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Agriculture

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Valérie et Alain Crochot, nouveaux fermiers Terre de Liens en Île-de-France ! | Terre de Liens Ile-de-France. Valérie et Alain Crochot se sont installés en maraîchage bio sur la plaine de Cergy, dans le Val d’Oise, en 2007. La ferme s’est développée et l’EARL « Lles plaisirs du jardin » cultive aujourd’hui 12 ha au total dont 1,70 ha de serres froides, 2,00 ha de vergers et 8,30 ha de légumes et fruits rouges.

Le tout en fermage auprès des différents propriétaires. L’histoire de cette ferme est, pour Alain, une incroyable aventure humaine : « Au départ on était 6, il a fallu réinventer le métier de paysan et adapter les outils et les méthodes de travail pour pouvoir intégrer des salariés. Aussi, on a eu de la chance avec le lancement des AMAPs qui s’est fait au même temps et qui nous a assuré un modèle économique viable. Au départ, je n’avais pas imaginé tout ça, ça s’est fait au fur et à mesure ! En 2019, une des parcelles cultivées par Alain est mise en vente.

Et…c’est parti ! Les aides directes du Fonds européen agricole de garantie (Feaga) 201810 IB1018 agroecologie. TYFA | IDDRI. Contexte et enjeux Les performances économiques actuelles du système alimentaire européen sont obtenues au prix d’impacts sanitaires et environnementaux qui deviennent irréversibles. D’un côté, des régimes alimentaires trop riches et déséquilibrés, dont le coût de prise en charge par la société dépasse les 70 milliards d’€.

De l’autre, la perte de biodiversité, la pollution des eaux et l’érosion des sols associés aux pratiques agricoles remettent en cause la base matérielle même de la production. Depuis une dizaine d’années, l’agroécologie est proposée comme une réponse pour faire face à ces enjeux, en mettant au centre des pratiques agricoles la conservation de la biodiversité et la santé des consommateurs. La réduction des rendements, donc des niveaux de production, à laquelle pourrait conduire la généralisation de l’agroécologie dans le contexte européen est cependant jugée problématique par de nombreux acteurs. Objectifs Le projet articule pour ce faire 3 composantes : Blog FARM. La crise migratoire du début des années 2000, qui a culminé en 2006 avec le départ massif de jeunes des côtes ouest-africaines, a révélé l’acuité de la question de l’emploi des jeunes en Afrique subsaharienne et des risques de déstabilisation qui peuvent en découler[1].

Au Sénégal, le phénomène a connu un écho particulier du fait de la détermination des jeunes à rejoindre l’Europe (« Barça ou Barsakh »[2]), souvent avec la bénédiction de leurs parents. Pour juguler le phénomène, le gouvernement du Sénégal, avec l’appui financier de l’Espagne et de la France, avait proposé un Plan de retour vers l’agriculture (REVA). En réalité, la crise migratoire n’est que le révélateur d’un problème plus délicat : chaque année, environ 300 000 nouveaux actifs arrivent sur le marché du travail alors que les structures économiques peinent à créer des opportunités d’emplois pouvant absorber ces flux.

Récemment, de nouvelles orientations ont émergé, considérant l’agriculture comme la solution idéale. Leçons inaugurales. Leconinaugurale2014okhd. BALLAST Jacques Caplat : « Redonner aux sociétés les moyens de leur propre alimentation » Entretien inédit pour le site de Ballast Nous l'avions entendu sur la tribune improvisée au Champ-de-Mars par le collectif des Engraineurs, à l'occasion de la marche contre Monsanto du mois de mai dernier. Nous avions lu, chez Actes Sud, son manifeste de 2014 : Changeons d'agriculture — Réussir la transition, un plaidoyer qui venait prolonger et rendre accessible à tous la réflexion engagée dans L'agriculture biologique pour nourrir l'humanité, paru deux ans plus tôt.

Nous le savions agronome, fils de paysan, longtemps animateur à la Fédération nationale d'agriculture biologique (où il a pris part aux négociations des politiques européennes sur le sujet), engagé dans le Réseau semences paysannes ; nous l'avons découvert doctorant en ethnologie — une longue conversation sur le Bénin, où il vécut quelques mois, nous fit oublier la canicule de cette après-midi parisienne. Le Grand marché transatlantique (GMT) appelle à une homogénéisation des normes qualité entre les États signataires. Mobilisation européenne contre la course au brevetage des plantes. L’essor des plantes génétiquement modifiées (PGM) avait amené les industries agrochimiques à réclamer des brevets sur leurs créations végétales. Mais aujourd’hui, le droit des brevets sur le vivant va beaucoup plus loin : il s’applique à tout le patrimoine génétique des plantes. Le suisse Syngenta a par exemple breveté un melon aigre-doux, obtenu par simple croisement entre une variété européenne sucrée et une variété asiatique amère.

En quelques années, près de 1 000 demandes ont été déposées en Europe pour breveter des caractères et des gènes "naturels" de plantes. "L’Office européen des brevets (OEB) en a déjà accordé une centaine", estime Christoph Then, de la coalition européenne "No Patents on Seeds". Créée par Greenpeace et Swissaid, "No Patent on Seeds" fait une veille sur l’octroi des brevets sur les semences. Et elle dépose régulièrement des recours contre l’OEB. Monsanto en ligne de mire "Les industriels s’approprient toute la sélection végétale.

L'agroécologie : transition ou but ultime ? - Changeons d'agriculture. Alors que la « loi d'avenir pour l'agriculture, l'alimentation et la forêt » (LAAAF), dont la deuxième lecture va débuter à l'Assemblée nationale dans quelques jours, met continuellement en avant la notion d'agroécologie, il est important de nous pencher sur cette dernière. Ce terme fait actuellement l'objet d'un engouement singulier, puisqu'il est à la fois mis en avant par les institutions agricoles et par des pionniers d'une agriculture alternative.

Derrière cet apparent unanimisme se cache une profonde divergence... et une ambiguïté dangereuse aussi bien pour la compréhension des acteurs que pour la cohérence des politiques publiques. Agroécologie ou agriculture biologique ? Les lecteurs de mes livres (ou de ce blog) ont peut-être du mal à établir une distinction entre l'agriculture biologique telle que ses fondateurs l'ont conçue, et l'agroécologie telle qu'elle est préconisée par Nature & Progrès, Pierre Rabhi ou Olivier De Schutter.

Un ensemble de pratiques agronomiques ? Terre de liens normandie - convertisseur. Convertisseur Terre de Liens Pour une réappropriation solidaire des terres au service de nos souverainetés alimentaires Communes Qu'on habite dans un village ou dans une grande métropole, il est possible de relocaliser la source de notre alimentation! Pour cela, les citoyens et les citoyennes des villes et des campagnes doivent tisser des liens de coopération économique équitables entre eux et les paysans: pour installer (investir ensemble dans l'acquisition de terres pour de nouveaux(elles) paysan-ne-s bio de proximité) et consommer en priorité les produits issus de ces nouvelles fermes.

D'une pierre, (au moins) trois coups : Communes Si nous, habitants de , relocalisons notre alimentation (ne pas oublier les tirets et les accents, vous pouvez écrire en minuscules, ou bien entrer un code postal) Convertisseur Terre de Liens : une réalisation de Terre de Liens Normandie (2013) Convertisseur Terre de Liens. OGM, la fin du bluff. La revue Food Che­mis­try (du gro­upe néerlando-bri­tannique Else­vier Sci­ence) publie une étude sci­entifique sur le soja qui remet en cause le principe "d'équivalence en sub­stance" imposé par les fabri­cants d'OGM pour passer outre les expéri­mentati­ons à long terme des manipulati­ons génétiques et selon le­quel OGM et non-OGM, tout se vaut.

Une équipe de cher­cheurs (T. Bøhn, M. Cuhra, T. Traavik, M. Sanden, J. . - soja généti­que­ment modifié (GM) pour tolérer le gly­phosate (le principe actif de l’herbi­cide Round up de Monsanto). - soja non modifié cultivé en « conventi­onnel » c’est à dire avec in­trants chimiques. - soja non modifié cultivé en agro­bi­o­logie. L’étude rappo­rte que les graines de soja généti­que­ment modifié « Ro­undup Ready » (RR) de Monsanto conti­ennent des résidus de gly­phosate et de l'acide aminométhy­l­phos­phonique (princi­pal produit de dégradation chimique du gly­phosate) res­pe­cti­ve­ment à des taux moyens de 3,3 et 5,7 mg /kg. [VISIONET] Accueil.

Projet écologique pour une politique agricole et agroalimentaire. Le lien étroit entre les Français et leurs terroirs fait de l’agriculture un véritable enjeu citoyen. Quelque 81% des citoyens estiment qu’il faut développer en priorité une agriculture de petits exploitants «pour nourrir le mieux possible l’humanité d’ici à 2030», contre 16% qui estiment qu’il faut privilégier une agriculture industrielle (1). En France, l’opportunité de changer de direction va se présenter dans les semaines à venir à l’occasion de la discussion au Parlement du projet de loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt.

Cependant, le discours officiel, qui enjoint les agriculteurs français à relever le double défi de «la compétitivité internationale et de l’agro-écologie», fait craindre la poursuite d’une agriculture à deux vitesses : un même produit pour tous, comme le poulet, mais un poulet de qualité pour une minorité, riche, et un poulet de batterie pour les autres, destinés à nos classes populaires et aux pays pauvres. (1) Sondage CSA-CCFD, octobre 2013. Semences : pourquoi les écologistes ont voté la loi sur les contrefaçons. Le vote des écologistes en faveur d’une loi qui prévoit de nouveaux moyens de répression contre les contrefaçons a suscité beaucoup de réactions.

Car en l’état, la production à la ferme par un agriculteur de ses semences constitue une contrefaçon. Basta ! A souhaité revenir sur les raisons de ce vote dans un entretien avec Hélène Lipietz, sénatrice écologiste. « Nous ne pouvions rien faire dans une loi de procédure pour modifier une loi de fond », explique-t-elle. A part obtenir la garantie que ce point sera traité dans le cadre de la loi d’avenir agricole, examinée en janvier 2014 à l’Assemblée nationale. « C’est là, assure t-elle, qu’il va falloir mettre la pression et faire du lobbying ».

Basta ! Hélène Lipietz [2] : Ce n’est pas cette proposition de loi qui présente un danger, mais les marchandises contrefaites qui peuvent se révéler très dangereuses pour leurs utilisateurs. Les représentants du groupe CRC ne sont pas juristes. Oui, il faut rectifier cet article qui pose problème. Acte_table_ronde.indd - actes_2013_tableronde_35ans_avsf_agroecologie_35ans.pdf. La spéculation sur les matières premières alimentaires nuit à la réputation des banques. Plusieurs banques allemandes ont annoncé qu'elles n'allaient pas lancer cette année de nouveaux produits boursiers sur les produits agricoles de base, tout en maintenant leur offre existante en la matière. Energie, métaux, agriculture, les matières premières sont de plus en plus visées par les marchés spéculatifs, au point que le volume des produits financiers dérivés de ces secteurs sont 20 à 30 fois supérieurs à la production physique.

Les "future contracts" sont utilisés à grande échelle depuis le 19ème siècle pour aider les négociants en grains à se prémunir contre les incertitudes du marché des céréales. Leur rôle est de garantir un prix fixé à l'avance pour une récolte livrée à une date future. Traditionnellement, les spéculateurs sur les matières premières étaient des intermédiaires entre les fermiers et leurs partenaires commerciaux – négociants en grains et entreprises agro-alimentaires – qui fournissaient un appui financier et organisaient le marché.

Nécessité de la régulation. Terre de Liens Ile-de-France | Agir concrètement pour permettre l'installation de paysans et le développement d 'une agriculture biologique. Blog de myosite - Contact Nature-Le blog de l'apiculture - Skyrock.com. c45: Pervanchon & Blouet. Horizons Alimentaires. Pollution atmosphérique : l'agriculture exposée. Les objectifs de qualité de l'air sont largement dépassés autour des grands axes routiers d'Ile-de-France. L'Inra et Airparif ont mené une première étude sur l'impact de la pollution routière sur les espaces cultivés. Pendant quatre semaines, dans une exploitation agricole, le long de l'autoroute A6, Airparif a mesuré la concentration de polluants dans l'air, et l'Inra, celle dans les plantes (dans les plantes de Raygrass, plante herbacée fourragère), pour le projet "Pollution de proximité, Transport et Agriculture".

Résultat : les mesures ont permis d'observer une augmentation des concentrations de polluants et des dépôts métalliques liés au trafic, à mesure que l'on se rapproche de l'autoroute A6. Et si la pollution atmosphérique expose les personnes à des problèmes respiratoires, le risque de dépôts sur des produits alimentaires est indéniablement tout aussi important. Presque 50% des exploitations agricoles franciliennes concernées Respecter les distances de sécurité. Prix des terres agricoles - Marché foncier agricole - Usage terre agricole.