background preloader

Document 10 Comment fonctionne le système d’échanges de quotas d’émissions de Co2 en Europe

Document 10 Comment fonctionne le système d’échanges de quotas d’émissions de Co2 en Europe
Related:  Chapitre 3 Quelle action publique pour l'environnement ?

TSES2 groupe 1 - Travail du jeudi 26/11/20 Climat : la taxe sur les carburants plus efficace que les normes Responsable d'environ 20 % des émissions mondiales des gaz à effet de serre, le transport est devenu une cible évidente pour les régulateurs dans leur lutte contre le réchauffement climatique. Les normes de consommation de carburant se mettent en place à travers le monde pour imposer aux constructeurs un plafond sur les émissions moyennes de CO2 des voitures vendues dans l’année. En Chine, au sein de l'Union européenne, en Inde, au Japon et aux États-Unis, les régulateurs auront tous fixé des objectifs contraignants d'ici 2020. La norme européenne impose des émissions moyennes de CO2 inférieures à 120 g/km dès cette année. Parallèlement à la norme européenne, le gouvernement français encourage les ventes de véhicules économes en carburant avec son système de bonus/malus. Les normes de consommation de carburant ont permis de réduire les émissions de CO2 des voitures particulières. Pourtant, ces normes d'économies d'énergie présentent de graves inconvénients.

Comment le Protocole de Montréal a-t-il contribué à sauver la couche d'ozone ? Cet article date de plus de trois ans. Publié le 25/11/2019 16:19 Mis à jour le 25/11/2019 16:47 Durée de la vidéo : 3 min C’est l'histoire d'une prise de conscience mondiale. C’est l'histoire d'une réussite environnementale... Ainsi, en 1987, 24 pays se mettent d'accord pour réduire puis bannir les CFC. À certains endroits, la couche d'ozone s'est rétablie à un rythme de 1 à 3 % par décennie depuis l'an 2000. Partager : l'article sur les réseaux sociaux Agriculture : pourquoi la réduction des pesticides est possible Des chercheurs français estiment, dans « Nature Plants », qu’une réduction des intrants agricoles chimiques de 30 % n’aurait pas d’effets négatifs. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Réduire drastiquement le recours aux pesticides sans altérer les rendements agricoles et les revenus des agriculteurs ? C’est possible, assurent des chercheurs français qui ont publié, lundi 27 février dans la revue Nature Plants, les conclusions d’une analyse statistique d’ampleur inédite. Lire aussi : Des pesticides en doses toujours plus massives dans les campagnes « Nous avons voulu nous pencher sur une question très débattue, explique Nicolas Munier-Jolain, chercheur à l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) de Dijon (Bourgogne-Franche-Comté) et coauteur de ces travaux. « Réduction de 37 % des herbicides » Les résultats sont éloquents. « Nous estimons que l’usage total des pesticides pourrait être réduit de 42 % sans aucun impact négatif dans 59 % des cas, écrivent-ils.

TSES2 groupe 2 - Travail du mardi 01/12 TSES2 groupe 2 - Travail du mercredi 02/12/20 France - Environnement. Réduction des gaz à effet de serre : la justice donne trois mois à l’Etat pour démontrer ses efforts climatiques Le Conseil d’Etat a donné trois mois à l’Etat pour démontrer qu’il prenait bien les mesures pour parvenir à ses engagements en matière de réduction des gaz à effet de serre. La plus haute juridiction administrative, qui se prononce ainsi pour la première fois dans un contentieux lié au changement climatique, avait été saisie par la commune côtière de Grande-Synthe, rejointe par d’autres villes et des ONG qui ont entamé de leur côté une action similaire contre l’Etat. Une baisse de 40% des émissions en 2030 par rapport à leur niveau de 1990 Le Conseil d’Etat a notamment relevé que l’Etat s’était engagé, pour mettre en œuvre l’accord de Paris sur la lutte contre le réchauffement climatique, à atteindre une baisse de 40% des émissions en 2030 par rapport à leur niveau de 1990. Or les "budgets carbone" d’émissions adoptés dans les différents plans de l’Etat ont depuis été dépassés et l’Etat a revu ses objectifs à la baisse. "Pas être seulement de jolis engagements sur le papier"

TSES2 groupe 1 - Travail du mercredi 25/11/20 TSES2 groupe 1 - Travail du mardi 24/11/20 Le climat, nouvelle donne pour penser les guerres de demain En 2007, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, avait qualifié le conflit au Darfour, qui a fait 300 000 morts et déplacé deux millions et demi de personnes depuis 2003, de « première guerre du changement climatique ». Cette affirmation avait provoqué une prise de conscience mondiale, entraînant plusieurs travaux de recherche sur le sujet. Ainsi, Marshall Burke, économiste de Berkeley, a établi, peu de temps après, un lien entre changement climatique et guerres en Afrique subsaharienne. En comparant les courbes de températures et l’historique des conflits, le chercheur a prédit que les guerres causées par le réchauffement climatique feraient plus de 459 000 morts d’ici à 2030. « Le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord, de l’Est et l’Afrique centrale, ainsi que certains pays d’Asie centrale, feront face aux risques de sécurité les plus importants à court terme. » Caitlin Werrell, cofondatrice du Centre pour le climat et la sécurité Clémentine Thiberge

Avec le changement climatique, la menace de nouveaux conflits Les effets du changement climatique sur le paysage physique mondial modifient la donne géopolitique et déstabilisent des régions vulnérables comme la Corne de l'Afrique. Il peut entamer la capacité des pays à se gouverner eux-mêmes et générer des conflits insoupçonnés. Contrairement à d'autres facteurs de risques sécuritaires internationaux, le changement climatique peut être modélisé avec un degré de certitude relativement élevé. Mais entre prédire et se préparer, il reste un grand pas à franchir. Caitlin E. Le rythme actuel du changement climatique – hausse du niveau de la mer, recul de la banquise arctique, fonte des glaciers, extrême variabilité des précipitations, fréquence et intensité accrues des tempêtes – confronte les sociétés humaines à des scénarios inédits. Alors qu’il remodèle le paysage physique du monde, le changement climatique modifie aussi son paysage géopolitique. Un fragile épicentre Le paysage géopolitique redessiné ‣ Élévation du niveau de la mer et villes côtières

Related: