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Credo du journalisme. Photo-journalisme. Critique des médias. Statistiques consommation des médias. Demand media. Christine Kerdellant, la politique web de L’Express et L’Expansion. Sous son impulsion, les deux magazines ont déployés, assez récemment, une nouvelle dynamique digitale notamment à L’Express où la convergence print-web est devenue prioritaire. Avec 23 salariés, la rédaction web de l’hebdomadaire produit essentiellement des hot news pour près de 5 M de visiteurs uniques par mois et sert d’espace de tests éditoriaux au groupe. Le taux de duplication print-web n’est que de 9% ce qui signifie clairement que les lectorats sont très différenciés. Du côté de L’Expansion, la rédaction web est composée de 5 personnes qui produisent également la chaîne Eco du site de L’Express et les journalistes du titre sont plus naturellement multi-plateformes.

L’un des chantiers principaux du futur sera de développer une offre de data journalisme. Rupert Murdoch's pathetic paywall | Jeff Jarvis. Rupert Murdoch has declared surrender. The future defeated him. By building his paywall around Times Newspapers, he has said that he has no new ideas to build advertising. He has no new ideas to build deeper and more valuable relationships with readers and will send them away if they do not pay. Even he has no new ideas to find the efficiencies the internet can bring in content creation, marketing, and delivery. Instead, Murdoch will milk his cash cow a pound at a time, leaving his children with a dry, dead beast, the remains of his once proud if not great newspaper empire.

I used to work for Murdoch at his American magazine TV Guide. According to his biographer Michael Wolff, Murdoch has not used the internet, let alone Google (he only recently discovered email) and so he cannot possibly understand the dynamics, demands and opportunities of our post-industrial, now-digital media economy. So to try to transpose old business models to this new business reality is simply insane. Aggregators: the good ones vs. the looters. News aggregators have grown into all shapes and forms. Some are truly helping the producers of original content but others simply amount to mere electronic ransack. My daily media routine starts on Techmeme. It is a pure aggregator — actually an aggrefilter, as coined by Dan Farber, at the time editor-in-chief of Cnet, who recommended it.

This little site combines simple concept and sophisticated execution. As shown in its “Leaderboard”, it crawls a hundred sources and applies a clever algorithm using 600 parameters. Techmeme and Mediagazer benefit the news outlets they mention. In fact, in their very own fields, Techmeme are Mediagazer are more useful than Google News. At the other end of the aggregator spectrum, we have The Huffington Post, one of the smartest digital news machine ever and, at the same time, the mother of all news internet impostures. In France, where true journalism is in a state of exhaustion, everybody wants to make “Un Huffington Post à la Française“. Qui es-tu, visiteur unique? Crédit: Flickr/CC/Brennan Moore Le terme «visiteur unique» est un faux ami. Car le visiteur unique (VU) n’est pas vraiment unique. Cette unité de mesure de l’audience, graal des sites Web pour le marché publicitaire, désigne un «individu qui a cliqué sur le contenu d’un site au moins une fois pendant la période mesurée (généralement un mois, ndlr)», m’explique Berit Block, analyste européen pour l’institut Comscore, qui évalue le trafic des sites Web.

Alors pourquoi s’appelle-t-il unique? Rien compris? >> A ce stade de l’article, j’ai peut-être perdu du monde. Sur plus de 35 millions d’internautes en France que compte Médiamétrie, 22,7 millions d’internautes (2 sur 3) ont surfé, en mars 2010, sur un site d’info au moins — un site d’info peut être un agrégateur (Google actualités, Yahoo! Mais qui est le visiteur unique moyen des sites d’informations français? 43 minutes par mois Allons voir chez Médiamétrie maintenant.

Source: Médiamétrie mars 2010 Boulimique et volatile Alice Antheaume. Crise des media. 7 études de cas en data journalism et visualisation de données « Beaucoup de veille en ce moment, et peu d’écrit. Voici quand même quelques études de cas à vous faire partager. Depuis un an que je piste les exemples de data journalism, je constate que les initiatives françaises sont bien rachitiques et que j’atterris le plus souvent sur des sites anglo-saxons.

Avec le nytimes.com, le washingtonpost.com et le guardian.co.uk en pionniers du genre. Les études de cas ci-dessous illustrent assez bien l’état du journalisme de données français par rapport à ce qui se fait aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne ou même en Espagne. Plusieurs facteurs se combinent pour expliquer ce décalage français : un rapport différent aux données, une histoire journalistique divergente, une culture de la transparence publique antagonique, un appareil législatif singulier et surtout des rédactions appauvries tant en moyens financiers qu’en compétences humaines. Le New York Times : leader américain en matière de data journalism. Un petit mot sur Gapminder. Like this: Internaute, pour 20 $ offre-toi un (bon) reportage dans le journ. Public data.

Journalisme. Medias traditionnels vs. internet. Sarkozy et les journalistes: ses têtes de turc du moment... - I. La scène, croquée cent et mille fois, est restée gravée dans les mémoires. Ce 8 janvier 2008, devant 600 journalistes, estomaqués et goguenards, Nicolas Sarkozy administrait une volée de bois vert à Laurent Joffrin. Interrogé par le directeur de Libération sur son occupation de la "scène médiatique", le chef de l’Etat admonestait celui qui venait de le «cueillir » à froid, en lui demandant s’il n’avait pas instauré en France une "monarchie élective".

La formule n’avait pas plu: regard bloqué et voix blanche, Nicolas Sarkozy s’était emporté : multipliant les piques, il avait porté l’estocade en donnant, vachard, du « Monsieur Joffrin » au journaliste de «Libé», sous les rires étouffés d’un parterre de confrères ricanant. L’honneur souillé d’un journaliste humilié devant ses pairs… Le directeur de Libé aura eu ainsi l’honneur d’inaugurer la partie de ball-trap présidentielle, puisque depuis cet épisode, le chef de l’Etat flingue à tout-va.

Jean-Michel Aphatie est aussi en ligne de mire. Du storytelling digital au storytalking politique | Owni.fr. Nicolas Sarkozy sur Facebook, le Président de la République et ses 186 000 "fans": face au succès du réseau social et de ces plus de 11 millions de Français inscrits, la communication de l'Elysée a compris tout l'intérêt de communiquer sur Facebook.

Un large public, captif et bavard, la possibilité de passer outre les diffuseurs d'actualités: Facebook aurait du être "the place to be" pour les communicants politiques drogués au storytelling. Nicolas Sarkozy sur Facebook, le Président de la République et ses 186 000 “fans”: face au succès du réseau social et de ces plus de 11 millions de Français inscrits, la communication de l’Elysée a compris tout l’intérêt de communiquer sur Facebook. Un large public, captif et bavard, la possibilité de passer outre les diffuseurs d’actualités: Facebook aurait du être “the place to be” pour les communicants politiques drogués au storytelling. Digital Sarkozy chute au pied du Mur de Berlin Le storytelling digital est mort… … vive le storytalking digital! Ne tirez pas sur le localier. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Xavier Ternisien Depuis plusieurs semaines, les témoignages de sympathie affluent. Nicolas Totet, chef de l'édition locale du Courrier picard, à Saint-Quentin (Aisne), a été confronté à un Xavier Bertrand très agressif, souvent méprisant, au cours d'une interview pour la chaîne Public Sénat, le 16 janvier.

Ces images ont connu un grand succès sur les sites de partage en ligne, et Nicolas Totet est devenu une sorte de héros de la presse régionale. Des journalistes en activité ou à la retraite l'inondent de messages de soutien par courriel. "Bravo ! " ; "Contre-attaquez ! " Nicolas Totet n'a pas eu le courage de regarder la vidéo sur Internet. Emmanuel Mousset, qui tient le blog "L'Aisne avec DSK", a trouvé un surnom à Nicolas Totet : "Notre Tintin humilié". En s'attaquant à Nicolas Totet, le secrétaire général de l'UMP et adjoint au maire de la ville s'en est pris à un Saint-Quentinois de souche.

A Saint-Quentin, Le Courrier picard est minoritaire. Demain le journalisme. WikiLeaks. Vidéo reporter turques mitraillés en Géorgie. Les images amateurs comme les journalistes. Untitled. Article du journal vendredi sur l'open money. The New York Times - Breaking News, World News & Multimedia. Bruni-Biolay: les limites du bistrot Internet. Loin de moi l'idée de tirer sur Internet. Pas mon genre.Encore moins de faire la morale aux blogueurs et aux webjournalistes qui se sont amusés autour de cette "loverumor", cette #brulaybullshit au sommet.Ce qui est intéressant dans la façon dont cette rumeur, qui circulait dans toutes les rédactions (et qui ne s'appuie sur aucune information avérée), est devenu un buzz international via Twitter et quelques médias internationaux peu scrupuleux, c'est ce qu'elle nous dit des usages du web, de ce réseau en mutation.Et quelles leçons que nous pouvons en tirer.

Alors que la rumeur enflamme le web (voir le graphique Google Trends, ci desssous, reproduit par le site StreetPress qui montre une montée en flèche des requêtes Google sur le sujet) tout le monde y va de son couplet: Internet aurait une nouvelle fois la démonstration de son ADN poubelle. C'est faux. Internet a fait la démonstration de sa "floutitude"... de son insaisissabilité. De son statut à part, liquide, hybride.

Biolay-Bruni : de Twitter à i>Télé, itinérair. Mes liens de prof - Nouvelle formule. Il y a quelques semaines, j’ai donné un cours aux étudiants de première année du CJF, sur l’écriture Web. Je ne suis pas prof, j’ai le talent pédagogique d’un misanthrope bègue et deux malheureux atouts – en plus de ma fausse modestie: ma conviction et ce que je sais de mon métier. Ce que je sais de mon métier, c’est beaucoup ce que j’en vois et en lis sur Internet, les expériences des autres ou celles qu’on tente sur LEXPRESS.fr – quand ce ne sont pas les mêmes. Les deux jours de formation se sont donc lourdement appuyés sur des exemples in vivo numericus, dénichés au gré de mes veilles et de celles de mon équipe et réunis, in fine, dans cette page de bookmarks, que j’ai envoyée aux étudiants.

Vous en faites ce que vous voulez. Pour commencer – ça peut pas faire de mal… The seven laws of journalism… Ecrire: à oublier aussi vite qu’appris… Règle des 5 W et 2 H —MaBulle ™ Ecrire pour le Web Long form journalism on the Web is "not working" TechCrunch (pour les geeks) Information en ligne : le règne du canon à dépêches - novövision. Ecrire pour le Web en 2010. #Datajournalism: géolocalisons les votes et les bureaux de vote. Untitled. "Le contrôle des médias par Sarkozy, ça ne ma. Sauter le pas de l'iPad est-il dangereux pour les médias ? - Etr. Polémique sur "Les infiltrés", devenus auxiliaires de police | R.

La « charte des devoirs professionnels des journalistes français » stipule qu’un journaliste « ne confond pas son rôle avec celui du policier ». Après avoir enquêté sur des pédophiles, le journaliste de l’émission controversée Les Infiltrés, diffusée ce soir sur France 2, devait-il les dénoncer à la police ? Cité par Télé 2 Semaines, Laurent Richard, rédacteur en chef de l’émission et auteur du reportage « Pédophilie : les prédateurs », estime avoir « fait ce que tout citoyen doit faire » : « Quand on est destinataire d’informations qui peuvent empêcher des tentatives de corruption sur des mineurs ou des viols d’enfants, c’est normal qu’on signale les cas à la police. [...]On n’est pas dans une fiction, j’ai vu les images, j’ai vu ce qu’ils faisaient. [...]J’aurais été plus mal à l’aise de ne rien faire.

Ce sont des faits d’une gravité absolue, il n’y a pas à tergiverser. » Joint par téléphone, Laurent Richard a refusé de s’exprimer avant que j’aie vu son reportage. J’ai vu le document. Crise et Internet bousculent les journalistes - Etreintes digita.

Data journalism

Les journalistes ont mauvaise presse. Gratuit vs Payant : quel modèle pour la presse en ligne ? – Disc. Face à la crise de la presse traditionnelle, à la chute de revenus publicitaires et à la concurrence, la presse en ligne expérimente et se cherche plus que jamais. Décryptage des différents modèles économiques. Nul besoin de le répéter, la presse va mal depuis plusieurs années. Face à la concurrence du web et de la presse gratuite, la presse papier payante semble condamnée à rétrécir son offre : de nombreux titres se voient contraints de stopper leur parution, cherchant parfois une sortie de secours salvatrice du côté du web, comme on a pu le voir avec Elle Girl, PC Mag, Teck’Yo ou encore La Griffe.

Alors que la radio et la télé s’enrichissent sans arrêt de nouvelles stations et de nouvelles chaînes, la presse traditionnelle semble arriver à son déclin, après de nombreuses années qui auront vu s’opérer une véritable multiplication de l’offre. Les pure players ou la nécessité de l’équilibre financier Les sites de journaux et le pari du payant. Tentative de définition du journalisme lol » Article » owni.fr, Journalisme, lol: deux termes presque antinomiques. Pourtant, tel que pratiqué par les jeunes journalistes web, le journalisme se nourrit des pratiques et usages en cours sur Internet. Et se pare des atours du lol, donc. Le mot avait été lancé comme une insulte. Xavier Ternisien, journaliste au Monde et star du micro-blogging m’avait un jour envoyé à la gueule sur Twitter que j’étais un “journaliste lol”.

Nous étions alors en plein tweet-clash, surjouant nos rôles respectifs de jeune con et de vieux aigri après la publication d’un fameux papier sur les “forçats de l’info” portant sur les conditions de travail des journalistes web. Franchement, je l’avais mal pris. Et puis, à ma grande surprise, au fil des mois, les choses ont évolué. Mais merde, alors, journaliste lol, c’est devenu un vrai métier ? Il y a une première définition. Mais le journalisme Twitter n’est pas la grandeur du journalisme lol. Aux Etats-Unis, l’équation du journalisme lol est donc posée en termes économiques. Sommes-nous prêts à payer pour l’information en ligne ? – Pablo. Dans la vidéo ci-dessous, Pablo Javier Boczkowski nous explique que nos nouvelles habitudes de lecture expliquent en partie notre faible propension à payer pour l’information en ligne. Le chercheur Américain demeure sceptique quant à la possibilité de monétiser le contenu d’information générale sur le web.

Il considère les fournisseurs d’information de niche et les agences de presse comme les seuls acteurs capables de tirer des revenus du marché digital. {*style:<i>“My sense is that given most <b>people are looking at home pages and headlines, they click and they read the lead and the first paragraph , and then a little bit of the rest, I think most of that content is commodity content </b>. It’s content that you can find in many sources. . [ . . . ] [...] What’s going to pay for journalism? (Source : Sustainable Journalism) Mots-clés : business model , la cantine , marché de l'information journalistique sur le web , micro-paiement , monétisation , Pablo Javier Boczkowski , réseaux. L'actu media web - Entrez dans le Berli.

Billet initialement publié lé 29 juin 2010 C'est un travail original que 36 étudiants de l'IJBA (Institut de Journalisme Bordeaux-Aquitaine) ont réalisé en mai dernier. Comme beaucoup de leurs collègues des différentes écoles de journalisme du pays, les étudiants bordelais se sont rendus à l'étranger pour concocter une série de reportages. Thème choisi : la culture à Berlin. Nom du projet : le Berlin Kultur Lab. Une expérience vraiment intéressante et qui constitue une vraie recherche sur les nouvelles façons de publier de l'information en 2010.

Pour découvrir les travaux des étudiants ayant lancé le Berlin Kultur Lab, il suffit de cliquer sur les différents liens du billet ou de vous rendre sur leur page Netvibes en cliquant ici. Virginie Beernaert, journaliste pour le site Medias2, a interviewé Olivier Laffargue l'un des étudiants ayant participé à cette expérience. Berlinkulturlab by Médias[2] Le labo médias de l'école de journal.