background preloader

Problématique

Facebook Twitter

Equipements informatique et internet : les dépenses des Français en hausse. Les Français consacrent sur an l’équivalent d’un mois de salaire moyen soit 2 348 euros dans leurs achats de biens culturels (livres, presse, musique, cinéma…), équipements informatiques, abonnements Internet et téléphonie. Selon l’Observatoire des Dépenses Médias et Multimédias réalisé par Médiamétrie (avril-mai 2010 auprès de 1709 foyers), ce budget calculé est en augmentation de 1% et représente 8,4% du revenu moyen des ménages.

La téléphonie mobile : 1er poste de dépenses La téléphonie mobile reste le premier poste de dépenses malgré une baisse de 2 points de la part qu’elle représente. Mais ce sont les dépenses liées à Internet qui ont le plus progressé (+ 15%), suivies de l’équipement informatique (+ 12%). « Internet et la micro-informatique représentent un cinquième des dépenses (…) Ce sont en particulier les abonnements internet, les accessoires pour ordinateurs ou encore les netbooks qui ont tiré ces deux postes de dépenses à la hausse. », indique Médiamétrie. Les chiffres clés de l'Internet.

Usurpation d’identité et failles des agences bancaires (2/2) Comme promis, voici la suite de ma petite histoire. Intéressons-nous maintenant aux causes de ce type d’affaires. Bien sûr, on n’empêchera jamais toutes les fraudes mais dans le cas décrit dans mon dernier billet, je ne peux pas m’empêcher de mettre en évidence quelques failles dans le système. Les failles des agences bancaires face à l’usurpation d’identité La technique de fraude utilisée met en évidence deux principales failles de sécurité imputables à la banque : Envoyer dans un même courrier simple : le code confidentiel et le bon de retrait. Le manque de contrôle d’identité. La majorité des agences bancaires ne semble donc pas respecter leur réglementation pourtant supposée assez restrictive. Le cadre réglementaire existe au travers des devoirs de diligence imposés par le Comité de Bâle. Donc les obligations réglementaires existent (heureusement) mais sur le terrain on se rend rapidement compte que seul le minimum est mis en oeuvre.

Quoi faire alors ? Commerce électronique. Icône représentant un charriot sur un site de commerce en ligne. Dans le cadre du commerce interentreprises, les commerçants utilisent depuis de nombreuses années des réseaux de type échange de données informatisé (EDI). Des transactions électroniques se réalisent également sur les réseaux téléphoniques mobiles. Ce commerce par mobile se dit commerce mobile. Dans un contexte de contraintes environnementales fortes, le développement de la vente à distance tend à transformer les problématiques de logistique liées au monde du commerce.

Le terme « commerce en ligne » comprend également la circulation mondiale des données. Histoire[modifier | modifier le code] En France, le commerce en ligne s'est développé tout d'abord via le Minitel sur lequel étaient présents de grands noms de la vente par correspondance, comme la Redoute ou les 3 Suisses[3],[4]. L'arrivée d'Internet a rapidement mené au développement d'un modèle d'entreprise différent[5].

Dans ce cas, trois systèmes d'échanges coexistent : Internet et la consommation des ménages. Après un premier article consacré au taux d’équipement d’Internet des foyers français, cet article aborde son utilisation et plus particulièrement la manière dont celui constitue un outil d’arbitrage pour des consommateurs « malins ». Utilisation : des copains et des infos Internet est désormais largement diffusé en Europe. Aujourd’hui, sur le Vieux continent 178 millions d’individus (soit 60% de la population globale) déclarent se connecter régulièrement en semaine. 66% des Français disent se rendre généralement sur Internet en semaine et 60% le week-end. Parmi les internautes européens, les Français sont les plus « accros au surf quotidien » : 2/3 d’entre eux déclarent surfer quotidiennement, contre une moyenne européenne de 55%.

Une volonté d’arbitrage facilité qui fait exploser le e-commerce Les ventes sur le net ont augmenté de 29% pour atteindre en 2008 un total de 20 milliards d’euros . Une tendance de fond qui s’est accélérée depuis 2005 Le profil des e-acheteurs.