l’intelligence d’une machine malgré le manque de définition scientifique claire et univoque de ce concept (ce qui est encore le cas). Mais deux spécialistes de l’IA viennent de publier un article dans le Journal of Experimental & Theoretical Artificial Intelligence révélant les limites de ce test, alors que les progrès et la diffusion de l’IA dans de nombreux secteurs dont la sécurité rend absolument nécessaire l’évaluation de leur niveau d’intelligence. Une machine qui bugge peut donner l’illusion d’être intelligente La trouvaille des auteurs n’est pas technique, et peut même sembler franchement anecdotique. Le test de Turing Conversations buggées

Créer un formulaire avec Google Drive Google propose à travers son service Google Drive (service de stockage et de partage de fichiers en ligne) un outil pratique permettant de créer des formulaires. Questionnaire de satisfaction, formulaire de contact, formulaire de réservation, formulaire de sondage sont facilement réalisables grâce à Google Formulaire. L’utilisation de ce service Google nécessite au préalable la création d’un compte Google. Une fois le formulaire créé, il est possible de recueillir les résultats dans une feuille de calcul Google Sheets. Il est également possible de recevoir un mail contenant les réponses lors de chaque validation du formulaire ou encore de fermer automatiquement un formulaire en fonction du nombre de réponses reçues. Enfin, le formulaire peut être partagé ou encore affiché sur un site Internet. Retrouvez également notre tutoriel sur la création de formulaire Google avec la nouvelle interface Google Forms. Créer un formulaire à partir de Google Drive Créer un nouveau formulaire Conclusion

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