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Définir son profil d'apprentissage

Définir son profil d'apprentissage
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Ressources pour l'accompagnement personnalisé - Modules pour l'accompagnement personnalisé Modules thématiques Les modules proposés ont été réalisés par une partie de l'équipe de conception et de formation du Pôle universitaire de proximité de l'université Jean Moulin Lyon 3 (Fabien Lafay, Pierre-Guy Vaschalde et Florianne Buisson). Cet organisme est responsable de trois cordées de la réussite dans l'académie de Lyon et intervient depuis 2006 auprès de plusieurs dizaines de lycée de cette académie. Développer sa mémoire/techniques de mémorisation Nul besoin de penser posséder une bonne mémoire pour suivre ces séances. Rapidement les séances débordent la classe et tout un chacun profite de sa propre implication, qu'il s'agisse de nouvelles manières d'apprendre ou de réviser ou de savoir accéder plus rapidement à ses connaissances pour un contrôle ou toute autre activité. Organisation/Gestion du temps Les séances ont pour but de donner des outils pratiques et concrets sur la manière de travailler et de s'organiser. La culture générale Présentation du supérieur La prise de notes

Apprendre à apprendre (1/4) : deux modes d’apprentissage Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ? Même le plus fameux des MOOCs, Coursera, s’est intéressé à la question et propose maintenant un cursus « Apprendre à apprendre« . A sa tête, on trouve un neuroscientifique connu, Terrence Sejnowski et surtout Barbara Oakley, auteur d’un excellent livre sur l’apprentissage des sciences, A Mind for Numbers. Son éducation scientifique, Barbara Oakley l’a effectuée sur le tas. Mode « concentré » et mode « diffus » La créativité occupe une place importante dans le livre d’Oakley. Un des premiers principes sur lesquels elle s’étend dans son livre c’est ce qu’on pourrait appeler le paradoxe de la créativité. Le mode diffus, au contraire, est celui de l’inconscient.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4.

Comprendre et accompagner les émotions de l'enfant | Babybaboo Développement cérébral: Pour mieux comprendre et accompagner les enfants dans la gestion de leurs émotions, il me semble essentiel de connaitre la façon dont se développent les différentes formes de compétences dans le cerveau humain: – De façon très schématique, on peut dire que celui-ci se divise en trois grandes zones – – LE CERVEAU REPTILIEN (Cervelet) correspond à la partie archaïque du cerveau, situé à l’arrière du crâne, il permet toutes les fonctions vitales primaires (respirations, pression artérielle, rythme cardiaque, coordination, équilibre, sommeil…) et déclenche, face au danger des réactions physiques instinctives, impulsives (instinct de survie) et des réflexes d’attaques ou de fuites → Cette partie du cerveau est mature dès la naissance – LE CERVEAU LIMBIQUE (ou cerveau émotionnel) permet la reconnaissance et l’évaluation de la valence émotionnelle, il a également une fonction essentielle dans la mémoire et les apprentissages. Plasticité cérébrale: (vidéo en fin d’article)

Métacognition - Idées ASH " Si tu donnes un poisson à un homme, il se nourrira un jour, si tu lui apprends à pêcher, il se nourrira toujours." La métacognition consiste à avoir une activité mentale sur ses propres processus mentaux, c'est à dire " penser sur ses propres pensées ". Dans le domaine de la psychologie de l'éducation, le terme désigne la composante du savoir d'un individu qui concerne les processus mêmes d'acquisition de ce savoir, en quelque sorte " ce qu'il sait de sa façon d'apprendre ". La métacognition se rapporte à la connaissance qu'on a de ses propres processus cognitifs, de leurs produits et de tout ce qui touche, par exemple, les propriétés pertinentes pour l'apprentissage d'information ou de données... La métacognition se rapporte, entre autres choses, à l'évaluation active, à la régulation et l'organisation de ces processus en fonction des objets cognitifs, ou des données sur lesquelles ils portent, habituellement pour servir un but ou un objectif concret.

Les émotions favorisent l’apprentissage Texte adapté de Même les émotions négatives aident à l’apprentissage publié sur le site de l’Université de Montréal le 17 janvier 2011Le chercheur Claude Frasson de l’Université de Montréal s’intéresse aux effets des émotions sur la mémoire. Par ses travaux, il cherche à concevoir des systèmes tutoriels intelligents qui intègrent la dimension émotionnelle de l’apprentissage. « Pour le chercheur, si les émotions sont la clé qui donne accès à la mémoire, c’est aussi dire qu’elles sont essentielles à l’apprentissage. On ne peut apprendre sans émotions, qu’elles soient positives ou négatives, affirme-t-il. Dans le cadre de sa recherche de maitrise, Ramla Ghali sous la direction de Frasson, a voulu connaitre les émotions les plus susceptibles de favoriser l’apprentissage. Selon que les enfants sont délicats ou agressifs, les stratégies d’apprentissage ne doivent pas être les mêmes. Dernière modification : 11 août 2021.

Apprendre à apprendre : nos conseils pour les révisions Du même auteur À lire aussi Ceci aussi peut vous intéresser Comme chaque année, la fin de Roland-Garros signale le début des hostilités… académiques. Dès lundi, les élèves de terminale devront plancher sur l’épreuve de philosophie, à grands renforts de Kant et de Descartes. Travailler efficacement, ce qui fonctionne (en accès libre)Certaines façons de travailler facilitent l'apprentissage, d'autres non. Exercer au mieux sa mémoire (en accès libre)Comment réviser et exercer sa mémoire efficacement ? Ne pas négliger son sommeilLa mémorisation à long terme d'informations pertinentes est meilleure après une bonne nuit de sommeil. Bien choisir son fond sonorePasser en bruit de fond des chansons en français pendant les révisions fait baisser les scores de mémorisation de 40 pour cent chez les jeunes élèves. Pour les curieux, ces articles permettent de mieux comprendre ce qui se joue au niveau cérébral lorsque nous apprenons. Apprendre par cœur ou comprendre ?

Ce que les enfants devraient savoir sur leur cerveau à l'école Les neurosciences apparaissent comme un domaine réservé aux meilleurs étudiants en sciences. Or une étude américaine a démontré que Au plus tôt on apprend à l’école comment fonctionne notre cerveau, au mieux c’est. Suite à une étude menée sur des enfants de 4 à 13 ans, les psychologues Peter Marshall et Christina Comalli ont découvert que les jeunes enfants ne connaissent ni les fonctions ni le fonctionnement de leur cerveau. Les scientifiques attribuent cet état de fait à plusieurs facteurs : 1. les parents et les enseignants ne mentionnent que très rarement le cerveau quand ils apprennent aux enfants comment leurs corps fonctionnent. 2. l’enseignement portant sur l’anatomie et les fonctionnalités du cerveau ne commence qu’au collège. 3. les enfants ne peuvent pas observer leur propre cerveau et sont forcés d’imaginer ce qui se passe à l’intérieur de leur tête. Marshall et Comalli ont alors élaboré une leçon d’une vingtaine de minutes à destination d’élèves de primaire. 1. 2. 1. 2. 3. 4.

Les fonctions cognitives - Association québécoise des neuropsychologues | Association québécoise des neuropsychologues L’attention L’attention est une fonction cognitive complexe qui fait référence à 3 capacités : Être alerte face à son environnement.Maintenir son attention sur une durée de temps appropriée pour son âge.Se concentrer sur une tâche malgré ce qui se passe autour ou partager son attention entre plusieurs tâches simultanément. Certaines fonctions cognitives sont interreliées. L’attention est nécessaire, mais non suffisante, à un fonctionnement optimal de la mémoire ou des fonctions exécutives, par exemple. Les fonctions exécutives Les fonctions exécutives entrent en jeu dans chaque action orientée vers un but. La mémoire de travail : capacité à maintenir et à traiter l’information mentalement dans le moment présent. Les fonctions intellectuelles Cet ensemble d’habiletés intellectuelles comprend des compétences verbales et visuelles, du raisonnement, ainsi que des mesures de la mémoire de travail, de la vitesse d’exécution et de traitement de l’information. Les fonctions visuo-spatiales

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