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0416 Exclusion scolaire. Observatoire des inégalités. Raymond Boudon. Raymond Boudon en 2008. Raymond Boudon, né le 27 janvier 1934 à Paris et mort le 10 avril 2013 à Saint-Cloud, est un philosophe et sociologue français. Chef de file de l'individualisme méthodologique en France, c'est l'un des plus importants sociologues français de la seconde moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle.

Dans son livre L'Inégalité des chances (1973), il a étudié la question de la mobilité sociale, dont on s'étonne, à cette époque, que cette dernière ne soit pas accélérée par la démocratisation scolaire. Il montre que le principal facteur d'explication de l'inégalité des chances scolaires est la demande d'éducation, c'est-à-dire l'ambition scolaire. Les résultats de son étude placent ce facteur individuel devant celui de l'origine sociale, mis en avant par Pierre Bourdieu comme facteur de reproduction sociale. Membre de nombreuses sociétés savantes internationales, il est élu à Académie des sciences morales et politiques en 1990. Biographie[modifier | modifier le code] 20.000 jeunes en échec scolaire «raccrochés» en 2013. VIDÉO - Le ministre de l'Éducation nationale, qui a dressé un premier bilan de l'action du gouvernement contre l'exclusion scolaire, a annoncé l'objectif plus ambitieux de 25.000 jeunes pour 2014.

Diviser par deux le nombre de décrocheurs scolaires était l'une des promesses de François Hollande pour son quinquennat. Un an après le lancement d'un plan contre le décrochage scolaire, le ministre de l'Éducation nationale souhaite «raccrocher» 25.000 jeunes ayant quitté le système scolaire sans qualification en 2014, après avoir dépassé l'objectif de 20.000 l'année dernière. Vincent Peillon l'a annoncé mercredi lors d'un séminaire contre le décrochage scolaire. Chaque année, on estime à 140.000 le nombre de jeunes quittant le système scolaire sans diplôme de niveau professionnel type BEP ou CAP, ni baccalauréat. «Un désastre: c'est 25% d'une génération», a regretté Vincent Peillon. Selon le ministère, 23.000 jeunes âgés de 16 à 25 ans ont été «raccrochés» l'année dernière.

L'éducation nationale en chiffres. Exclusion. L'école, facteur d’exclusion ou d’intégration ? Les problèmes posés par le rôle de l'école par rapport au phénomène d'exclusion et aux exigences d'intégration qui traversent notre société sont au coeur de nombreux débats aujourd'hui. Je voudrais placer ce texte sous le double exergue de deux citations : - la première tirée de la Bible "L'étranger qui réside avec vous sera pour vous comme un compatriote, et tu l'aimeras comme toi-même, car vous avez été étrangers au pays d"Egypte1 . - la seconde du poète latin Térence :"Je suis homme, et rien d'humain ne m'est étranger". 1Nous avons à réfléchir sur le paradoxe - peut-être même la contradiction - qu'implique le titre même de cette conférence. 2Au cours du dernier quart de siècle, nous avons vu l'école, successivement mais parfois simultanément, voire par les mêmes personnes, accusée de sélectionner socialement en excluant les jeunes du savoir, et convoquée à contribuer par la formation de ces mêmes jeunes à la réparation de la fracture sociale et à la solution du problème du chômage.

Chronologie,.  L'enseignement du premier degré. Politiques publiques. Vers l’enseignement primaire public, laïque et obligatoire A partir de la Révolution, les biens de l’Église sont sécularisés et la direction de l’enseignement passe sous la responsabilité de l’État. L’instruction devient laïque et l’État mène une politique de combat à l’égard des congrégations religieuses. Sans aboutir à des résultats immédiats et définitifs, les révolutionnaires français ouvrent la voie de l’enseignement moderne en formulant un certain nombre de principes. septembre 1791Lecture du rapport Talleyrand sur l’instruction publique qui pose les bases d’un système d’enseignement pour tous et gratuit. 1791La Constitution du 3 septembre prévoit dans son Titre I : "Il sera créé et organisé une Instruction publique commune à tous les citoyens, gratuite à l’égard des parties d’enseignement indispensables pour tous les hommes et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume 1795Loi Daunou : la gratuité est abandonnée.

L' EXCLUSION. 1. L’EXCLUSION CULTURELLE L’exclusion peut commencer avec le système scolaire : entre 5 et 10 % des Français quittent l'école à 16 ans sans savoir vraiment lire, écrire ou calculer. On les appelle des " illettrés ". Ils auront beaucoup de difficultés à vivre dans une société où il est difficile de dire qu’on ne sait pas lire et écrire après 10 ans d’école.

Il y a aussi les " non diplômés " : ce sont les personnes (environ 20 % des jeunes) qui sortent de l’école avec seulement le BEPC (un diplôme de fin de collège). Ces jeunes auront aussi beaucoup de problèmes pour trouver un travail qui permet de faire vivre une famille. (consulter " L’ÉDUCATION EN FRANCE ") " Les marginaux " vivent en dehors de la société, peut-être à cause d’un accident de la vie ou par choix.

Ceux qui se sentent les plus exclus sont " les SDF " (cela veut dire : " Sans Domicile Fixe "). On peut aussi, si on a un travail régulier, être trop pauvre pour faire vivre sa famille. Tester vos connaissances. 1 - Action de lutte contre la déscolarisation et l’exclusion. 1 - Action de lutte contre la déscolarisation et l’exclusion Mise en place avec les établissements scolaires d’un accompagnement individualisé d’enfants et de jeunes faisant l’objet de mesures spécifiques comme les exclusions temporaires, les mesures de responsabilisation … Accompagnement éducatif et aide à la scolarité des enfants hospitalisés. Intégration des enfants en situation de handicap dans les structures accueillant des mineurs. Action de prévention des incivilités et des violences en milieu scolaire.

Action de maintien dans la scolarité par un accompagnement personnalisé des parcours scolaires dans les structures d’accueil social. Gestion d’une passerelle d’accueil et d’orientation de jeunes déscolarisés. Accompagnement à la mise en place d’ateliers relais. Analyse des besoins d’un Établissement de Réinsertion Scolaire de proximité afin de proposer un projet de formation pour le personnel, la mise en œuvre d’actions éducatives complémentaires… L'état de l'École 2015. Coûts, activités, résultats. Rédacteur en chef : Paul Esquieu Présentation L'ambition affirmée par la France en matière d'éducation et de formation, conjuguée avec la définition d'objectifs communs pour les systèmes éducatifs européens, rendent indispensable de développer des indicateurs statistiques et des études comparatives. Cette édition 2016 propose trente indicateurs permettant d’alimenter le débat public avec des données objectives sur l’École.Présentation de L'état de l'École Coûts La dépense pour l'éducation Multipliée par 1,9 depuis 1980, la dépense intérieure d’éducation atteint 147,8 milliards d’euros en 2015, ce qui représente 6,8 % du PIB et 8 440 euros par élève ou étudiant.La dépense pour l'éducation La dépense d'éducation pour le premier degré En 2015, un peu moins de 30 % de la dépense intérieure d’éducation, soit 42,5 milliards d’euros, ont été consacrés à l’enseignement du premier degré.

La dépense d'éducation pour le second degré La dépense d'éducation pour l'enseignement supérieur Activités Résultats. L'exclusion scolaire. LES LOIS SCOLAIRES DE JULES FERRY - Sénat. Dans l'esprit des républicains des années 1880, la consolidation du régime politique né en 1875 passe par l'instruction publique. En laïcisant l'école, ils veulent affranchir les consciences de l'emprise de l'Église et fortifier la patrie en formant les citoyens, toutes classes confondues, sur les mêmes bancs.

Cette réorganisation de l'enseignement exige une réforme en deux temps. Tout d'abord, pour libérer l'enseignement de l'influence des religieux, le gouvernement crée des écoles normales, dans chaque département, pour assurer la formation d'instituteurs laïcs destinés à remplacer le personnel congréganiste (loi du 9 août 1879 sur l'établissement des écoles normales primaires). Parallèlement, les personnalités étrangères à l'enseignement, et notamment les représentants de l'Église, sont exclus du Conseil supérieur de l'instruction publique (loi du 27 février 1880 relative au Conseil supérieur de l'instruction publique et aux conseils académiques).

Loi du 16 juin 1881 ETABLISSANT LA GRATUITE ABSOLUE DE L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE DANS LES ECOLES PUBLIQUES. LOI DITE "JULES FERRY" ET "BERT PAUL" | Legifrance. Échec scolaire. Tous les ans 150 000 jeunes quittent l’école sans diplôme. Chaque année, 150 000 jeunes quittent prématurément le système scolaire sans qualification. L’Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev), qui regroupe plus de 7 000 étudiants en charge de soutien scolaire, alerte face à cette hémorragie.

C’est en 3e et en seconde que les jeunes décrochent. Les décrocheurs sont majoritairement issus de milieux populaires, orientés dans des filières professionnelles sans l’avoir choisi. Le décrochage s’opère majoritairement en troisième ou en seconde, qui correspondent à la fin de la scolarité obligatoire, d’élèves qui ont atteint l’âge de 16 ans. « Quand on parle de décrochage, il s’agit de décrochage physique de jeunes souvent en troisième ou en seconde, qui à un moment ne vont plus en cours. En réalité, c’est souvent la conséquence d’un long processus qui commence quelquefois dès l’école primaire par le sentiment d’être en difficulté, d’être trop nul pour y arriver.

Le décrochage, un soulagement Engrenage Travailler sur l’orientation. Les sources de sites. Les Héritiers (sociologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Héritiers. Les étudiants et la culture Dans cet ouvrage paru en 1964, Pierre Bourdieu montre l'existence, dans la société, de sous-groupes différents face à la culture. L'école y est analysée comme une institution reproduisant les inégalités, les exigences et les critères du système d'enseignement jouant au détriment des classes défavorisées.

L'ouvrage est essentiellement un corpus de statistiques et d'enquêtes sociologiques sur les étudiants[1]. Il part du constat que statistiquement les bons élèves se recrutent dans les milieux aisés et cultivés, alors que les enfants d'ouvriers montrent des parcours scolaires médiocres[1]. Certains groupes d'étudiants - compte tenu de leur situation familiale - ne disposeraient pas qualitativement ni quantitativement du vocabulaire nécessaire à la fréquentation et à l'appropriation d'une culture dite « générale et classique ». Poèmes sur l'école de Charles PEGUY. Egalité des chances. "Toupictionnaire" :Le dictionnaire de politique Définition de l'égalité des chances L'égalité des chances est une vision de l'égalité qui cherche à faire en sorte que les individus disposent des "mêmes chances", des mêmes opportunités de développement social, indépendamment de leur origine sociale ou ethnique, de leur sexe, des moyens financiers de leurs parents, de leur lieu de naissance, de leur conviction religieuse, d'un éventuel handicap, etc.

Allant plus loin que la simple égalité des droits, l'égalité des chances consiste principalement à favoriser des populations qui font l'objet de discrimination afin de leur garantir une équité de traitement. Elle implique que les écarts liés au milieu d'origine soient neutralisés. Exemples de domaines d'activités où l'égalité des chances peut être recherchée : accès à la formation supérieure et aux grandes écoles, tests de recrutement et entretien d'embauche, accès aux emplois. L'égalité des chances s'oppose à l'égalité des résultats.

L'égalité des chances.