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Étés tic

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Www.mae.cornell.edu/lipson/factoryathome.pdf. Hacking d’un diffuseur de parfum Air Wick avec un kit Arduino UNO. Voici une technique pour récupérer le module de détection de présence d’un diffuseur de parfum Air Wick. Cela permet de disposer d’un nouveau capteur pas cher à brancher sur kit Arduino. Pour réaliser ce hack, j’ai utilisé un diffuseur de parfum Air Wick référence DXY80M. Comme à chaque promo, ma femme en achète un, mais elle ne rachète jamais de cartouche et il en traîne toujours un au fond d’un tiroir. Ce modèle étant dépourvu de vis, j’ai utilisé la technique de démontage, dite du « bourrin à la perceuse », qui consiste à prendre un forêt de 5mm ou 6mm pour un trou de 3mm, de le monter dans une perceuse sans fil, puis il faut bien insister jusqu’à percer toute la matière dans les huit trous, sans se réaliser un joli piercing de main… Une fois ouvert, on utilisera un gros tournevis plat, non pas pour dévisser, mais pour faire levier.

On retrouve 2 circuits électroniques reliés à l’aide d’une nappe de câble plat à 3 fils. Voici la vidéo de démonstration : Le marche de l'open source. Quelques études Tous les analystes, tant en France qu’aux Etats-Unis, s’accordent à percevoir l’extraordinaire percée des solutions open source dans la sphère économique ces dernières années, et à la prolonger sur les années à venir. En 2006, une étude du Gartner Group faisait les prévisions suivantes : En 2008, les solutions open source seront en compétition directe avec les solutions propriétaires dans tous les marchés de solutions d’infrastructure.

En 2010, 75% des principales DSI auront une stratégie formalisée d’acquisition et de gestion de solutions open source. En France, le Syntec estime pour sa part, dans une étude de Juin 2007, que le marché des logiciels et services open source représente 450 M€ sur un marché total des logiciels et services de plus de 30 Md€, soit une part de marché de 1,4%. Ce marché devrait croître de 50% par an, sur un marché en croissance de 6,5%, ce qui amène la part de marché du logiciel open source à doubler en deux ans. Une vague puissante. Online | If You’re Going To Kill It, Open Source It! Another week, another company killing off a giant product after spending millions of dollars and years developing. Back in 2009 Cisco bought Pure Digital Technology’s Flip.

Gadget fans and makers were puzzled by this; phones were just about good enough to start beating the Flip. Now, it’s heading for the landfill. Some companies fail, some kill off product lines that are not profitable, but in the end, where does all the knowledge go? If companies are going to just kill something off, why not open source it? In this article I’m going to share my collection of products that no longer exist but should (or could) have been released as open source projects. To kick it off, I’m going to start with things that beat humans.

The first on my list are Sony’s robotic pets and humanoid efforts. AIBO (Artificial Intelligence roBOt, homonymous with “pal” or “partner” in Japanese) was one of several types of robotic pets designed and manufactured by Sony. Next up, the QRIO… What a waste! Phillip Torrone. Manufactura Independente | Libre Graphics & Design research studio. Wurfing 13 FabLab. Ateliers Fab Lab Squared : Venez bricoler des kits électroniques. 20 commandements pour une société autofabriquée. Pour accompagner la révolution des FabLabs, permettant à chacun de produire des objets grâce à des imprimantes 3D et autres CAO, un rapport américain recommande 20 mesures au gouvernement pour se préparer à un tournant de l'histoire industrielle. Un certain nombre de forces convergentes vont faire passer la fabrication personnelle, ou autofabrication, du statut de technologie marginale utilisée par les seuls pionniers et passionnés à un outil quotidien pour le consommateur et l’entreprise lambda.Dans quelques années, on trouvera des technologies de fabrication dans les petites entreprises et établissements scolaires.Dans dix ou vingt ans, tous les foyers et bureaux posséderont leur machine d’autofabrication.Dans une génération, on sera bien en peine d’expliquer à ses petits-enfants comment on a pu vivre sans son autofabricateur, et qu’on devait commander des biens préfabriqués en ligne et attendre qu’ils nous arrivent dans notre boîte au lettre livrés par la Poste.

Recommandations. Laser Cutter DIY - Tetalab. Pendant 2 jours, nous avons assemblé les pièces que Lionel avait apporté, et les parties de scanners qui se trouvaient dans le container, afin de monter un laser cutter DIY basé sur le design de Groover: Pocket Laser Engraver Pour ce projet, nous avons: 1 Arduino Duemilanove2 structure de scanner récupérée au fil des mois2 controlleurs moteur EasyDriver, disponibles chez Sparkfun1 Power ScrewShield Snootlab (ou autre proto-board pour le cablage)1 diode laser IR récupérée dans un graveur DVD1 laser de chez DealExtreme, dans lequel mettre la diode laser IR, qui contient une lentille et le driver de la diode (courant constant) Le plotter est composé de 2 structure de scanner sur lesquelles on a laissé les moteurs (ainsi tout est déjà aligné et bien stable). L'axe X est le scanner du bas, nous avons choisi le scanner le plus stable pour cet axe (un gros scanner Agfa) et rajouté des pieds afin de niveler la structure horizontalement.

Une fois connecté à l'arduino, vous pouvez: Nantes.maville.com On peut « imprimer » des objets chez soi. Imaginez un bracelet que vous créez en 3D sur votre ordinateur. Et que vous pourriez « imprimer » en volume, en résine ou plastique, en trente minutes… pour le porter ensuite. N’imaginez plus. C’est possible chez soi, et pas seulement dans le monde industriel où une telle technologie est utilisée sur des machines coûtant autour de 15 000 €. La Reprap dépose de la matière comme une imprimante dépose un jet d’encre À l’occasion de sa manifestation LABtoLAB, jusqu’à ce soir à Nantes, l’association nantaise Ping en fait la démonstration avec la Reprap (Replicating rapid protyper). Cette machine a été fabriquée par ses soins pour environ 500 €. Certes rustique, elle fonctionne à merveille, déposant de la matière là où une imprimante traditionnelle dépose un jet d’encre.

La Reprap peut créer, en vrai, des objets que vous modélisez en 3D sur votre ordinateur ! C’est le passage de la création numérique à la fabrication numérique. Véronique ESCOLANO. Contact : pingbase.net, fablab.fr ou labtolab.org. Journée professionnels Fab Lab Squared, 23 juin : La fabrication numérique et moi ? Interview de Julien Bellanger de PING. Hacking : Pirater notre mode de vie pour le rendre durable. Par Olivier Philippot - 06/06/2011 Attention, cet article peut heurter certaines âmes sensibles. Vous allez voir des matériels modifiés, des logiciels non homologués et certaines expérimentations hors normes. Si vous n’êtes pas prêts, passez votre chemin. Une croissance insoutenable Le constat sur l’impact de notre mode de vie et des technologies sur l’environnement est un fait : Pénurie des terres rares,crises des déchets électroniques… Si nous maintenons ce rythme il nous faudra bientôt deux terres pour assouvir nos besoins, chose impossible car notre bonne vieille terre n’est pas extensible.

Malgré de nombreuses solutions disponibles, le monde ne semble pas changer. Hacker nos modes de vie Dans son livre "Des abeilles et des hommes, passerelles pour un monde libre et durable" et ses recherches", Thanh Nghiem tente de répondre à cette contradiction. La solution pour changer le paradigme ? De telles pratiques sont de plus en plus courantes. Libre, Hacking et Durable Hacking Logiciel. 20 recommandations pour accompagner la révolution de la fabrication personnelle. Tetalab mixe art et hack. Le Tetalab est un jeune hackerspace basé à Toulouse. Basé à Mixart-Myrys, un centre culturel, il monte entre autres des projets autour de l'art. Hiver dernier, alors que WikiLeaks fait trembler les ambassades du monde entier en faisant fuiter des câbles diplomatiques et s’agiter les rédactions qui publient analyses géopolitiques sur analyses géopolitiques, les hackers toulousains du Tetalab s’emparent à leur façon du sujet. Pas de révélation fracassante, mais un hack poétique qui leur vaudra leur quart d’heure de célébrité, de Boing Boing [en] au Guardian [en] : Haikuleaks.

Les bidouilleurs se sont amusés à concevoir un outil qui repèrent dans les câbles ceux qui correspondent à la forme ultra-codée du haiku japonais. Par exemple : « As is typical/the Pope stayed above the fray/and did not comment. » Installé dans le centre culturel Mixart-Myrys Et à l’instar de nombreux travaux du Tetalab, haikuleaks est un hack artistique. On t’apprend à être décomplexé par rapport à la technique.

Makers (1/2) : Faire société. “We are all makers” (Nous sommes tous des artisans). Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED.

Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”) Qui sont les makers ? La place particulière de San Francisco dans ce monde des makers est peut être à trouver dans le fait que les gens, ici, ont eu le talent d’initier le réseau. Image : Noisebridge. Makers (2/2) : Refabriquer la société. Le mouvement makers est en plein essor, comme le montre la multiplication des lieux qui leurs sont dédiés (voir la première partie de ce dossier). L’éclosion des TechShops, des foires, des ateliers, qui sont pour beaucoup dans une logique de développement et d’essaimage du modèle y participe pleinement. A certains endroits, à San Francisco, le TechShop est au cœur de la réhabilitation d’un quartier (comme c’est le cas à South Market).

Mais surtout, ces lieux s’implantent au coeur d’un écosystème qui favorise leur développement : écoles, musées, start-ups et grands acteurs de l’internet qui souhaitent redéployer leur activité en centre-ville… Faire société : des lieux et de leurs enjeux Pour Michael Shiloh, l’enjeu va bien au-delà des lieux. On devine derrière ce mouvement makers, un véritable enjeu pour un apprentissage différent. Reprendre confiance dans sa capacité à créer Image : visite du Maker Space avec Michael Shiloh. Image : la voiture-oeuvre en forme de maison victorienne… Mode d’emploi pour démarrer une civilisation. Et si l'esprit du libre qui est déjà en place dans la société de la connaissance et de la créativité pouvait se propager à l'univers du matériel, des outils du fermier, de l’ouvrier, de l’entrepreneur ou du producteur.

Dans un récent billet intitulé Open Source Ecology ou la communauté Amish 2.0 nous nous faisions l’écho d’un projet assez extraordinaire consistant à placer sous licence libre les spécifications d’une cinquantaine de machines agricoles permettant théoriquement à un village d’accéder à l’autosuffisance. Un projet qui méritait bien les honneurs d’une conférence TED que nous avons choisi de vous reproduire ci-dessous.

Soit dit en passant, les conférences Ted, au format court caractéristique et de plus en plus souvent sous-titrées en français, constituent avec le temps une véritable mine d’or pour tout internaute curieux de mieux comprendre et appréhender les enjeux d’aujourd’hui et de demain. Leur slogan est : « des idées qui méritent d’être diffusées ». Merci. I.T Girl de la semaine : Mathilde Berchon. Mathilde est tombée amoureuse de San-Francisco après y avoir passé un an. Elle y est retournée pour découvrir en profondeur la communauté des Makers, ceux qui font ! En ressort un blog, Making Society.

Lorsqu’elle nous parle de son expérience de Burning Man (en Off) elle nous donnerait presque envie de passer une semaine dans le désert à crever de soif. De retour à Paris elle s’engage auprès de Hackable Devices pour accompagner cette communauté des makers encore peu représentée en France. Avant que tu m’expliques ce que tu as vu là-bas, j’aimerais que nous revenions sur la naissance du projet . J’ai passé un an à SF en 2010. Et j’avais touché du doigt cette communauté, j’ai compris qu’il se passait beaucoup de choses, notamment en allant à Burning Man. Qu’est ce que tu retiens, quelles sont les lignes forces ? Ce qui m’a marqué, c’est d’abord la force de la communauté, ce n’est pas un groupe fermé, il y a plein de gens qui aiment faire des choses, créer.

Elle est encore cher la MakerBot ! KJB de signets graphiques's Tumblelog.