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Sophia, le robot de Hanson Robotics qui va vous faire peur

Sophia, le robot de Hanson Robotics qui va vous faire peur
INTERVIEW. Ah, quel chemin parcouru depuis Frankenstein ! En ce mois de mars 2016, le "créateur" a pour nom David Hanson - c'est un entrepreneur américain dont la société, "Hanson Robotics", s’est spécialisée dans la fabrication de robots anthropomorphes (Human-like, disent les anglo-saxons, voire même very human-like pour les plus ressemblants). Quant à la "créature", il s'agit de Sophia. Crédit : CNBC Crédits : Hanson Robotics Related:  Inventions et découvertes 21e sieclefkiecken

+++ la géobiologie et l’architecture pour déterminer comment est émise l’énergie « sacrée » bénéfique pour la vie Grande Le livre « BioGéométrie » d’Ibrahim Karim se base sur la géobiologie et l’architecture pour déterminer où et comment est émise l’énergie « sacrée » bénéfique pour la vie. Selon l’auteur, cette énergie peut même diminuer les effets négatifs de « l’électrosmog ». Je vais tenter ici de résumer la thèse présentée dans son livre . Ibrahim Karim est architecte de formation, il étudia en Suisse et reprit le cabinet d’architecte « Alemara Consulting House » de son père, qui était architecte pour le Moyen-Orient. Durant ses études, il rencontra le Dr. Energies spirituelles Le livre insiste sur l’importance de l’énergie « BG3″, qui veut dire « BioGéométrie Trois ». Ibrahim Karim cherche à développer une « Physique de la Qualité » (opposée à notre « physique de la quantité ») qui étudierai les énergies subtiles sous-jacentes à la matières. Qualités universelles se manifestant dans le domaine sensoriel. Comme nous le disions dans cet article : Radiesthésie Le livre d’Enel, disponible sur scribd

Une intelligence artificielle de Google capable de discuter du sens de la vie Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Humain — Quel est le but de la vie ? Machine — Etre au service du plus grand bien. Humain — Quel est le but des êtres vivants ? Machine — Vivre éternellement. Cet échange est extrait d’une conversation entre des chercheurs de Google et une intelligence artificielle qu’ils ont eux-mêmes développée. « Ce qui distingue ce chatbot des autres, c’est qu’il utilise des techniques d’apprentissage », explique Jean-Gabriel Ganascia, chercheur au laboratoire d’informatique de Paris 6 et auteur d’Idées reçues sur l’intelligence artificielle. « Quand le programme repère telle phrase ou tel schéma, il répond telle phrase. Or, l’agent conversationnel développé par les chercheurs de Google n’a, lui, pas de réponse préconçue. « Qui est Skywalker ? Humain — Qui est Skywalker ? Un résultat que les chercheurs jugent prometteur, comme ils l’écrivent dans leur article : Le test de Turing est encore loin Humain — Quel est ton travail ?

Prothèses bioniques - Les liens utiles L'innovateur Nicolas Huchet Nicolas Huchet a subi une amputation de l'avant-bras droit suite à un accident de travail en 2002. Les tentatives de greffe ayant échoué, on l'équipe d'une prothèse haut de gamme bien au-dessus de ses moyens et, son handicap étant peu courant, mal remboursée. Gaël Langevin Gaël Langevin est le créateur du premier robot humanoïde réalisé grâce à une imprimante 3D. Le mot FabLab Un FabLab est un laboratoire de fabrication numérique. OpenSource C'est le fait de révéler sa recette de cuisine à tout le monde. Impression 3D C'est la technologie qui permet de fabriquer un objet en trois dimensions d'un seul tenant, à l'aide d'une imprimante 3D, d'un fichier numérique et de certains matériaux (plastique, métal, résine...) Arduino Arduino est composé d'une partie hardware, un circuit imprimé en 3D, et d'une partie software, le logiciel utilisé pour le programmer, tous deux disponibles en Open Source. Les chiffres Le croquis de Louison Les comptes à suivre Les sources

Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. « Il peut être nécessaire pour un opérateur humain d’appuyer sur le gros bouton rouge pour empêcher l’agent de poursuivre une séquence d’actions – dangereuse pour lui ou son environnement. (…) Néanmoins, si l’agent apprenant s’attend à recevoir une récompense à l’issue de cette séquence, il pourrait apprendre sur le long terme à éviter de telles interruptions, par exemple en désactivant le bouton rouge. » Lire le décryptage : L’intelligence artificielle, une élève de plus en plus douée « Réfléchir à un certain futur » Ethique et communication

La modélisation 3D pour opérer l'inopérable Le bloc opératoire était réservé pour sept heures mais l'opération n'aura finalement duré que 45 minutes : grâce à un système de modélisation en 3D du corps du patient conçu à Strasbourg, certaines interventions chirurgicales deviennent beaucoup plus simples. Pour cette autre opération par exemple, il faut soigner un bébé de quelques mois atteint d'une gigantesque tumeur qui occupe presque tout son abdomen. La visualisation en 3D du corps de l'enfant grâce à ce dispositif, baptisé "Visible Patient", a permis de comprendre par où la tumeur était accrochée au foie. Avec la 3D, on peut trouver des solutions thérapeutiques complexes pour des cas qui semblaient désespérés" - Luc Soler Start-up émanant de l'Institut de recherche contre les cancers de l'appareil digestif (Ircad) de Strasbourg, "Visible Patient" a installé ses quartiers dans les locaux d'un ancien manège de haras du 18e siècle. La 3D permet de définir la stratégie chirurgicale Vers un remboursement ?

Une I.A. remplace 34 employés d'une assurance au Japon - Tech Une assurance japonaise utilisera une I.A. pour remplacer 34 de ses employés. La machine devra effectuer des activités de vérification et des procédures d'analyse sur les dossiers des clients. Une I.A., la « IBM Watson Explorer », remplacera 34 employés d’une assurance vie japonaise, la Fukoku Mutual Life Insurance, dans les jours à venir. Notamment, l’I.A. devra analyser les certificats et les antécédents médicaux des clients, déterminer les paiements et facturer les dépenses médicales. Ainsi, elle devra gérer toutes les procédures d’élaboration d’un dossier jusqu’à le faire arriver dans les mains d’un superviseur humain qui s’occupera de l’approbation et du paiement final. L’entreprise a dépensé 200 millions de yen (1,7 million de dollars) sur ce nouveau système, qui nécessitera une maintenance annuelle d’un coût de 128 000 dollars. L’époque où les emplois de service seront remplacés par des machines semble se rapprocher.

Le drone, nouveau Saint-Bernard Cela ne suffira sans doute pas à dissiper la part d'ombre qui lui colle aux hélices (tueur aveugle, menace fantôme, sombre inquisiteur...) mais le drone apparaît de plus en plus comme un outil efficace pour contribuer aux actions humanitaires et aux urgences sanitaires. Ces derniers temps, se sont multipliées les annonces de projets faisant suite à des initiatives engagées notamment lors des grandes catastrophes naturelles. L'expérience sans doute la plus aboutie se déroulera à partir de juillet au Rwanda, un pays particulièrement pauvre mais qui s'est découvert une vocation high-tech et entreprend de développer des réalisations mettant à contribution des drones. En juillet, les appareils de la firme californienne Zipline (tyrolienne, en anglais) seront opérationnels pour assurer le fonctionnement d'un réseau automatisé de livraison aérienne de médicaments et de prélèvements sanguins dans l'ouest du pays. (Ryan Oksenhorn/Zipline International via AP) Gary Mortimer - SUAV News

Lecture critique de « À quoi rêvent les algorithmes » À quoi rêvent les algorithmes, Nos vies à l’heure des big data, Dominique Cardon, La république des idées - Seuil, Octobre 2015. Le travail de Dominique Cardon apparaît à la fois d’une grande nécessité, et souffrant de plusieurs défauts. L’auteur focalise son discours et notre attention sur les algorithmes sans chercher à donner de définition de ce qu’il considère comme tel. Cette imprécision dans les concepts le conduit à faire des raccourcis qui fragilisent son argumentation. Ce livre ne parle pas des algorithmes mais d’outils informatiques. Il est vrai que les outils informatiques sont constitués de programmes, qui implémentent des algorithmes. L’informatique n’est pas Internet. À l’heure où d’importantes discussions sont en cours à propos des programmes à introduire dans l’enseignement secondaire sur l’informatique, il est important de faire entendre cette différence. Malgré les réserves que j’ai pu avancer, je crois que l’auteur fait ici une alerte importante. Chapitre 1.

ASTER: Advanced Spaceborne Thermal Emission and Reflection Radiometer Un tétraplégique peut à nouveau bouger son bras LE MONDE | • Mis à jour le | Par Marie-Laure Théodule « Aujourd’hui, je bouge à nouveau mes doigts, j’ai réussi à prendre une bouteille, à verser son contenu dans un récipient, et même à saisir un bâtonnet pour remuer. Le tout sans bras robotisé, avec mes vraies mains. Je n’aurais jamais cru que ce serait possible. C’est un formidable début vers l’autonomie. En 2010, ce jeune Américain revient tétraplégique de vacances au bord de la mer. Prototype Après de longs mois d’entraînement, le jeune homme est convaincu que le jeu en valait la chandelle. Les interfaces cerveau-machine se sont beaucoup développées depuis une quinzaine d’années sous l’impulsion notamment de Miguel Nicolelis, de l’université Duke en Caroline du Nord. « Un pas de plus » « Avec la dérivation neurale, l’équipe américaine franchit un pas de plus », reconnaît John Donoghue. Lire aussi : John Donoghue : « Osons interpréter les signaux du cerveau » La mise en place du prototype a pris presque deux ans.

Flyboard Air : un hoverboard d'un nouveau genre TUYÈRES. Pas facile de trouver une définition à cet étonnant engin présenté en vidéo par l'entreprise Zapata Racing. De dimensions comparables à celle d'un drone, le "Flyboard Air" joue le même rôle qu'un "Jetpack", ces fusées à fixer dans le dos pour emporter un homme dans les airs pendant quelques minutes. Sauf que cet engin ne se sangle pas comme un sac à dos : son pilote grimpe dessus comme il le ferait sur un skate-board. Dans sa main, une télécommande à gâchette commande la puissance des moteurs. Et pour modifier la trajectoire, le pilote semble pencher son corps dans la direction du mouvement. Pour fonctionner, un tel engin doit disposer d'une réserve de carburant embarquée soit directement sur le "Flyboard Air", soit déportée sur le pilote. Pour le moment, le Flyboard Air n'est qu'un prototype, et il n'est pas prévu de le mettre sur le marché, du moins en 2016, peut-on lire sur le site du constructeur.

Un doigt bionique redonne le sens du toucher L’index bionique mis au point à l’École polytechnique fédérale de Lausanne. Il a été testé avec succès sur une personne amputée et sur des volontaires valides. © EPFL Un doigt bionique redonne le sens du toucher - 1 Photo Voilà plusieurs années que Dennis Aabo Sørensen collabore avec l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) au développement d’une main bionique capable de lui rendre le sens du toucher. Ce Danois bientôt quadragénaire a perdu sa main gauche dans un accident domestique il y a un peu plus de dix ans. Grâce à cette prothèse, Dennis Aabo Sørensen pouvait identifier la forme et la consistance des objets qu’il saisissait et ainsi moduler la force de sa préhension. Cette vidéo sous-titrée en français présente la dernière expérimentation menée par l’EPFL sur un doigt bionique grâce auquel un patient amputé d’une main a retrouvé une certaine sensation de toucher. © EPFL Le doigt bionique est installé sur un bras robotisé qui le déplace sur différentes surfaces.

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