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Vous avez aimé la crise financière de 2008, vous allez adorer la prochaine

Vous avez aimé la crise financière de 2008, vous allez adorer la prochaine
XEnvoyer cet article par e-mail Vous avez aimé la crise financière de 2008, vous allez adorer la prochaine XEnvoyer cet article par e-mailVous avez aimé la crise financière de 2008, vous allez adorer la prochaine La Chine n'est pas la seule à faire peur Le krach de la bourse chinoise remet en avant notre analyse des facteurs de risques d'un "remake" de la crise de 2008 par Philippe Plassart Article mis en ligne la première fois le 8/05/2015 Surabondance de liquidités, écrasement des taux d’intérêt, sophistication des outils financiers, garde-fous illusoires. C’est un signe révélateur. “L’idée même du risque semble avoir disparu de la tête des investisseurs. “Les marchés d’actions surperforment et voient la vie en rose, alors que l’économie réelle continue de donner des signes de souffrance. Un déversement de liquidités sans précédent Pour éviter un effondrement financier, feu Milton Friedman préconisait un largage de liquidités “par hélicoptère”. Où est passé alors cet argent ? Related:  lecture interessanteEconomie

Une no.te .sur un vieil ordi Le capital : un rapport de domination ? Le débat entre Thomas Piketty et Frédéric Lordon Un fait rarissime à la télévision française s'est produit le vendredi 17 avril sur France 2 : deux économistes classés à gauche ont pu discuter, seuls, pendant trois quarts d'heure, sans qu'il se trouve sur le plateau un libéral pour leur porter la contradiction. D'habitude, l'économie à la télévision, c'est plutôt un partisan de l'économie de marché contre un partisan de l'économie de marché, et à la limite on se demande s'il faut plus ou moins d'économie de marché, mais il en faut toujours. Vendredi soir, dans Ce soir (ou jamais !) Dans cet article, Frédéric Lordon, qui est plus à gauche que Piketty, reproche à son confrère de n'avoir considéré, dans son livre, le «capital» que sous l'angle de la possession financière : en somme, ce que possèdent les riches et ce que ne possèdent pas les pauvres. «Comme une conséquence logique de la stratégie de l’évitement, la fiscalité s’impose alors comme l’unique levier résiduel lorsqu’on a abandonné d’agir sur tout le reste. Force de travail

L’entreprise libérée : une bonne ou mauvaise nouvelle ? Les pratiques de management favorisant l'innovation via la diffusion d'une culture de l'autonomie et de la prise d'initiatives se multiplient. La libération d'entreprise constitue l'une d'elles. Depuis la parution d’un ouvrage choc d’Isaac Getz « Freedom & cie » et un documentaire « L’entreprise libérée » diffusé sur le Web, on observe un petit raz-de-marée auprès de certains dirigeants et entrepreneurs remettant ainsi au gout du jour les idées plus anciennes de quelques grands noms du management tels que McGregor et Herzberg sur la motivation au travail. Au diable le contrôle donc, libérons nos salariés pour plus d’innovation, de bien-être et de performance ! Tous les secteurs sont concernés. L’ingrédient principal : un leader charismatique capable de convaincre ses salariés de la logique du laisser-faire en entreprise se traduisant, dans le discours, par une abolition du rôle de manager et des fonctions support. La vraie question, une fois avoir répondu au « pourquoi ?

Startups in 13 Sentences February 2009 One of the things I always tell startups is a principle I learned from Paul Buchheit: it's better to make a few people really happy than to make a lot of people semi-happy. I was saying recently to a reporter that if I could only tell startups 10 things, this would be one of them. Then I thought: what would the other 9 be? When I made the list there turned out to be 13: 1. Cofounders are for a startup what location is for real estate. 2. The reason to launch fast is not so much that it's critical to get your product to market early, but that you haven't really started working on it till you've launched. 3. This is the second half of launching fast. 4. You can envision the wealth created by a startup as a rectangle, where one side is the number of users and the other is how much you improve their lives. [2] The second dimension is the one you have most control over. 5. Ideally you want to make large numbers of users love you, but you can't expect to hit that right away. 6.

Dans les rouages de l'inégalité des chances Alors que la défiance dans l’avenir atteint des records dans l’Hexagone, la mobilité sociale demeure un enjeu essentiel. Elle incarne l’espoir d’une vie meilleure pour des millions de travailleurs mais aussi le rêve d’une société où fils et filles d’ouvriers disposent des mêmes chances que ceux des cadres. Si Camille Peugny, chercheur et maître de conférence à l’Université Paris 8 se montre très critique vis-à-vis des politiques publiques engagées lors des dernières décennies, il nous offre aussi des clés de compréhension. À défaut de solutions préconçues, ce sont là des pistes à explorer et quelques raisons de croire (encore) à des lendemains meilleurs. On entend parler d’égalité des chances, de notions comme le mérite, mais pas d’une opposition claire entre des classes sociales. Les inégalités entre les classes sociales n’ont jamais disparu La France des Trente Glorieuses, c’est : « tout le monde monte, mais l’écart sur les marches demeure le même ». C’est cruel présenté ainsi…

Goldman Sachs, enquête sur une société secrète M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Marc Roche CONTENT DE LUI, de son sort, de son employeur, Yoël Zaoui affirmait sans broncher que tout allait bien dans le meilleur des mondes. C'était en octobre 2008, la clameur de la crise financière semblait bien éloignée de la salle de réunion glacée de Goldman Sachs International à Londres où le Français, à l'époque codirecteur de la banque d'investissement en Europe, nous avait longuement reçu dans le cadre d'une enquête du Monde sur la banque la plus puissante de la planète. Trois ans et demi plus tard, le petit prince de cette finance impitoyable est tombé de son piédestal. L'histoire – et celle des entreprises n'y échappe pas – a souvent de mordantes ironies. A première vue, cette hémorragie de banquiers chevronnés aurait dû avoir un effet psychologique déplorable. Mais au fait, quelles affaires ? Depuis la crise de 2008 dont il est sorti grand gagnant, le groupe n'a cessé d'engranger succès sur succès.

Slow News Movement | time to change the pace Les Uber barbares, à la conquête du monde AirBnb, BlablaCar, Uber, Le Bon Coin... : ces sites ou applis révolutionnent des secteurs économiques, en mettant en avant une "économie collaborative" aux contours flous. Cet été, @si se penchera, dans une série d'enquêtes, sur ce phénomène, désormais communément appelé "uberisation". Il est naturel de commencer par le service de VTC (voiture de transport avec chauffeur) Uber, qui lui donne son nom. Véhicules brûlés, chauffeurs agressés, et batailles judiciaires et législatives ( @si en a largement parlé) : en France le développement d'Uber ressemble davantage à une virée en 4x4 sur chemin accidenté qu’à une balade parisienne en berline tout confort. Uber 1, de Blasio 0. Encore plus fort, Uber a apporté une modification à son application… en ajoutant une option "Bill de Blasio".

Les profits des négociants de matières premières dépassent ceux des banques Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Les chiffres donnent le tournis. Les vingt plus gros négociants de matières premières au monde ont empoché près de 250 milliards de dollars (191 milliards d'euros) au cours de la dernière décennie, devant les géants du secteur automobile (179 milliards d'euros sur la même période de 2003 à 2012 pour Toyota, Volkswagen, BMW, Renault et Ford) et bancaire (171 milliards d'euros pour JPMorgan, Goldman Sachs et Morgan Stanley). Les négociants, pierre angulaire des échanges mondiaux de matières premières, font traditionnellement le lien entre producteurs et consommateurs. Lire : "Les négociants prennent la main sur le marché des matières premières" Les chiffres d'affaires font encore davantage vaciller : les revenus des dix plus gros négociants en 2012 tournent autour de 916 milliards d'euros, soit l'équivalent du PIB de la Corée du Sud. Lire : "Le cuivre joue en sourdine" (édition Abonnés)

Jeremy Rifkin : “Ce qui a permis le succès inouï du capitalisme va se retourner contre lui” Il y a vingt-cinq ans, c'était la star du ring, le « boss », vainqueur du communisme par K-O ! Aujourd'hui, le capitalisme est un champion usé par la crise, miné par les contradictions et politiquement à bout de souffle. Pour l'économiste américain Jeremy Rifkin, nous assistons, tout simplement, à son éclipse. Nous nous éveillons, dites-vous, à « une nouvelle réalité – celle des communaux collaboratifs ». “J’ai découvert l’existence d’un paradoxe profondément enfoui au cœur du capitalisme, et qui n’avait pas encore été mis au jour.” Qu'est ce qui provoque ce changement de paradigme ? Chaque entrepreneur, comme nous le savons, est en chasse de nouvelles technologies pour améliorer la productivité de son entreprise, réduire les coûts marginaux, mettre sur le marché des produits moins chers, attirer plus de consommateurs, gagner des parts de marché, et satisfaire les investisseurs. C'est pourtant ce qu'il se passe ? Et aujourd'hui ? Le changement est à la porte.

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