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Articles, manifestes et conférences

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Coopérons pour être moins cons ! Depuis sept ans, les rencontres MousTIC s’intéressent à lamise en oeuvre des usages sociaux d’Internet et des TICs.

Coopérons pour être moins cons !

Les prochaines rencontres MousTIC « Vers des territoires en réseau » auront lieu les 27, 28 et 29 mars 2013, à Montpellier SupAgro. Nous demandons un financement participatif pour organiser le streaming vidéo (retransmission en direct) des conférences afin de les rendre accessibles au plus grand nombre notamment aux étudiants d'Universités, et aux acteurs résidant dans les pays du sud. Vous travaillez dans un domaine concerné, vous êtes étudiant(e), vous êtes professeur, vous évoluez dans un espace de co-working : vous pouvez organiser une retransmission dans vos locaux ! Plus d’informations sur les conférences diffusées: Créativité, collaboration, intelligence collective, pour donner un accès à tous au savoir et à la connaissance, tels sont les valeurs qui relient les personnes gravitant autour de MousTIC (Mise en Oeuvre des Usages Sociaux des TICs).

Plus d’informations: Joël de Rosnay: "les visions pyramidales sont en train d'exploser" Dans les coulisses de la Cité de la Réussite, nous (Antonin Léonard et Flore Berlingen) sommes allés à la rencontre de Joël de Rosnay, biologiste, co-fondateur d’AgoraVox et auteur de nombreux essais de vulgarisation scientifique et de prospective.

Joël de Rosnay: "les visions pyramidales sont en train d'exploser"

L’opportunité d’échanger avec lui sur la transition économique et sociétale en cours.Par Antonin Léonard et Flore Berlingen. Joël de Rosnay n’est pas de ceux qu’il faut convaincre que l’économie collaborative est l’avenir. Non seulement il a conscience de la transformation en cours de la société, mais il a même une idée assez précise de ce à quoi celle-ci va ressembler. Selon lui, cette transformation est liée à trois évolutions principales : Cette société émergente, Joël de Rosnay la décrit comme une société « fluide », du nom de son ouvrage « Surfer la vie – Comment sur-vivre dans la société fluide », paru en mai 2012. C’est par le co que se fera la transition. Vers une généralisation des modèles open source dans l’économie Constat cruel ? Intercoop. La coopération en 28 mots clés by Jean-Michel Cornu on Prezi. Coopétition. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Coopétition

La coopétition est la collaboration opportuniste entre différents acteurs économiques qui, par ailleurs, sont des concurrents ("competitors", en anglais). Coopétition est un mélange des deux mots coopération et de compétition (concurrence). Il s'agit d'un mot-valise (comme modem, codec). Cette notion a été popularisée par deux auteurs américains en 1996 : Nalebuff et Brandenburger[1].

Coopération et concurrence[modifier | modifier le code] La coopétition est une stratégie originale de gestion de sa compétition sur les marchés[2]. Pour Y.Luo (2007)[3], lorsqu'une entreprise fait face à un rival majeur, on peut distinguer quatre niveaux possibles de coopétition (rivalité, adaptation, isolement et partenariat). La coopération s'établit jusqu’à un certain point, puis les acteurs en présence reprennent une position de confrontation. Coopétition et compétitivité[modifier | modifier le code] Impacts et précautions juridiques[modifier | modifier le code]

L’égo, frein majeur à l’intelligence collaborative. Une étude récente a montré que le travail de groupe “affaiblit la créativité et les capacités intellectuelles”.

L’égo, frein majeur à l’intelligence collaborative

Ça n’est pas une surprise, car les conditions habituelles du travail collectif génèrent davantage de craintes que de confiance mutuelle, libérant au passage toutes les expressions lourdingues de l’égo, frein majeur au travail collaboratif. La presse s’est emparée un peu vite de l’affaire avec un poil insuffisamment de nuance, et voue le travail collaboratif aux gémonies au profit d’un individualisme au blason soudainement redoré. Je m’étais agacée sur mon blog personnel (café-journal du 28 mars) de ces conclusions hâtives, en particulier dans l’Express, qui échouaient à poser les bonnes questions. Car il ne s’agit pas de dire “arrêtons de travailler à plusieurs” mais de réfléchir à: Qu’est qui, dans notre façon de travailler à plusieurs, génère des résultats aussi désastreux? Je profite de l’occasion pour revenir sur ce sujet et développer un peu ma pensée.