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Érasme

Érasme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Érasme, également appelé Érasme de Rotterdam (Desiderius Erasmus Roterodamus), né dans la nuit du 27 au 28 octobre[1], en 1467[2] (ou en 1466, ou en 1469) à Rotterdam, comté de Hollande, et mort le 12 juillet 1536 à Bâle, est un chanoine régulier de saint Augustin, philosophe, écrivain latin, humaniste et théologien des Pays-Bas bourguignons, considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive. Onomastique[modifier | modifier le code] Les noms de famille, à l'époque, n'étaient pas forcément stabilisés. Il appelle lui-même son père (en latin) Gerardus, et son frère aîné Petrus Gerardus ; d'autre part, un bref du pape le désigne comme Erasmus Rogerii. On en déduit que son père devait s'appeler en néerlandais Rotger Gerrit ou Gerrits. Biographie résumée[modifier | modifier le code] Érasme est né en 1466 ou 1467 ou 1469, selon les biographes, à Rotterdam. Entre 1499 et 1514, Érasme a parcouru l’Europe. Il meurt le à Bâle. Related:  Critiques, polémistes, essayistesWIKIPEDIA`test 1017

Albert Camus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Camus. Albert Camus Albert Camus en 1957. Œuvres principales Compléments Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurde de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à l'absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence, et « alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir »[3]. Il ne se dérobe devant aucun combat, protestant successivement contre les inégalités qui frappent les musulmans d'Afrique du Nord, puis contre la caricature du pied-noir exploiteur, ou prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme et des objecteurs de conscience[5]. En marge des courants philosophiques, Camus est d'abord témoin de son temps, intransigeant, refusant toute compromission.

Jean Pic de la Mirandole Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Pic de la Mirandole Philosophe italien Jean Pic de la Mirandole, Galerie des Offices Jean Pic de la Mirandole (Giovanni Pico della Mirandola), né à Concordia sulla Secchia le et mort le , est un philosophe et théologien humaniste italien, troisième fils d'une vieille famille comtale. Biographie[modifier | modifier le code] Jeune héritier d'une fortune considérable, il eut le loisir d'étudier et de voyager à sa guise, et consacra sa vie au savoir. Yves Hersant, présentant sa traduction de l'ouvrage De la dignité de l'homme, explique : « Lorsqu'il écrit l'Oratio de hominis dignitate, qui aurait dû introduire ses Neuf cents thèses philosophiques, théologiques et cabalistiques, Pic de la Mirandole a vingt-quatre ans. Jeunesse et études[modifier | modifier le code] De 1480 à 1482, il poursuit ses études à l'Université de Padoue, un centre majeur de philosophie aristotélicienne en Italie. Pic est profondément ébranlé par cette expérience.

Thomas Paine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Paine. Thomas Paine, né le à Thetford en Grande-Bretagne et mort le à New York, est un intellectuel, pamphlétaire, révolutionnaire devenu américain après avoir émigré à l’âge de 37 ans. Il est connu pour son engagement durant la Révolution américaine en faveur de l'indépendance des treize colonies britanniques en Amérique du Nord. Il a exposé ses positions dans un célèbre pamphlet intitulé Le Sens commun, publié quelques mois avant la signature de la Déclaration d’indépendance américaine en 1776. Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé »[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Débuts en Angleterre[modifier | modifier le code] Maison de Thomas Paine à Lewes. Statue de Thomas Paine à Thetford (Norfolk). En Amérique[modifier | modifier le code]

Gargantua Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rabelais a publié Gargantua sous le même pseudonyme que Pantagruel : Alcofribas Nasier (anagramme de François Rabelais) Abstracteur de Quintessence. Résumé[modifier | modifier le code] Enfance et éducation de Gargantua[modifier | modifier le code] Jean Audeau, un simple paysan, découvre par accident dans un énorme tumulus un petit livret qui contient la généalogie des géants d’autrefois. Son père, en découvrant l’enfant, s’écrie : « Que grand (gosier) tu as » Et l’enfant est appelé alors Gargantua, selon la coutume des anciens Hébreux. Le blanc symbolise la joie, le plaisir, les délices et les réjouissances. Puis, l’enfance de Gargantua est racontée. Gargantua visite la cité de Paris et fait l’objet de la curiosité des Parisiens. La méthode de travail de Ponocrates consiste d’abord à observer Gargantua sans intervenir. La guerre picrocholine[modifier | modifier le code] Illustration du Quart Livre par Gustave Doré.

» Voilà pourquoi la Corée du Nord déteste autant les États-Unis… Source : Association d’amitié franco-coréenne, 24-06-2010 Quand les Etats-Unis détruisaient un pays pour le sauver Le 25 juin 2010 marque le soixantième anniversaire du début de la Guerre de Corée, appelée «Guerre de Libération de la patrie » en République populaire démocratique de Corée. Au lendemain de la libération de la Corée (15 août 1945), après 35 ans de colonisation japonaise, le peuple coréen pouvait pourtant légitimement prétendre à recouvrer son indépendance et sa souveraineté, comme s’y étaient engagés les pays alliés lors de la Conférence du Caire (novembre 1943). La thèse de l’offensive nord-coréenne du 25 juin 1950 servit de prétexte à une intervention militaire des Etats-Unis, dans le cadre d’une stratégie américaine globale de « refoulement du communisme ». Pour cette « opération de police », les Etats-Unis eurent recours à des armes de destruction massive, ou menacèrent d’en utiliser, ce qui contribue encore à éclairer la situation actuelle. Les bonnes personnes ?

Angelo Rinaldi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rinaldi. Angelo Rinaldi à l'Académie française. Angelo Rinaldi, né le 17 juin 1940 à Bastia, est un romancier et critique littéraire français. §Biographie[modifier | modifier le code] Angelo Rinaldi a travaillé successivement à L'Express, au Point et au Nouvel Observateur avant de devenir directeur littéraire du Figaro et responsable du Figaro littéraire jusqu'à sa retraite, en 2005[4]. Il a reçu le Prix littéraire Prince-Pierre-de-Monaco pour l'ensemble de son œuvre et été élu au premier tour le 21 juin 2001 à l'Académie française (20e fauteuil), où il rejoint son voisin Hector Bianciotti. En avril 2007, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur. En mars 2011, il démissionne de la présidence de l'association Défense de la langue Française pour protester contre la remise d'un prix à Éric Zemmour[5], à la suite de la condamnation du journaliste polémique pour provocation à la discrimination raciale.

François Rabelais Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Ecclésiastique et anticlérical, chrétien et libre penseur, médecin et bon vivant, les multiples facettes de sa personnalité semblent parfois contradictoires. Son réquisitoire à l'encontre des théologiens de la Sorbonne et ses expressions crues, parfois obscènes, lui attirent les foudres de la censure des autorités religieuses, surtout à partir de la publication du Tiers Livre. Biographie De la campagne tourangelle à la vie monacale La Devinière, lieu d'enfance de l'écrivain. Selon une tradition qui remonte à Roger de Gaignières (1642-1715), le fils du sénéchal et avocat Antoine Rabelais nait au domaine de La Devinière à Seuilly, près de Chinon en Touraine[2]. Vocation de médecin et premières œuvres littéraires Les trois voyages de Rabelais à Rome sont placés sous la protection de Jean du Bellay. Rabelais consacre l'essentiel de sa carrière à la médecine, y développant son érudition sans apporter d'innovations majeures[11]. Notes

Thomas More Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir More. Thomas More, latinisé en Thomas Morus (, Londres – , Londres), est un juriste, historien, philosophe, humaniste, théologien et homme politique anglais. Grand ami d'Érasme, érudit, philanthrope, il participe pleinement au renouveau de la pensée qui caractérise cette époque, ainsi qu'à l'humanisme, dont il est le plus illustre représentant anglais. Nommé « Ambassadeur extraordinaire », puis « Chancelier du roi » par Henri VIII, il désavoue le divorce du Roi et refuse de cautionner l'autorité que s'était arrogée celui-ci en matière religieuse : il démissionne de sa charge en 1532. Béatifié par l'Église catholique romaine en 1886, Thomas More est canonisé — saint Thomas More — en 1935. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Thomas More et sa famille. Selon Érasme, « il préféra être un mari chaste plutôt qu'un moine impudique. » Jugement[modifier | modifier le code]

Michel de Montaigne Signature Probablement dès la fin mars 1578, il constate qu'il est victime de petits calculs urinaires, et en dix-huit mois, la gravelle, maladie responsable de la mort de son père, s'aggrave et s'installe durablement. Désormais, le plus souvent souffrant ou malade, il cherche à hâter ses écrits et à combler ses curiosités : il essaie ainsi de guérir en voyageant vers des lieux de cure, puis voyage vers les contrées qui l'ont fasciné durant sa jeunesse. S'il proclame que son livre « ne sert à rien » (« Au lecteur »), parce qu'il se distingue des traités de morale autorisés par la Sorbonne, Montaigne souligne tout de même que quiconque le lira pourra tirer profit de son[6] expérience. Le bonheur du sage consiste à aimer la vie et à la goûter pleinement : « C'est une perfection absolue et pour ainsi dire divine que de savoir jouir loyalement de son être[8]. » Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales[modifier | modifier le code] Éducation[modifier | modifier le code]

«Beaucoup de divergences entre la France et la Chine» - France RFI : Qui de la France ou de la Chine, sur le plan économique, a le plus à gagner lors de ce déplacement de Xi Jinping ? Jean-Philippe Béja : Chacun veut y gagner. Il faut voir un peu qui est-ce qui sera dans la meilleure position. Les Français voudraient pouvoir rééquilibrer leurs échanges qui sont extrêmement déficitaires puisque le commerce avec la Chine représente 40% du déficit français. Comment faire pour élargir le champ des échanges économiques à d’autres domaines que ceux du luxe, de l’automobile ou encore de l’aéronautique ? Les Français, en ce moment, essayent de vendre un peu leur savoir-faire dans le domaine de l’urbanisation. → A (RE) ECOUTER : L'Etat français et Dongfeng entrent au capital de PSA Vous parliez de marchés, de Chinois qui viennent faire leur marché en France. Les Français investissent quand même en Chine. → A (RE) ECOUTER : Quand la France forme des ingénieurs aéronautiques en Chine Où la Chine est restée relativement neutre…

Francis Jeanson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Jeanson. §Biographie[modifier | modifier le code] Il revient en France à l'occasion de son amnistie, en 1966, et est chargé par André Malraux de construire et préfigurer la Maison de la culture de Chalon-sur-Saône (1967-1971). Il participe ensuite à des expériences de « psychiatrie ouverte ». En 1992, il devient président de l'Association Sarajevo, en soutien au peuple bosniaque, et se porte candidat sur la liste « L'Europe commence à Sarajevo » du professeur Léon Schwartzenberg pour les élections européennes de 1994. §Bibliographie[modifier | modifier le code] §Sur Francis Jeanson[modifier | modifier le code] Marie-Pierre Ulloa, Francis Jeanson. §Filmographie[modifier | modifier le code] La Chinoise, film de Jean-Luc Godard, 1967 (Jeanson joue son propre rôle lors d'une discussion avec Anne Wiazemsky) §Références[modifier | modifier le code] §Liens externes[modifier | modifier le code]

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