background preloader

Alzheimer

Facebook Twitter

Alzheimer. Le mérite d'Alois Alzheimer est d'avoir publié un cas de démence pré-sénile, c'est à dire une forme jeune de la maladie d'Alzheimer. Il montre également que la dégénérescence neurofibrillaire est une lésion caractéristique de cette pathologie. Au total, on peut conclure suite à ce travail que les formes jeunes et séniles ont une même base lésionnelle, neuropathologique. Alzheimer, A., Uber eine eigenartige Erkrankung der Hirnrinde. Allg Z Psychiatr, 1907. 64: p. 146-148. 1: Alzheimer A, Forstl H, Levy R. 2: Alzheimer A, Stelzmann RA, Schnitzlein HN, Murtagh FR. 3: Alzheimer A. . • Alzheimer A (1888) Ueber die Ohrenschmalzdruesen [On the earwax glands] . • Alzheimer A (1891) Ueber einen Fall von spinaler progressiver Muskelatrophie mit hinzutretender Erkrankung bulbaerer Kerne und der Rinde [On a case of spinal progressive muscular atrophy with additional disease of bulbar nuclei and the cortex]

. • Alzheimer A (1895) Kolloide Entartung des Gehirns [Colloid degeneration of the brain]. La démence. » Maladie d’Alzheimer : une histoire de protéines ? Contre la maladie d’Alzheimer, le Pr Baulieu suit une piste unique : celle des protéines. ©Destination Santé Plus de 100 ans après sa découverte, la maladie d’Alzheimer conserve ses secrets. Comment traiter cette affection qui concerne entre 600 000 et 700 000 patients rien qu’en France ? C’est la question sur laquelle plancheraient actuellement quelque 100 000 chercheurs dans le monde !

Il faut dire que les enjeux sont énormes face à une affection dont l’incidence explose, à mesure que la population avance en âge. Plongée au cœur de la bataille en compagnie d’un chercheur hors du commun, le Pr Etienne-Emile Baulieu, membre de l’Académie nationale de médecine et des sciences. Un savant. Des plaques et des buissons. La fausse piste des plaques… Durant des décennies, les chercheurs ont porté leur attention sur ces fameuses plaques amyloïdes. Vous avez dit Tau ? Une histoire de protéines. . « Ce travail est donc devenu notre ligne de recherche, avec deux objectifs : 13LADO. Alzheimer : ce qui aurait un impact préventif. Existe-t-il des stratégies pour éviter la maladie d'Alzheimer? Autrefois le cancer était la principale crainte des populations. Aujourd'hui, c'est la maladie d'Alzheimer qui fait le plus peur. Si le ou les traitements efficaces restent à découvrir, les médecins réfléchissent de plus en plus aux stratégies de prévention.

Avec l'idée que même si on ne fait que retarder de cinq ans le début de la maladie, on réduira notablement le nombre de cas, puisque cette affection débute très tardivement, en moyenne après 75 ans. À l'occasion du congrès international de l'Association Alzheimer, qui vient de réunir près de 6000 experts à Paris la semaine dernière, des chercheurs américains ont présenté les résultats d'une modélisation mathématique concluant que des millions de cas pourraient être évités dans le monde en maîtrisant des risques tels que l'hypertension, le tabagisme, l'obésité et le manque d'exercice physique et d'éducation. Sept facteurs de risque. Maladie d'Alzheimer : traitements. Les traitements médicamenteux disponibles aujourd'hui pour la maladie d'Alzheimer ne sont ni curatifs ni préventifs mais ils ont pour but de : Maîtriser les symptômes Empêcher l'aggravation Améliorer temporairement l’état de la personne atteinte Ralentir la progression des symptômes La médication peut ralentir et stabiliser temporairement le processus dégénératif en plus d'améliorer de façon temporaire l'état de la personne affectée.

Les plus communs sont : En plus de la médication, d’autres thérapies ont fait leur preuve pour aider les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer : la remédiation cognitive, la luminothérapie, le snoezelen et la zoothérapie. Récemment, des études de prévention réalisées aux États-Unis et en Europe indiquent qu'un régime alimentaire de style méditerranéen, combiné à de l'exercise physique régulier, peuvent retarder significativement l'apparition des symptômes. Optogénétique. L'optogénétique est un domaine de recherche et d’application associant les techniques de l’optique à celles de la génétique. Elle permet, par une stimulation lumineuse, d'altérer spécifiquement et localement un nombre limité de cellules modifiées génétiquement pour y être sensibles, sans perturber directement l'état des cellules voisines.

Conceptualisée à la fin des années 1970, elle est consacrée par un mot dédié en 2006, puis élue méthode de l’année par Nature Methods en 2010. Les applications, en nombre croissant, incluent la cartographie fine des réseaux neuronaux, l'étude de leur physiologie et de leurs communications normales et pathologiques, et de potentielles interventions médicales restaurant par exemple l'audition ou la vision. Principe[modifier | modifier le code] Principe de l'optogénétique Génétique[modifier | modifier le code] Optique[modifier | modifier le code] Matériaux pour application optique[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code]

Medicaments demence. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Ce qu’on appelle communément l’Alzheimer est une forme de démence qui s’accompagne d’un déclin progressif de plusieurs fonctions cognitives. On lui associe généralement deux types de lésions dans l'ensemble du cortex cérébral : les plaques amyloïdes, que l’on retrouve entre les neurones, et la dégénérescence neurofibrillaire, que l’on retrouve à l’intérieur des neurones. Les deux sont des amas de protéines qui se forment lors du processus normal de vieillissement. Ces protéines s’accumulent cependant en beaucoup plus grande quantité dans les démences de type Alzheimer. De nombreux chercheurs () croient que la bêta-amyloïde deviendrait toxique pour ces cellules nerveuses lorsqu’elle atteint des concentrations élevées dans les plaques. La dégénérescence neurofibrillaire (on parle aussi d’écheveaux ou d’enchevêtrements neurofibrillaires) est aussi due à une protéine qui devient anormale, mais à l’intérieur des neurones cette fois.

Mécanismes et secrets de la maladie d'Alzheimer : le cerveau à la loupe. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Selon l’hypothèse amyloïde, les plaques amyloïdes qui se forment avec l’âge entre les neurones seraient toxiques et, par conséquent, à l’origine des pertes cognitives associées à l’Alzheimer. Bien que , de grands efforts de recherche ont été consacrés à la compréhension des mécanismes de formation de ces plaques. Mais d’abord, d’où vient cette épithète d’amyloïde ? Il faut remonter à la fin du XIXe siècle pour en saisir le sens. À l’époque, le médecin allemand Rudolf Virchow étudiait une maladie dans laquelle certains organes, tels le coeur, la rate, le foie et la langue, grossissaient et durcissaient. En fait, Virchow avait coloré non pas un sucre, mais une protéine, comme on le démontra quelques années plus tard. C’est en 1927 que le psychiatre belge Paul Divry constate que le rouge Congo colore aussi les « plaques séniles » déjà décrites par Alois Alzheimer lui-même deux décennies auparavant.